Avant le concile, on utilise le titre de « père » pour les religieux, et « monsieur le curé », « monsieur l'abbé » ou « monsieur le vicaire » pour les prêtres diocésains – que l'on appelle cependant « père » uniquement dans le cadre du sacrement de réconciliation, avec le fameux « Pardonnez-moi père car j'ai péché ».
Les prêtres au service du curé sont appelés de différentes manières selon les diocèses : vicaire, auxiliaire, associé. Abbé : Du latin ecclésiastique abbas (de l'araméen abba, père). Le terme abbé désigne trois réalités : - Moine chrétien élu par ses pairs pour diriger un monastère, une abbaye.
Une étape au-dessus dans la hiérarchie, se trouve l'abbé qui est à la tête d'un monastère ou d'une abbaye. Il gère le spirituel en guidant ses membres, les instruisant, bénissant les novices, veillant au respect des règles, mais aussi le matériel en gérant et en administrant les biens de la communauté.
La titulature normale de tout clerc séculier (séminariste admis, diacre ou prêtre) est monsieur l'abbé, même si certaines fonctions (vicaire, curé, doyen) peuvent primer. Monsieur l'abbé Vianney, Curé d'Ars, est ainsi appelé par ses paroissiens monsieur le curé.
Globalement, le titre dit quelque chose de la relation que nous voulons entretenir avec la personne à laquelle nous nous adressons. Au Burkina Faso, mais aussi dans d'autres pays, habituellement, "Monsieur l'Abbé" se dit à un prêtre séculier, un prêtre diocésain, et "Mon Père" à un prêtre religieux.
Son service de l'Église-épouse consiste à subvenir, comme tout bon père aux besoins de sa femme et de sa famille : la sanctifier ! Le prêtre est « Père » parce que les baptisés reconnaissent en lui celui qui sert l'Église- mère qui les a mis au monde !
« Je remercie infiniment votre association pour toutes les aides reçues et vous assure de mes prières les plus fidèles ». « Je ne puis plus écrire, ni lire, ni téléphoner aussi ai-je recours à une tierce personne. Recevez mes vœux les plus amicaux accompagnés de ma prière ».
Le vicaire est un prêtre qui assiste le curé dans une paroisse catholique. Il est nommé par l'évêque. Sous l'Ancien Régime, il était habituellement choisi par le curé, son choix devant être approuvé par l'évêque. Un vicaire était rémunéré par le curé sur le revenu qui lui était attribué.
Un prêtre est à la tête d'une paroisse catholique donc il a fait voeux de célibat. Le curé est simplement le nom familier qu'on donne à un prêtre. Un pasteur est à la tête d'une paroisse protestante ou évangéliste et lui contrairement au catho il peut se marier.
Dans la société ecclésiastique, peu importe le rôle occupé dans la société civile, les fidèles sont tous égaux. Mais dans l'institution ecclésiastique, le pape, les cardinaux, les archevêques, les évêques, les curés, les prêtres, les diacres, les sous-diacres, qui sont dans la hiérarchie catholique, sont inégaux.
Une abbaye, c'est le lieu de vie d'une communauté monastique à la tête de laquelle se trouve un abbé ou une abbesse. Simple, basique. On y trouve des Bénédictins, Cisterciens, Prémontrés ou encore des Chartreux.
L'abbé est élu par les moines de son abbaye, soit directement s'il obtient l'unanimité, soit par l'intermédiaire de délégués (au cas où il n'y aurait pas unanimité). L'élection doit être confirmée par l'évêque.
Un frère, qui n'est pas prêtre, est cependant pleinement frère par sa profession religieuse. Il a 'voix au chapitre' comme les autres et participe activement à la mission apostolique de sa communauté.
Comme le prêtre, le diacre peut prêcher et administrer les sacrements, excepté celui de la réconciliation et celui de l'eucharistie. Et contrairement aux prêtres, le diacre permanent peut être marié à condition qu'il le soit déjà lors de son ordination.
CHANOINE, subst. masc. A. − Dignitaire ecclésiastique faisant partie du chapitre d'une cathédrale, d'une collégiale, ou de certaines basiliques, tenu à l'office du chœur et jouissant parfois d'une prébende.
Les hommes mariés ont le droit de devenir prêtre, mais les prêtres célibataires n'ont normalement pas le droit de se marier. Les évêques doivent être célibataires. Environ 80 % des prêtres sont mariés et ont une famille.
Cependant, il faut convenir que, dans le langage courant, être catholique signifie, en général, être né dans une famille appartenant à cette tradition, tandis qu'être chrétien, au sens propre du terme, signifie s'être volontairement et sciemment tourné vers Jésus-Christ.
Le diacre reçoit le premier degré du sacrement de l'ordre dans l'Église catholique. Alors que les prêtres, qui ont reçu le second degré du sacrement de l'ordre, sont les collaborateurs de l'évêque dans son caractère sacerdotal, le diacre est collaborateur de l'évêque dans son caractère ministériel.
Pastoresse, subst. fém.,rare. Épouse d'un pasteur protestant.
Dans la plupart des diocèses, les prêtres sont payés par la caisse diocésaine. Dans les diocèses d'Alsace-Moselle, qui sont régis par le Concordat de 1801 et une ordonnance royale de 1828, les prêtres sont payés par l'État. Actuellement, ils touchent entre 1 300 € pour un vicaire et 2 300 € pour un curé confirmé.
Il reçoit un salaire qui peut varier en fonction des paroisses, mais il est généralement en-dessous du SMIC. Cette rémunération est composée d'une indemnité versée par le diocèse (et qui provient de la contribution volontaire des fidèles) et d'une allocation mensuelle (appelée également casuel) versée par la paroisse.
Afin d'assurer des conseils plus efficaces, les cardinaux sont désormais tous des évêques, et plus généralement des archevêques, vu le rôle de ces derniers au sein des Eglises régionales. Ils sont aujourd'hui issus du monde entier. Par contre, chaque archevêque (a fortiori évêque) n'est pas cardinal.
Même dans les campagnes, les appellations traditionnelles : " Monsieur le curé ", " Monsieur le chanoine ", " Monsieur l'abbé ", se font moins fréquentes. Les classiques " Excellence ", " Éminence " et même " Monseigneur ", qui désignaient couramment l'évêque ou le cardinal, se prononcent maintenant avec réticence.
Comme le faire part décès, une carte ou une lettre de remerciement doit être envoyée à toutes les personnes de votre famille, ainsi qu'aux proches ayant eu une pensée chaleureuse à votre égard, à la suite du décès.
"Votre présence et vos témoignages après le décès de M./Mme X nous ont profondément touchés. Nous vous remercions très sincèrement." "M. ou Mme X et toute sa famille sont très touchés des marques de sympathie que vous leur avez témoignées lors du décès de M./Mme X et vous expriment leurs plus sincères remerciements."