Les deux propositions sont séparées par une conjonction de coordination → les deux propositions sont coordonnées indépendantes. La juxtaposition et la coordination permettent de relier des propositions indépendantes, qui ne dépendent ni de l'une ni de l'autre et qui présentent chacune un sens complet.
De ce fait, les Propositions Indépendantes n'ont pas de Fonctions puisqu'elles ne dépendent d'aucune autre Proposition. On peut la considérer comme une Proposition Principale sans ou en attente d'une Subordonnée. La Proposition Indépendante se suffit à elle-même et ne dépend d'aucune autre Proposition.
Sa fonction est le plus souvent complément de l'antécédent et elle sert généralement d'expansion du nom.
La proposition principale, la proposition indépendante ( coordonnée, juxtaposée ou non ) n'ont pas de fonction. La proposition subordonnée relative est toujours complément de l'antécédent du nom. La proposition subordonnée conjonctive a pour fonction Complément circonstanciel (de temps, de manière, de but, de cause...)
La juxtaposition consiste à lier des éléments à l'aide d'un signe de ponctuation. Il s'agit d'une forme de coordination sans coordonnant. Violette a reçu son diplôme, elle est fière d'elle. Dans cet exemple, les phrases Violette a reçu son diplôme et elle est fière d'elle sont juxtaposées à l'aide d'une virgule.
- Lorsqu'il y en a plusieurs dans une phrase, elles sont juxtaposées si elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. - Elles sont coordonnées lorsqu'un mot de liaison les relie.
La juxtaposition est un procédé qui permet de placer deux propositions immédiatement l'une à côté de l'autre. Cette phrase est une juxtaposition car elle relie 2 propositions. Il n'y a pas de proposition principale : chaque proposition est indépendante.
La proposition principale se trouve généralement avant la subordonnée : Je vous recontacterai (principale) dès que la décision sera prise (subordonnée). Mais elle peut se placer après la subordonnée : Dès que la décision sera prise (subordonnée), je vous recontacterai (principale).
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
Qui, pronom relatif. Qui, sujet, peut représenter des personnes ou des choses : l'homme qui parle ; le chien qui aboie ; la pomme qui tombe.
Quand deux propositions sont reliées par un signe de ponctuation, elles sont juxtaposées. Quand elles sont reliées par un mot coordonnant, elles sont coordonnées.
Identifier la structure grammaticale
🔍 Une proposition subordonnée est souvent introduite par : Une conjonction de subordination (comme "que", "si", "quand", "parce que", etc.) Un pronom relatif (comme "qui", "que", "dont", etc.)
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
On distingue les propositions indépendantes (qui sont parfois coordonnées ou juxtaposées), les propositions principales, et les propositions subordonnées (ces dernières pouvant elles-mêmes être conjonctives complétives, conjonctives circonstancielles, relatives, interrogatives indirectes, ou même infinitives et ...
Proposition indépendante : Elle ne dépend d'aucune autre proposition et aucune ne dépend d'elle. Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition.
La subordonnée relative a comme fonction principale de compléter le sens de son antécédent. Elle joue un rôle d'adjectif épithète. On la nomme parfois aussi subordonnée adjective. Elle occupe la plupart du temps la fonction de complément de nom ou de pronom.
La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle apporte des précisions sur les circonstances dans lesquelles a lieu la proposition principale. Elle joue le rôle de complément circonstanciel. Elle est introduite par une conjonction de subordination (quand, si, comme, etc.)
Les principales conjonctions introduisant une proposition subordonnée circonstancielle de cause sont : « parce que », « comme », « puisque », « du fait que », « vu que », « attendu que », « étant donné que », « sous prétexte que », « du moment que », etc.
Analyser logiquement une phrase revient à découper la phrase en propositions, à donner la nature de chacune d'entre elles et la fonction des subordonnées. Faire l'analyse logique de la phrase suivante : Je suis déçu, j'ai perdu mes billes alors que la récréation n'était pas terminée.
La fonction de la proposition subordonnée relative est complément de l'antécédent. Le livre dont tu m'as parlé. → « Le livre » est l'antécédent de la proposition subordonnée relative « dont tu m'as parlé », introduite par le pronom relatif « dont ».
On reconnaît les propositions avec leur verbe conjugué. Les propositions indépendantes coordonnées sont réunies par des petits mots : mais, ou, et, donc, or, ni, car ; ou des adverbes de liaison : ainsi, alors, ensuite, en effet, pourtant, cependant.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
La coordination est une des façons de relier les propositions d'une phrase complexe par une conjonction de coordination (« mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car ») ou un adverbe de liaison (« puis », « ensuite », « ainsi », « cependant », etc.). On dit que les deux propositions sont coordonnées.
Re: Les propositions coordonnées et subordonnées.
Ces phrases sont toutes les deux des phrases complexes qui expriment la cause mais de deux façons différentes, l'une par la coordination, l'autre par la subordination (il s'agit d'une subordonnée conjonctive circonstancielle de cause).