Conclusion : loi d'additivité des tensions dans un circuit série : dans un circuit série, la somme des tensions aux
(Électricité) Groupe de bornes isolées électriquement entre elles, et isolées de leur support.
La tension aux bornes d'un ensemble de dipôles récepteurs associés en série est égale à la somme des tensions aux bornes de chacun des dipôles : c'est la loi d'additivité des tensions. Dans le cas du circuit en série schématisé à la fin de cette page, cela s'écrit : U g = U 1 + U 2 + U 3.
I Loi de la tension électrique dans un circuit en série
loi d'additivité des tensions : La tension aux bornes d'un ensemble de récepteurs en série est égale à la somme des tensions aux bornes de chaque récepteur.
LOI D'ADDITIVITE DES TENSIONS DANS UN CIRCUIT EN SERIE : Dans un circuit en série, la tension entre les bornes du générateur, est égale à la somme des tensions entre les bornes des dipôles récepteurs.
Dans un circuit en dérivation l'intensité du courant dans la branche principale est égale à la somme des intensités des courants qui circulent dans les branches dérivées. Application de la loi d'additivité des intensités dans un circuit en dérivation comportant deux branches dérivées.
L'intensité électrique est liée à la quantité d'électricité qui circule dans un circuit et s'exprime en ampères. La tension électrique est liée à la différence d'état électrique entre deux points d'un circuit et s'exprime en volts.
Les lois de Kirchhoff sont des lois qui permettent de déterminer les intensités et les tensions en tout point d'un circuit. Elles sont au nombre de deux : la loi des mailles concerne les tension et la loi des nœuds concerne les courants.
La somme algébrique des intensités des courants dans les conducteurs orientés vers un nœud est égale à la somme algébrique des intensités des courants dans les conducteurs orientés à partir du nœud.
La notion de tension électrique est souvent confondue avec celle de la « différence de potentiel électrique » (DDP) entre deux points d'un circuit électrique.
Loi d'unicité : Dans un circuit en série, l'intensité du courant électrique est la même en tout point. Tous les dipôles du circuit sont parcourus par un courant électrique de même intensité. La loi d'unicité est vérifiée quel que soit l'ordre de branchement des dipôles.
Le courant électrique correspond au flux d'électrons (particules chargées négativement) qui passent par un point donné pendant une période déterminée. Le flux d'électrons génère un courant, mais il a besoin d'énergie pour cela. La quantité d'énergie contenue dans chaque unité de charge électrique est appelée tension.
Dans un circuit en dérivation comportant une pile, une lampe et un moteur des voltmètres permettent de mesurer la tension U aux bornes de la pile, la tension U1 aux bornes de la lampe et la tension U2 aux bornes du moteur. En utilisant la loi d'unicité de la tension on peut écrire la relation U = U1 = U2.
La puissance électrique échangée par un dipôle, l'intensité qui le traverse et la tension à ses bornes sont liées par la relation : P = U × I. P = puissance en watt (W). U = tension en volt (V). I = intensité en ampère (A).
La tension aux bornes de la lampe L2 est égale à 12 Volts.
D'après la loi des intensités dans un circuit série : I1= I2= I3 Donc I2= I3=0,25A.
La tension électrique (notée U) est une grandeur qui représente la circulation du champ électrique le long d'un circuit. Exprimée en Volts (V), elle sert à désigner l'intensité électrique d'un appareil ou d'un dispositif.
I.
Elle a été nommée ainsi en référence au physicien allemand qui l'a énoncée en 1827 et qui a également laissé son nom à l'unité de la résistance électrique : Georg Simon Ohm. Elle s'écrit : U = R × I . U = tension aux bornes de la résistance, en volt (V). I = intensité qui traverse la résistance, en ampère (A).
La loi des nœuds stipule que la somme des intensités de courant électrique (I) qui entre dans un nœud doit être égale à la somme des intensités de courant qui sort de ce nœud.
KIRCHHOFF a établi les deux lois fondamentales de l'électrocinétique suivantes : - loi des nœuds : la somme algébrique des intensités qui arrivent à un nœud est nulle. - loi des mailles : la somme algébrique des différences de potentiel dans une maille fermée est nulle.
La loi de Pouillet applicable aux résistances
Elle se note ainsi : [ R = frac{ rho l} { s } ] avec : ρ : résistivité du conducteur ; l : longueur du conducteur ; s : aire de la section du conducteur.
Dans une maille orientée dont on a fixé arbitrairement le sens de parcours, la somme des tensions est nulle. On remarque que la tension électrique aux bornes d'un générateur (ici une pile) se représente en sens inverse de celles des autres dipôles.
Loi n°3 : La tension aux bornes d'un ensemble de dipôles branchés en série est égale à la somme des tensions aux bornes de chaque dipôle : c'est la loi d'additivité de la tension. Loi n°4 : Les tensions aux bornes de dipôles branchés en dérivation sont égales : c'est la loi d'unicité de la tension.
pour une valeur donnée de la résistance, l'intensité du courant augmente si la tension augmente (et inversement) ; pour une tension donnée (par exemple 220 V), si la résistance diminue, l'intensité augmente.
La loi d'unicité de l'intensité
Pour connaitre l'intensité dans un circuit en série il suffit donc de réaliser une seule mesure. Si trois ampèremètres mesurant des intensités I1, I2 et I3 sont placés dans un même circuit en série, alors : I1 = I2 = I3.