L'accident vasculaire cérébral (aussi appelé infarctus cérébral dans certains cas) touche le cerveau. Il peut être causé par l'obstruction d'une artère cérébrale ou par une hémorragie dans le cerveau. La différence entre l'AVC et la crise cardiaque est donc qu'il ne touche pas le même organe.
Selon la durée de l'interruption de la circulation, il peut y avoir des lésions de faible gravité, ou des lésions graves, et même mortelles. Le Dr Bhanji explique que plus vous reconnaissez rapidement une crise cardiaque, plus la personne victime a des chances de survivre.
Quels sont les signes avant-coureurs d'une crise cardiaque ? Le symptôme le plus connu est une douleur aiguë et persistante dans la poitrine avec une sensation d'étau qui se resserre. La douleur peut irradier dans le bras gauche ou encore causer des vertiges.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
D'après une recherche américaine, les personnes souffrant d'apnée du sommeil présentent un risque beaucoup plus élevé que la normale de mourir d'une crise cardiaque au cours de la nuit.
Elle affecte surtout les personnes atteintes du diabète et les personnes de plus de 75 ans. Les facteurs qui augmentent le risque de crise cardiaque sont l'âge (les hommes de plus de 45 ans et les femmes de plus de 55 ans y sont davantage sujets), le tabac, le surpoids ou l'obésité, ainsi que l'hypertension.
Lors d'un arrêt cardiaque, le sang n'arrive plus au cer- veau. C'est un choc pour le cerveau. Si un arrêt cardiaque dure plus de 5-6 minutes sans aucune réanimation, les cel- lules du cerveau peuvent s'abîmer. C'est ainsi que des lésions cérébrales appa- raissent avec des séquelles temporaires ou durables.
L'infarctus du myocarde est une nécrose du myocarde se manifestant lorsqu'une ou plusieurs artères coronaires s'obstruent. De ce fait une partie du cœur n'est plus approvisionnée en sang et en oxygène.
Commencez par effectuer 30 compressions thoraciques. Pratiquez ensuite 2 insufflations. Alternez 30 compressions thoraciques et 2 insufflations. Continuez la réanimation jusqu'à ce que les secours d'urgence arrivent et poursuivent la réanimation, ou que la victime reprenne une respiration normale.
Chez les hommes et les femmes, l'inconfort ou la douleur thoracique est le symptôme le plus commun d'une crise cardiaque. Il est toutefois important de connaître les faits suivants : Les signes et symptômes ne sont pas toujours soudains ou graves. Certaines personnes n'éprouvent aucune douleur thoracique.
Lorsque la fréquence cardiaque est au-dessus de la barre des 100 battements par minute. Une fréquence cardiaque au-dessus de 100 n'est pas signe de bonne santé.
Mécanisme de l'infarctus du myocarde
C'est à partir de 4-5 heures du matin que sont libérées dans la circulation les hormones du réveil qui entraînent une augmentation physiologique de la fréquence cardiaque , de la tension artérielle et du risque d'infarctus du myocarde .
Une angiographie coronarienne (aussi appelée coronarographie) est un test qui consiste à prendre des radiographies des artères coronariennes et des vaisseaux qui alimentent le cœur.
Causes et facteurs de risque
L'infarctus du myocarde (IDM) est une des complications majeures de l'athérosclérose des artères coronaires. Il touche un homme sur cinq entre 40 et 60 ans, mais concerne également et de façon importante le sexe féminin et le sujet plus jeune.
Une douleur très intense et/ou persistante au niveau du coeur nécessite une prise en charge médicale immédiate. Il faut contacter les services d'urgence médicale en composant le 15 ou le 112.
Selon une étude publiée dans le European Heart Journal, les personnes s'endormant entre 22 et 23 heures ont un risque plus faible de développer une maladie cardiaque. Se coucher après minuit augmenterait de 25 % le risque cardiovasculaire, se coucher avant 22 heures de 24 %.
Le mécanisme de la mort subite est un trouble du rythme ventriculaire (fibrillation ventriculaire ou tachycardie ventriculaire) dans plus de 80%.
une tension artérielle supérieure à 140 mm/Hg ; la présence d'un antécédent familial d'infarctus du myocarde ; un excès pondéral (IMC>25)
Vous pouvez éprouver une toux persistante ou une respiration sifflante (sifflement dans les poumons ou respiration difficile) en raison de votre insuffisance cardiaque. La respiration sifflante est semblable à l'asthme, mais sa cause diffère dans les cas d'insuffisance cardiaque.
La tachycardie est un signe fréquent d'insuffisance cardiaque. L'asthme cardiaque est un ralentissement respiratoire (bradypnée) à prédominance expiratoire, sifflante, où manquent souvent toux et expectoration.