La langue arabe levantine est partagée entre les Libanais, les Syriens, les Palestiniens, les Druzes, les Alawites et les Juifs. L'arabe classique, ou littéraire, appelé aussi l'arabe moderne standard, demeure la langue officielle du Liban dans la constitution libanaise et dans les textes de loi du Liban.
Près de 40 % des Libanais sont considérés comme francophones, et 15 % partiellement francophones ; 70 % des écoles secondaires du Liban utilisent le français comme deuxième langue d'enseignement. Par comparaison, l'anglais est utilisé comme langue secondaire dans 30 % des écoles secondaires du Liban.
En effet, presque tous les Libanais parlent l'arabe classique, 45 % le français et 40 % l'anglais.
L'arabe classique est la langue officielle du Liban, mais la langue la plus parlée dans le pays est l'arabe libanais, avec ses diverses influences. Dans le pays, 96% de la population parle arabe. Le français quant à lui, fut une langue officielle du Liban avant d'être effacée de la constitution.
Pour dire bonjour le matin en arabe, on dit « sabah al kheir » ; « kheir » signifie « bonté ». La traduction littérale est « matin de bonté » et la réponse à cela serait de changer « bonté » par un mot tout aussi positif, comme « fleurs » ou « lumière ».
En plus de l'arabe classique et l'arabe levantin, le français est aussi parlé par les Libanais. « L'utilisation de la langue française remonte à des liens historiques de la France dans la région, y compris son mandat de la Société des Nations sur le Liban qui suit la Première Guerre mondiale » (Khoury, 75).
Pour dire merci en arabe libanais, on pense souvent à CHOUKRAN qu'on peut écrire shukran.
Même si le Liban a connu temporairement, pendant des périodes de domination, des peuplements minoritaires européens ou ottomans, tous les Libanais sont arabes, à l'exception des Libanais arméniens ayant réussi à fuir le génocide turc. Enfin, Le Liban est un pays très homogène sur le plan linguistique.
Les musulmans du Liban représentent plus de la moitié de la population du pays. C'est le pays du Proche et Moyen-Orient où ils constituent la proportion la moins importante après l'État d'Israël. Les musulmans représenteraient 54 % de la population totale du Liban, où 40,5 % sont chrétiens et 5,5 % druzes.
Un peu moins de 60 % de la population est musulmane (chiites et sunnites surtout, Druzes). La communauté chrétienne est dominée par les maronites (42 % de la population), les Arméniens, les Grecs orthodoxes et les Grecs catholiques.
Dans l'Antiquité, le Liban, pays du Proche-Orient tourné vers la mer, s'appelait la Phénicie. Ses habitants étaient de très habiles commerçants et aussi des marins, fondateurs de grands ports comme celui de Tyr.
L'ITALIEN – LA PLUS BELLE LANGUE D'EXPRESSION CORPORELLE
Cette langue chantante et bruyamment joyeuse est non seulement chargée d'émotion de par son intonation et sa cadence, mais aussi de par sa gestuelle passionnée, associée à certaines situations ou expressions.
Les débuts de la République libanaise
Le premier haut commissaire du gouvernement français chargé de l'exécution de ce mandat est le général Gouraud qui proclame la création de l'état du "Grand Liban" le 1er septembre 1920 .
La colonisation française (1920-1943) a œuvré à imposer la fameuse politique « Diviser pour mieux régner », afin d'imposer sa domination et son influence par la force, ce qui a attisé les divisions et les conflits interconfessionnels, au sein de la société libanaise, qui continue toujours d'en payer le prix.
Les relations entre la France et le Liban sont fondées sur plusieurs aspects, historiques, culturels et politiques. Les deux pays sont francophones et démocratiques. Il y aurait 23 000 Français au Liban, dont environ deux-tiers de binationaux, et 210 000 Libanais en France.
Le 28 avril 1920, la France est officiellement investie par la Société des Nations d'un « mandat pour la Syrie et le Liban » (en fait un protectorat). Elle va transformer ces anciennes provinces ottomanes en deux Républiques laïques... non sans officialiser le communautarisme religieux.
Première langue « étrangère » en usage au Liban, le français est à la fois langue de culture, d'enseignement et de communication. 45 % de la population libanaise est entièrement ou partiellement francophone et 55 % des Libanais ignorent totalement cette langue.
Ce protectorat est né en réalité pendant la Première Guerre mondiale. En novembre 1916, alors que la bataille de Verdun fait rage, deux diplomates, le Français François Georges-Picot et le Britannique Mark Sykes, partagent les possessions de l'Empire ottoman, allié de l'Allemagne et de l'Autriche-Hongrie.
Son histoire, son système politique et la variété de sa culture, de sa démographie religieuse et de sa géographie en font un pays à part et original au Proche-Orient. Le Liban, au cours des siècles, a fait partie de diverses civilisations. Il est aussi réputé pour sa gastronomie, son histoire et sa musique.
Le Hezbollah a comme principe central le djihad contre Israël. Il dispose également d'un groupe paramilitaire multiconfessionnel qui lui est subordonné dont sont membres des chrétiens, des druzes et des sunnites, les Brigades de la résistance libanaise.
Le Liban traverse une profonde crise sociale et humanitaire, amplifiée par l'explosion du 4 août 2020.
Continue reading, les femmes libanaises sont connues pour leur beauté, leur coquetterie et leur apparente liberté. Au Moyen-Orient, l'image du Liban est celle d'un pays aux nombreux contrastes, où les minijupes et les voiles se côtoient sur la Corniche de Beyrouth.
Elle s'utilise en français à des occasions très précises, liées à des fêtes du calendrier musulman. Cette expression s'emploie comme formule de vœux au moment de l'Aïd el-Fitr (à la fin du ramadan) et de l'Aïd el-Adha.
C'est aussi tout naturellement en libanais et au beau milieu d'une phrase en français qu'ils adresseront à leurs proches ou même à des personnes qu'ils rencontrent pour la première fois des marques d'affection telles que « hayété » (ma vie), « habibi » (mon amour), « aaïné » (mes yeux) ou « to'borné » (que tu m' ...
Voici quelques expressions clés pour exprimer ses regrets et dire qu'on est désolé en arabe : « أعتذر بشدة » (A'tathir bishiddah) – « Je m'excuse profondément. » « آسف جداً » (Aasif jiddan) – « Désolé profondément. »