Il ne faut pas confondre la mort cérébrale et le coma. La mort cérébrale correspond à l'arrêt des fonctions cérébrales, et donc de la respiration et du cœur, alors que ces fonctions peuvent être conservées dans le coma.
La mort cérébrale signifie que le cerveau cesse de fonctionner. Les personnes ne réagissent à aucun stimulus. Aucun traitement ne peut aider, et une fois le diagnostic confirmé, la personne est légalement déclarée morte.
La mort cérébrale est une perte de fonction du cerveau et du tronc cérébral, se traduisant par un coma avec perte de la respiration spontanée et de tous les réflexes du tronc cérébral. Les réflexes spinaux, y compris ostéotendineux, la flexion plantaire et les réflexes de retrait peuvent être maintenus.
Le cœur, qui est pour sa part autonome, continue de battre un moment, jusqu'à ce que le manque d'oxygène ait raison de lui et que l'arrêt cardiaque survienne. «Pour les médecins, la mort est la cessation irréversible de toutes les activités du cerveau, précise Éric Racine.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures. Les photos ou lettres sont quant à elles autorisées car elles ne ralentissent pas la décomposition naturelle du corps.
Le corps :
Les yeux restent mi-ouverts et le regard est fixe, la personne semble ne plus voir. Cependant, comme il est écrit précédemment, le sens de l'ouïe étant le dernier à quitter le corps, la personne mourante peut encore entendre ce que l'on dit mais ne peut répondre en raison de sa faiblesse.
Réveil en état de mort cérébrale : est-ce possible ? "Non, si on est mort, on est mort ! Ce qui est possible, en revanche, c'est d'être en état de mort apparente (notamment en cas d'hypothermie…).
Une étude confirme l'hypothèse. C'est une première dans l'histoire. Des scientifiques ont enregistré l'activité cérébrale d'un patient au moment de son décès. Et surprise, le cerveau serait toujours en fonction après l'arrêt du cœur.
Le coma n'est pas la mort cérébrale
Le cœur du patient bat encore (temporairement) grâce aux techniques d'assistance de réanimation. C'est dans cette situation que se pose la question du don d'organe envers un tiers.
« Coma stade 3 » : c'est le coma profond ou coma carus. Il n'y a plus aucune réaction aux stimuli douloureux.
« Il faut parler à une personne dans le coma » entend-on dans les films. Tout dépend de ce qu'on appelle coma. Entre l'état végétatif, où le patient peut encore sourire ou sursauter de façon réflexe, et l'état de conscience minimale où il entend ce qu'on lui dit, la frontière est ténue.
Elle peut aussi voir des choses que les autres ne voient pas ou bien leur parler (hallucinations). Elle peut essayer de sortir de son lit ou bouger davantage quand elle est couchée. Elle peut modifier complètement son cycle de sommeil et ainsi dormir le jour et rester éveillée la nuit.
Coma urémique (stade terminal d'insuffisance rénale chronique) ; Coma myxoedémateux et de l' hyperthyroïdie ; Coma hypercapnique ; Coma hépatique : l'encéphalopathie hépatique se voit lors des hépatites graves.
La seule solution face à un arrêt cardiaque est de faire repartir le cœur par un choc électrique ou défibrillation, après avoir prévenu les secours (Samu au 15). Le défibrillateur fait le diagnostic de l'état cardiaque de la victime et délivre un choc électrique si cela est nécessaire.
Le rhombencéphale
Cette structure permet le contrôle du rythme respiratoire, de l'activité cardiaque et du niveau de glucose dans le sang.
Les narines, la bouche, et l'anus peuvent être lieux d'écoulement des fluides, présents dans le système digestif ou le système respiratoire. Sous la pression des gaz, issus de la fermentation bactérienne, ces liquides peuvent refluer par ces orifices naturels.
Le sang peut alors rester dans les veines et les capillaires, mais, avec la décomposition, ceux-ci peuvent aussi rompre et le sang se disperse alors dans les tissus. Le sang va ensuite aussi se décomposer, les globules rouges éclatent généralement (ce qu'on appelle l'hémolyse) et sont dégradés.
6. Le corps a une odeur très désagréable. On entre dans le cycle de putréfaction : les bactéries vivant dans le corps commencent par attaquer le système digestif, puis tous les organes (foie, rate, cœur, cerveau...). Vont alors se produire des réactions chimiques liées à la décomposition du corps.
Dans ce cas, c'est le médecin qui peut prendre la décision d'interrompre ou de ne pas entreprendre des traitements jugés « inutiles, disproportionnés ou n'ayant d'autre effet que le maintien artificiel de la vie » à l'issue d'une procédure collégiale.
Une personne en état végétatif ne possède plus aucune conscience d'elle-même, de son environnement, et est incapable de la moindre réflexion. Elle peut seulement ouvrir les yeux. Cet état d'inconscience se produit lorsque la partie du cerveau qui contrôle la pensée et le comportement ne fonctionne plus.
Le réveil du coma s'annonce par des petits signes, comme ouvrir les yeux ou faire une grimace sur commande. Avec le temps, ces réactions deviennent de plus en plus reproductibles, jusqu'à ce qu'une véritable interaction s'installe. Le patient a certes besoin de stimulation, mais aussi de beaucoup de repos.
La personne pleure. Elle veut parfois exprimer cette tristesse seule et parfois être accompagnée dans l'expression de cette grande peine. Les personnes en fin de vie expriment souvent qu'elles auraient voulu que cette vie se poursuive encore longtemps et comment il est difficile de laisser ceux qu'on aime.
C'est souvent, après de longs détours, qu'une allusion à la fin de vie va être évoquée par le patient, de manière non explicite ou sous forme d'une interrogation, en montrant le corps touché par la maladie, soit en demandant jusqu'où cela peut aller, soit en reparlant de l'inefficacité du dernier traitement, soit, tout ...
Le maintien de l'hydratation artificielle (même par voie sous cutanée) après arrêt de l'alimentation, risque de prolonger la phase agonique. Ainsi, à un certain stade, maintenir l'hydratation artificielle nuit à la qualité de vie du patient.