Toujours placée après la principale, elle exprime le résultat produit par l'action de la principale (qui en est la cause).
La subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence peut être… introduite par les conjonctions : au point que, de sorte que, de façon que, si bien que ; Exemple : Bob est très intelligent [si bien qu'il réussit sans peine].
Une proposition subordonnée circonstancielle est une proposition qui joue le rôle d'un complément circonstanciel. Elle constitue donc un groupe facultatif et peut être supprimée de la phrase. Je travaillerai [ pendant que tu dormiras ]. La subordonnée pendant que tu dormiras est c.
parce que, puisque, comme, vu que, attendu que, du moment que, sous prétexte que sont suivies de l'indicatif. Conjonctions de subordination qui marquent la conséquence: de telle sorte que, de telle manière que, au point que, si bien que sont suivies de l'indicatif.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence est introduite par une conjonction de subordination exprimant la conséquence et est complément circonstanciel de conséquence de la proposition principale. Les feuilles sont tombées si vite qu'on a l'impression que l'automne est déjà fini.
Adverbes et conjonction de coordination exprimant la conséquence. Les adverbes et locutions adverbiales "c'est pourquoi", "à cause de cela", "c'est pour cela", "aussi", "ainsi", "par conséquent", "en conséquence", et la conjonction de coordination "donc" introduisent l'expression de la conséquence.
La conséquence exprime l'effet logique provoqué par une action. Introduite par si bien que, c'est pour cela que, au point que, si… que, trop… pour que… Il a eu un empêchement si bien qu'il ne peut pas venir ce soir.
Une proposition subordonnée peut être complément du nom (ou du pronom) antécédent. C'est la fonction la plus fréquente de la proposition subordonnée relative. Ex. : Nous n'avons pas encore mangé le gâteau [que tu as confectionné]. → que tu as confectionné est complément de l'antécédent gâteau.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de cause indique le fait qui est à l'origine de celui de la proposition principale. Elle est introduite par puisque, sous prétexte que, parce que, vu que, étant donné que, du moment que, comme, etc. Il n'est point mort, puisqu'il respire en vous.
Pour reconnaître un complément circonstanciel, on pose les questions « quand ? », « pendant combien de temps ? », « où ? », « comment ? », « dans quel but ? », « pour quelle raison ? », etc.
Le complément circonstanciel de conséquence (CC de conséquence) exprime le résultat d'une action. Il répond à la question « avec quel résultat ? ». Il est introduit par : à, pour, au point de, de manière à, si bien que … Il est souvent suivi d'un verbe à l'infinitif.
Le CC de conséquence est un ensemble de mots qui exprime le résultat d'une action. Il répond à la question : « Avec quel résultat ? », « Pour (quel résultat) ? », « De manière à obtenir quel résultat ? » …
En conséquence signifie "conformément, donc, par conséquent, cela étant". Exemple : Etant donné l'état d'énervement dans lequel je l'ai trouvé, je n'ai fait qu'agir en conséquence.
Définition de conséquence nom féminin
Suite qu'une action, un fait entraîne. ➙ effet, résultat, suite. La cause et les conséquences. Conséquences sérieuses, graves.
Suite d'un événement ou d'une action. Résultat, conclusion, répercussion retombée qui est engendré.
La conséquence est un fait qui résulte d'un autre fait. Exemple : Il est non voyant, donc il ne peut pas le voir. Il est non voyant : résultat ?
La cause est la raison d'un fait, on la trouve souvent derrière « car », « à cause de », « parce que », etc. La conséquence est le résultat d'une cause, on la trouve souvent derrière « donc », « par conséquent », « si bien que », etc.
La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de but est introduite par pour que, afin que, de peur que. Ex. : Il s'adresse à un ami pour qu'il l'aide à trouver du travail. Il lui rappelle sa promesse de peur qu'il ne l'oublie.
La subordonnée de condition introduite par si est toujours à l'indicatif. Le mode de la principale, lui, varie : si la condition est considérée comme sûre, la principale est à l'indicatif (ou à l'impératif) ; Exemple : Si tu pars, je t'accompagnerai. si la condition est incertaine, la principale est au conditionnel.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
La proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel est une proposition subordonnée, c'est-à-dire qu'elle dépend d'une proposition principale dont elle complète le sens. On l'appelle conjonctive, parce qu'elle est introduite par une conjonction de subordination, ou une locution conjonctive.