Le yiddish est une langue traditionnellement utilisée par la diaspora juive ashkénaze en Europe centrale et orientale. Les Juifs séfarades, qui parlent le ladino, se sont installés pour la plupart dans la péninsule ibérique et en Afrique du Nord.
Le yiddish (ייִדיש /ˈjɪdɪʃ/ ou /ˈjiːdɪʃ/), également orthographié en français yidich, d'après les recommandations de linguistes, mais aussi yidish, jiddisch, jidisch, yiddisch, idiche ou yidiche, est une langue germanique dérivée du haut allemand, avec un apport de vocabulaire hébreu et slave, qui a servi de langue ...
Les Ashkénazes ont en effet pour langue vernaculaire le yiddish, qui prend pour base le haut allemand médiéval et y ajoute de l'hébreu, du polonais et du russe. Quant aux Séfarades, ils parlent le judéo-espagnol, langue logiquement empruntée à l'espagnol et à laquelle viennent se greffer des mots hébreux.
Les textes sacrés et les discussions rabbiniques sont tous écrits en hébreu. Son utilisation est réservée à la liturgie juive (langue liturgique ou cultuelle) et au monde de la littérature rabbinique, la correspondance entre lettrés (langue savante) ou dans les documents commerciaux entre Juifs (langue véhiculaire).
Les papillotes (hébreu : פאות הראש peot ou payess harosh, « bords de la tête ») sont les mèches de cheveux (une de chaque côté du visage) typiques des hommes juifs orthodoxes, lesquels ont coutume de les porter sur les tempes ou derrière les oreilles à partir de l'âge de trois ans.
Dans les pays occidentaux (Europe, Amérique, Afrique du Sud, et dans une moindre proportion, Israël), le judaïsme se divise en divers courants (appelés aussi tendances, branches, mouvements) et dénominations issus de trois grandes familles : orthodoxe, réformée, laïque.
Le Talmud indique que le port de la kippa a pour but de rappeler que Dieu est l'Autorité suprême « au-dessus de nous » (Kiddouchin 31a). Ce n'est qu'à l'époque médiévale que l'on commence à légiférer sur le port de la kippa.
L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus- Christ.
Important changement, alors que la Torah et la Mishna sont rédigées en hébreu (bien que l'hébreu mishnaïque ne soit plus identique à l'hébreu biblique), la Guemara l'est en araméen, ayant été compilée à Babylone. La notion de Guemara est à peu près équivalente à celle de Talmud en hébreu, terme bien plus connu.
Celle du passé. Venus du « Yiddishland », la région juive d'Europe centrale et orientale, de nombreux émigrés abandonnent alors progressivement leur langue historique au profit de l'hébreu. Aujourd'hui, le yiddish est très peu parlé à Israël, hormis dans quelques localités comme Bnei Brak, dans la banlieue de Tel-Aviv.
Compte tenu de la population juive d'Israël. de 6 665 600 personnes selon la même source, la population juive dans le monde se monte alors à 14 607 100 personnes, dont 45,6 % vivent en Israël, 39 % aux États-Unis et 15,3 % dans d'autres pays.
Les Juifs ashkénazes tirent leurs coutumes du Talmud de Jérusalem (mais ils étudient et obéissent aux décrets du Talmud de Babylone) et leur liturgie des sages de Tibériade, contrairement aux Juifs séfarades et mizrahim, descendants des exilés de Babylone, qui suivent la liturgie et le Talmud de Babylone.
Dans le secteur juif, les dix prénoms les plus donnés étaient : Avigail, Tamar, Yael, Noa, Adèle, Mia, Sarah, Libi, Hila et Léa. Chez les garçons, le prénom Mohammed a été donné 1949 fois, suivi par Adam 1364, Yossef 1294, David 1119, Ariel 1053, Omer 1039, Lavi 864, Daniel 828, Rafael 779 et Ori 774.
Est juif orthodoxe celui qui reconnaît devoir se conduire selon le corpus de règles établies par la tradition orale et le Talmud jusqu'à aujourd'hui qu'est la Halakha. Au fur et à mesure du temps, la Halakha a été codifiée dans des codes de lois faisant autorité pour les générations futures.
Le yiddish est une langue germanique parlée par les Juifs ashkénazes. Les ashkénazes – ou achkénazes – sont une communauté juive de langue et de culture yiddish par opposition à la communauté séfarade, de l'hébreu « sefardi ».
L'araméen écrit est également utilisé en Palestine, en concurrence avec l'hébreu. La langue a donné son nom à l'alphabet araméen avec lequel elle était écrite.
Elohim (Hébreu : אֱלֹהִים) est le nom le plus couramment utilisé de Dieu dans la Bible hébraïque, et le premier à y apparaître (Gn 1,1). Contrairement aux autres noms mentionnés dans cet article, il est aussi utilisé pour désigner les divinités des autres religions (ex : Ex 9,1, Ex 12,12, Ex 20,3).
La Bible hébraïque : « Le mot Torah est formé à partir d'une racine hébraïque yarah qui signifie "enseigner". Torah désigne d'abord les cinq premiers livres de la Bible ou Pentateuque, mais aussi le rouleau de parchemin sur lequel est copié le texte de la Torah, et par extension, tous les écrits sacrés du judaïsme.
En son sens premier, la Torah désigne le Pentateuque, dont la tradition juive attribue la rédaction à Moïse, inspiré par Dieu.
Ainsi, la forme Yeshoua (ישוע) est souvent employée dans les traductions du Nouveau Testament en hébreu. Le nom Yeshoua est aussi utilisé dans des textes historiques d'hébreu israélites pour parler d'autres Joshua mentionnés dans des textes en grec comme Jésus ben Ananias ou Jésus ben Sira.
Parce que le Christ voulait être compris des foules, notamment celles qui venaient écouter ses enseignements, ce dernier s'exprimait en araméen, parlé par un nombre important de peuples du Moyen-Orient. Toutefois, l'hébreu ayant subsisté dans la liturgie, il parlait également cette langue.
Jésus parlait donc l'araméen dans la vie de tous les jours, et parce qu'il voulait être compris des foules qui venaient l'écouter, ses enseignements étaient donnés en araméen. Le texte des évangiles en porte d'ailleurs la trace.
Le schtreimel (Yiddish: שטרײַמל, pl. שטרײַמלעך shtreimlech) est un chapeau de fourrure porté par de nombreux Juifs, plus particulièrement — mais pas exclusivement — par des membres de groupes hassidiques, pendant le shabbat, les fêtes religieuses et autres célébrations.
Se couvrir la tête
Traditionnellement, il est obligatoire pour les hommes de porter la kippa, la calotte traditionnelle juive, pour entrer dans une synagogue. Le port d'un chapeau ou d'une kippa est un signe d'humilité et de reconnaissance devant Dieu, au-dessus de nous.
Pour les personnes chauves, il faut choisir une kippa de plus grande taille, plus enveloppante, qui tient alors plus facilement, comme le fait une casquette, surtout dans une synagogue lors des prières, vu qu'il n'y a pas de grand vent et que l'on ne prend pas de positions acrobatiques avec la tête en bas.