Elle correspond à un ensemble de symptômes cliniques caractéristiques d'ordre psychologique, comportemental ou relationnel. A l'heure actuelle, le terme de maladie tend à être remplacé par celui de « trouble ».
Une maladie mentale est un ensemble de dérèglements au niveau des pensées, des émotions et/ou du comportement qui reflètent un trouble biologique, psychologique ou développemental des fonctions mentales.
Signes et symptômes à repérer : Émotionnels : tristesse, peur, angoisse, irritabilité, sentiment de dépréciation de soi. Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances.
Ainsi, maladies mentales, maladies psychiatriques, troubles mentaux, troubles psychiques sont des termes différents pour dire la même chose. Les maladies mentales sont actuellement classées par symptômes, en ne tenant pas compte du contexte d'émergence de ces symptômes.
Schizophrénie. La schizophrénie touche environ 24 millions de personnes – soit une sur 300 – dans le monde (1). Les personnes qui en sont atteintes ont une espérance de vie de 10 à 20 ans inférieure à celle de la population générale (4).
La logorrhée est un symptôme souvent présent dans les maladies psychiatriques et neurologiques chroniques. La personne ne se rend pas compte de son trouble, c'est pourquoi il est important de lui expliquer régulièrement ce qui lui arrive pour essayer de contenir son flux verbal.
Le psychiatre est le seul spécialiste des maladies mentales qui peut poser un diagnostic basé sur une évaluation complète incluant un examen mental et physique, des analyses de laboratoire, de l'imagerie médicale et une histoire psychosociale détaillée.
Ils comprennent l'agitation, l'agressivité, l'inhibition, les troubles obsessionnels compulsifs (TOC), les phobies, les désordres alimentaires (anorexie, boulimie…), l'hyperactivité, les addictions à l'alcool, au tabac, à la drogue, au jeu, au travail, au sexe, à Internet…
MALADIE, subst. fém. 1. [Chez l'homme] Altération de l'état de santé se manifestant par un ensemble de signes et de symptômes perceptibles directement ou non, correspondant à des troubles généraux ou localisés, fonctionnels ou lésionnels, dus à des causes internes ou externes et comportant une évolution.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
Un trouble psychique, qui peut être également désigné sous les termes de trouble psychiatrique ou encore de trouble mental, désigne un ensemble d'affections et troubles d'origines très différentes entraînant des difficultés dans la vie d'un individu et/ou de son entourage, des souffrances et des troubles émotionnels et ...
On dit qu'une personne est lunatique lorsqu'elle change brusquement et fréquemment d'humeur et de caractère. Il faut néanmoins distinguer ce comportement en dents de scie (sautes d'humeur) des véritables troubles bipolaires (ex-troubles maniaco-dépressifs) qui sont des troubles psychiatriques reconnus.
Dépression, bipolarité, schizophrénie, troubles anxieux... La psychiatrie prend en charge les troubles de la santé mentale.
Perturbation dans l'accomplissement d'une fonction physique ou psychique, pouvant se manifester au niveau d'un appareil, d'un organe, d'un tissu : Troubles respiratoires.
Si la thérapie seule n'est pas suffisante et qu'une prise en charge médicale est nécessaire, le psychologue vous orientera vers un psychiatre. Inversement, le psychiatre peut également proposer un suivi chez un psychologue à la place ou en complément du suivi psyschiatrique.
Les psychologues cliniciens et les psychothérapeutes détenteurs d'un permis sont également qualifiés pour établir un diagnostic de dépression. La méthode la plus efficace est d'allier psychothérapie et médication. Vous, votre médecin et votre psychothérapeute peuvent contribuer à votre plan de traitement.
Psychiatre ou psychologue : quelle différence ? Contrairement au psychiatre, le psychologue n'est pas médecin, c'est un universitaire : ce professionnel est détenteur d'un master en psychologie. A ce titre, il ne peut pas prescrire de médicaments : c'est par la parole qu'il traite la maladie mentale de son patient.
Les troubles de la personnalité sont le résultat d'une interaction génétique et environnementale. Certaines personnes naissent avec une tendance génétique à souffrir d'un trouble de la personnalité et cette tendance est ensuite effacée ou renforcée par des facteurs environnementaux.
Les troubles de la personnalité sont notés sur l'axe 2 du DSM-IV-TR de l'Association américaine de psychiatrie et dans le Chapitre 05 de la CIM-10 (Classification internationale des maladies), publiée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Introvertis versus extravertis
Une perception qui oppose encore une fois les extravertis, ceux qui puisent leurs énergies dans des situations sociables, entourés d'autres personnes, aux introvertis, qui sont au contraire plus créatifs et productifs dans un environnement calme, et qui préfèrent souvent la solitude.
L'hypocondrie frappe les hommes autant que les femmes. Elle consiste à se croire malade, à partir d'une invention ou d'une exagération de symptômes bénins. Malade imaginaire, l'hypocondriaque peut nourrir une telle crainte de sa condition... qu'il se rend vraiment malade !
Parler tout seul est un bon signe!
En effet, des scientifiques de l'Université de Bangor au Royaume-Uni ont mené une étude qui le confirme. Parler à voix haute développe des bienfaits cognitifs ! Les personnes qui utilisent cette pratique, supposée être un réflexe, peuvent être très intelligents.
La logorrhée correspond à une surproduction verbale caractérisée par un flux de paroles rapide, long et diffus. Ce terme médical est souvent utilisé en psychiatrie. La logorrhée est souvent le signe d'un trouble psychiatrique et survient généralement lors d'accès maniaques.