La bataille de Verdun est une bataille qui s'est déroulée du 21 février au 18 décembre 1916 dans la région de Verdun en Lorraine, durant la Première Guerre mondiale. Elle a opposé les armées françaises et allemandes.
La bataille de 1916 prend fin après dix mois de combats intenses : elle a fait plus de 700 000 victimes : 305 000 tués et disparus et 400 000 blessés environ, avec des pertes presque identiques dans les deux armées adverses.
La bataille de Verdun de 1917
Cette bataille fut également un succès pour la France, puisque les troupes réussirent enfin à retrouver ses anciennes lignes de 1916, que les Allemands ne parviendront plus à reprendre. Ce n'est cependant pas encore la fin : Verdun et ses environs verront encore des combats jusqu'en 1918.
Après dix mois d'enfer, la bataille de Verdun prend fin le 15 décembre 1916 sans qu'aucun camp ait gagné un pouce de terrain. L'avantage reste aux Français mais c'est au prix d'une terrible hécatombe. Verdun est le tournant de la Grande Guerre et, pour les poilus, le symbole de toutes ses horreurs.
La bataille la plus meurtrière de la Première Guerre Mondiale. La bataille de la Somme est non seulement l'une des plus grandes opération militaire de la Première Guerre Mondiale, mais elle fut aussi la plus meurtrière. Cette bataille de plus de 4 mois fit plus d'1,2 million de morts, blessés ou disparus.
Albert Fernand Séverin Roche (Réauville, 5 mars 1895 – Avignon, 14 avril 1939 ), est un soldat français ayant combattu pendant la Première Guerre mondiale. Il est connu pour être le soldat français le plus décoré de cette guerre, avoir été blessé neuf fois et avoir capturé un total de quelque 1 180 soldats allemands.
Seconde Guerre mondiale (1939-1945) : le conflit le plus meurtrier de l'histoire.
L'ancien commandant en chef des armées françaises aura été auréolé d'un immense prestige au sortir de la Grande Guerre avant que son destin ne se confonde avec la collaboration et le régime de Vichy lors de la Seconde Guerre mondiale.
Surnommée « la mère des batailles », à cause de son ampleur sans précédent, elle aboutit en effet à un résultat nul : les deux armées ayant autant de pertes.
Les Auvergnats ou Bougnats étaient perçus péjorativement. "Bougnat", pour dénigrer quelqu'un, aurait donné Bougnoule. On dit que les Allemands (occupants en 40/45) en France auraient aussi utilisé "Bougnoule" pour les Français.
En position de force, von Falkenhayn, chef d'état-major des armées allemandes, décide de lancer sur Verdun l'armée du Kronprinz de Prusse, prince héritier de l'empire allemand. A Verdun, le front forme un saillant, ce qui permet plus facilement des attaques convergentes des deux côtés.
C'est ici qu'avec une fermeté tranquille, la France lui a répondu « on ne passe pas ». La formule « Verdun, on ne passe pas » devient la devise inscrite sur la médaille de Verdun.
La première phase de la bataille de Verdun est l'offensive allemande le 21 février 1916 et la seconde est quand les français ont repris le dessus et ont laissé les allemands dans une position de défense (env. 20 août 1916).
La diminution de la pression allemande sur Verdun, permet aux Français reprendre l'offensive afin de récupérer le terrain perdu depuis le 21 février. Le 24 octobre, les huit divisions commandées par le général Mangin se lancent à l'assaut et s'emparent des forts de Douaumont (24 octobre) et de Vaux (2 novembre).
La bataille de Verdun est intense et les conditions de vie des soldats dans les tranchées sont extrêmement dures. La Nation prend rapidement conscience de l'importance de l'enjeu pour la suite de la guerre.
Parallèlement, des thèses négationnistes instrumentalisent l'héritage de Pétain et servent une idéologie complotiste. En 1945, Philippe Pétain est reconnu coupable de haute trahison et d'intelligence avec l'ennemi. Il est condamné à l'indignité nationale, dégradé, privé des droits civiques et de toute décoration.
Maréchal de France et homme d'État français (Cauchy-à-la-Tour 1856-Port-Joinville, île d'Yeu, 1951). Du vainqueur de la Grande Guerre au chef réactionnaire d'une France humiliée par l'occupant allemand, Philippe Pétain laisse une image contrastée.
RÉCIT - Il y a 75 ans jour pour jour, le maréchal Pétain était jugé pour complot contre la sûreté de l'État et intelligence avec l'ennemi. Condamné à mort, sa peine fut commuée en prison à perpétuité.
L'objectif pour l'Allemagne est de récupérer les forts et les tranchées de Verdun. Les Poilus résistent dans un premier temps et le commandant Philippe Pétain organise rapidement la riposte. Celui-ci fait venir des renforts par la route de Bar-le-Duc que l'on surnomme « La voie sacrée ».
Le chef d'état-major des troupes allemandes Falkenhayn choisit donc Verdun en raison de sa vulnérabilité pour y engager la bataille et concentre l'artillerie au nord de la ville.
Mais la célébrité et la gloire sourient à Pétain lorsque les premiers journalistes sont autorisés à se rendre sur le front puisqu'ils font du commandant une véritable arme de propagande : il est présenté comme un homme avec des immenses talents militaires et ils lui donnent le surnom du héros de Verdun.
Des centaines de milliers de civils meurent aussi sous les bombes, en plus des soldats. En proportion de la population, la Pologne est le pays le plus durement touché, avec 15 % de sa population décimée (5,4 millions de victimes, dont 3 millions de Juifs).
Les trois principaux partenaires de l'Alliance de l'Axe sont l'Allemagne, l'Italie et le Japon. Ces trois pays reconnaissent la domination de l'Allemagne et de l'Italie en Europe continentale, et celle du Japon à l'est de l'Asie.