Épileptiques : Ces convulsions n'ont aucun déclencheur apparent (c'est-à-dire elles ne sont pas provoquées), et elles surviennent au moins deux fois. Une seule crise de convulsions n'est pas considérée comme de l'épilepsie. Les convulsions épileptiques sont appelées trouble convulsif ou épilepsie.
Les symptômes des convulsions fébriles de l'enfant
ses membres s'agitent involontairement, de manière saccadée et symétrique ; l'enfant perd conscience ou présente une courte absence ; ses yeux, quelquefois, se révulsent ou le regard est fixe.
Les convulsions peuvent être provoquées par différentes causes : épilepsie, atteinte au cerveau (manque d'oxygène), hypoglycémie sévère (manque de sucre), hypokaliémie (manque de potassium), traumatisme cérébral (chute), accident vasculaire cérébral, méningite, …
Les enfants en état de mal épileptique sont exposés à un risque de lésion cérébrale. Il est donc nécessaire de traiter rapidement toute convulsion durant plus de 5 minutes.
Que faire en cas de crise convulsive ? En cas de crise convulsive, il faut laisser se dérouler la crise. Pendant la durée des convulsions, ne touchez pas la victime et écartez ce qui pourrait la blesser. Par exemple, éloignez une table basse, éloignez les témoins, protégez avec des coussins ou des couvertures.
Il ne faut pas empêcher les tremblements ou les mouvements convulsifs, au risque de se blesser ou de blesser la victime ; Il ne faut pas mettre les doigts dans la bouche d'une personne qui faite une crise convulsive, vous risquez d'être gravement mordu et cela n'empêchera pas la victime de se mordre la langue.
En cas d'incertitude, appeler le 15 pour avis. Surveillance des constantes et de la vigilance. Protection du patient : position latérale de sécurité, libération des voies aériennes, prévention des risques de blessure. Le plus souvent, la crise est finie ; le patient se « réveille » lentement.
75 ans. - 50 % des épilepsies se manifestent avant l'âge de 10 ans. - L'espérance de vie des épileptiques est globalement inférieure de 10 à 20 % comparée à celle des sujets non épileptiques.
Quelles sont les causes de l'épilepsie ? Les épilepsies sont généralement dues à des facteurs génétiques, environnementaux et métaboliques ou peuvent être causées par des lésions du cerveau, la prise de certains médicaments ou l'exposition à une toxine. Dans un cas sur trois, on ne trouve aucune cause évidente4,5.
Après une crise d'épilepsie, surtout suite à une perte de conscience, la personne peut se sentir confuse et désorientée pour quelque temps. Cela s'explique par le besoin de récupération des neurones. Une perte de mémoire ou des maux de tête peuvent aussi survenir.
Leur utilisation n'est cependant pas systématique. L'IRM reste l'examen de référence pour la recherche des causes de l'épilepsie.
Les crises non-épileptiques psychogènes (CNEP) sont des crises très similaires à celles des patients épileptiques mais pour lesquelles on ne retrouve pas d'anomalie électrique dans le cerveau. On les appelle parfois « crises dissociatives », « crises fonctionnelles », « crises psychogènes » ou « pseudocrises ».
Les sucreries, la caféine et l'alcool entraînent des fluctuations de la glycémie et devraient donc être évités. Les pains à forte teneur en fibres ou de blé entier et les muffins au son aident à maîtriser les fluctuations du sucre dans le sang.
"Tout va dépendre du type de crise. Il y a des crises où on risque de tomber et de se blesser au sol, donc on peut se blesser en plus de la crise. Et il y a un risque de décès notamment après les grosses crises d'épilepsie, celles avec les convulsions.
La mortalité due à l'épilepsie
Le groupe formé par les patients épileptiques présente une surmortalité par rapport au reste de la population. Cela est dû au fait que certaines épilepsies sont conséquentes à des maladies graves du cerveau.
L'épilepsie est plus fréquente chez les enfants et les personnes âgées.
La majorité des personnes épileptiques ne présentent plus de crises grâce au traitement prescrit, parfois au bout de plusieurs années. Lorsque la cause initiale de l'épilepsie peut être traitée, la maladie guérit.
Éviter les facteurs déclenchant
Le manque de sommeil, la fatigue, le stress, la consommation excessive d'alcool, la consommation de drogues, l'oubli des médicaments ou parfois la lumière peuvent provoquer des crises.
Carbamazépine (Tégrétol®)
C'est le médicament des épilepsies partielles. Il peut aggraver certaines épilepsies généralisées. Ces deux dernières molécules (valproate de sodium et carmabazépine) sont toujours prescrites en première intention pour traiter une épilepsie.
un accident vasculaire cérébral qui réduit la quantité d'oxygène dans le cerveau ; une infection touchant le cerveau, comme une méningite, une encéphalite ou une neurocysticercose ; certains syndromes génétiques ; une tumeur cérébrale.
Elle se déclare dans 75 % des cas avant 18 ans, mais peut débuter à tout âge. Le site de l'Assurance Maladie précise que la moitié des enfants concernés par l'épilepsie guérissent à l'âge adulte. Dans 6 cas sur 10, on ne retrouve pas l'origine de l'épilepsie : on parle alors d' « épilepsie idiopathique ».
Les médecins spécialisés en neurologie sont des spécialistes des crises d'épilepsie et de l'épilepsie. Ils sont responsables du diagnostic et de la thérapie médicamenteuse. Si une opération s'avère nécessaire, ils font appel à un spécialiste en neurochirurgie.