La morale de cette histoire est que ce qui est beau et précieux pour quelqu'un ne l'est pas nécessairement pour tout le monde.
« Il faut, autant qu'on peut obliger tout le monde. On a souvent besoin d'un plus petit que soi. » « Rien ne sert de courir, il faut partir à point. »
Être rusé, c'est bien, mais attention à ne pas pousser le vice trop loin au risque que cela se retourne contre vous. C'est ce qu'apprend un des personnages de la fable « Le Coq et le Renard » de Jean de la Fontaine.
Morale. La fable comporte un enseignement au lecteur. Même si ici, la morale n'est pas explicite, elle peut se résumer par quelques expressions : mieux vaut être pauvre et libre que riche et esclave — mieux vaut vivre pauvre mais indépendant que dans une cage dorée.
Le Coq et le Renard est la quinzième fable du livre II de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668.
Résumé de l'histoire : La petite grenouille enfle, enfle pour devenir aussi grosse que le bœuf mais... , elle éclate ! Explication de la morale : Il faut rester sage, humble et à sa juste place sans chercher à imiter les autres.
Genre : la poésie qui met en scène hommes ou animaux personnifiés, suivie d'une morale. Résumé de l'histoire : Une cigale qui vit au jour le jour demande de la nourriture à une fourmi avare ; celle-ci la lui refuse… Explication de la morale : Le travail est une valeur fondamentale et il faut savoir être prévoyant.
Il se faut entraider, c'est la loi de nature : L'Âne un jour pourtant s'en moqua : Et ne sais comme il y manqua ; Car il est bonne créature.
Dans Le Loup et l'Agneau, la morale se situe au tout début : « La raison du plus fort est toujours la meilleure ». Cela signifie que celui qui a raison est celui qui a le plus de force physique. Ici le Loup est plus fort que l'Agneau, et même si l'Agneau a raison, il se fait manger par le Loup.
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Pourtant dans cette fable, « L'homme et la couleuvre », c'est bien cet animal qui révèle à l'homme l'étendue de son injustice. Pour appuyer ses dires, elle fait appel aux témoignages d'autres victimes de l'égoïsme des humains. Comment La Fontaine dénonce-t-il l'ingratitude de l'homme envers la nature ?
Ne pas confondre vitesse et procrastination
Lorsqu'il se rend compte que la tortue va franchir la ligne d'arrivée, le lièvre se met à bondir. Mais trop tard. La tortue a remporté la victoire. Et nous connaissons tous la morale de l'histoire : rien ne sert de courir, il faut partir à point !
Loup (le) et la Cigogne (III, 9)
La morale non exprimée dans la fable, racontée avec beaucoup d'ironie, est implicite : Les méchants sont incapables de gratitude, que ceux qui les servent méditent la leçon...
Le mulet du meunier redresse au contraire fièrement la tête et lui adresse la morale de la fable : « Il n'est pas toujours bon d'avoir un haut emploi : Si tu n'avais servi qu'un Meunier, comme moi, Tu ne serais pas si malade. »
Cette fable vise les hommes qui, ne connaissant pas la vérité, pensent en faire accroire aux autres.
La vérité générale dans Les deux Taureaux et une Grenoüille se voit aussi dans cette fable d'Horace : les grenouilles ne seront jamais égales aux taureaux de la même façon que le peuple ne sera jamais égal aux hommes de pouvoir.
L'auteur suggère que la France retrouve les joies de la paix (« La paix fait nos souhaits, et non pas nos soupirs. »).
Quelle est la morale du Chêne et du Roseau ? Même si le Chêne est apparemment plus résistant, son orgueil le perd. Le Roseau est plus humble, à la fois dans ses paroles et son attitude : "plier" ou "courber le dos" est souvent une image d'acceptation et de patience.
Résumé de l'histoire : Quand le rat des villes invite le rat des champs à dîner, celui-ci découvre les avantages et inconvénients d'un « dîner en ville ». Explication de la morale : Si le monde rural semble moins raffiné que la ville, il offre à ses habitants une sécurité et une tranquillité qui n'ont pas de prix.
La morale de cette fable est prononcée par le Renard : « Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute ».
Les deux derniers vers du texte sont consacrés à la morale et délivrent donc l'enseignement à retenir : "Selon que vous serez puissant ou misérable / Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir". Ici, une critique est faute de la justice qui est arbitraire et inégale selon la puissance des prévenus.
Morale. « Qu'une personne soit puissante, riche, célèbre ou forte, elle subira le même sort (la mort) que ceux qui le sont moins. Le décès physique suit le décès social. »
La justice, représentée par le Chat, est d'une violence sans nom et se révèle être obsolète. Elle présente un vide juridique, il vaut alors mieux s'occuper soi-même de régler ses affaires.
La Fontaine est parti de l'apologue d'Esope, « Cadula et membra serpentis » dont la morale est la suivante: « La fable dénonce les hommes rusés et méchants et révoltés contre leurs maîtres ».
Jean de La Fontaine met en scène dans "La Tortue et les Deux Canards", le voyage insolite d'une tortue naïve et avide de découvrir le monde. Le fabuliste y dénonce alors l'imprudence et l'excès de vanité.