Résumé de l'histoire : « On a toujours besoin d'un plus petit que soi », et même le roi des animaux peut un jour être sauvé par un modeste rat ! Explication de la morale : il ne faut pas mépriser les plus petits, ou les plus faibles ; chacun a ses qualités et apporte quelque chose aux autres.
D'après le dictionnaire Larousse en ligne, une morale est : « un enseignement qui se dégage de quelque chose, une conduite que l'événement ou le récit invite à tenir ». En d'autres termes, une morale s'apparente à une leçon de vie, un enseignement déduit à la suite d'une histoire, que le lecteur est prié de considérer.
Moralité explicite :
« Ceci vous sert d'enseignement : Ne soyez à la cour, si vous voulez y plaire, Ni fade adulateur, ni parleur trop sincère, Et tâchez quelquefois de répondre en Normand. »
Morale. « Qu'une personne soit puissante, riche, célèbre ou forte, elle subira le même sort (la mort) que ceux qui le sont moins. Le décès physique suit le décès social. »
Livre : Le lion et le renard
La morale de cette histoire est qu'il faut réfl échir avant d'agir plutôt que de faire comme les autres.
Avec cette figure du Berger proprement au cœur de la fable (6 vers avant, 5 après), La Fontaine vient donc insidieusement nous interroger sur la nature de notre courage : il n'est de vrai courage pour La Fontaine que celui qui s'attache à la vie.
La morale de cette fable est prononcée par le Renard : « Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute ».
La morale de la fable
L'originalité du Lion et du Moucheron est de proposer deux morales : Juger à sa juste valeur son ennemi, qui parfois semble inoffensif, mais qui est souvent le plus dangereux. Vaincre certains dangers ne met pas à l'abri d'une mort ordinaire et subite.
Il se faut entraider, c'est la loi de nature : L'Âne un jour pourtant s'en moqua : Et ne sais comme il y manqua ; Car il est bonne créature.
Grâce au caractère qu'il attribue à chaque animal, il laisse deviner qui il met en cause. Le Lion représente le pouvoir du roi, le Chat, l'hypocrite, le Renard, le rusé. Principaux acteurs des fables, les animaux parlent et s'animent sous les yeux du lecteur.
Le Lion représente le pouvoir du roi, le Chat, l'hypocrite, le Renard, le rusé. Principaux acteurs des fables, les animaux parlent et s'animent sous les yeux du lecteur.
Faire avancer ses gens, et hâter la victoire.
« Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage. » « Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute. » « Il se faut s'entraider, c'est la loi de nature. » « L'avarice perd tout en voulant tout gagner. » […] « Belle leçon pour les gens chiches !
La morale est un ensemble de principes de jugement, de règles de conduite relatives au bien et au mal, de devoirs, de valeurs, parfois érigés en doctrine, qu'une société se donne et qui s'imposent autant à la conscience individuelle qu'à la conscience collective.
Enseignement qui se dégage de quelque chose, conduite que l'événement ou le récit invite à tenir : La morale de l'histoire.
La morale est une réflexion sur nos pratiques, nos actes, nos comportements et correspond à la question de Kant : « Que dois-je faire ? » Elle a pour valeur le bien, et par extension, on appelle « morale » les règles prétendant définir ce qui nous en approche ou nous y conduit, la vertu.
Dans Le Loup et l'Agneau, la morale se situe au tout début : « La raison du plus fort est toujours la meilleure ». Cela signifie que celui qui a raison est celui qui a le plus de force physique. Ici le Loup est plus fort que l'Agneau, et même si l'Agneau a raison, il se fait manger par le Loup.
Morale. La fable comporte un enseignement au lecteur. Même si ici, la morale n'est pas explicite, elle peut se résumer par quelques expressions : mieux vaut être pauvre et libre que riche et esclave — mieux vaut vivre pauvre mais indépendant que dans une cage dorée.
Livre : La colombe et la fourmi
La morale de cette histoire est que chaque bonne action en amène une autre.
La morale de cette fable est explicite : « Trompeurs, c'est pour vous que j'écris : Attendez-vous à la pareille ». Le renard a voulu faire une farce à la cigogne, mais elle lui a rendu « la pareille », c'est-à-dire qu'elle a utilisé la farce du renard pour s'en servir contre lui.
La panthère vantait à tous coups la variété de son pelage. Le renard prenant la parole dit : « Combien je suis plus beau que toi, moi qui suis varié, non de corps, mais d'esprit. » Cette fable montre que les ornements de l'esprit sont préférables à la beauté du corps.
Il conclut son conte par une morale où, bien que « tous les loups ne soient pas de la même sorte », tous sont « dangereux »27 ; tel est le fin mot de l'histoire, issue d'une Histoire qui fait remonter au Moyen-âge la peur ancestrale d'un animal réellement dangereux pour l'homme et ses troupeaux.
Charles Perrault écrit plus tard une version du Renard et des Raisins (fable 27 du Labyrinthe de Versailles), en 1677, d'après Ésope. Cette fable est la plus courte écrite par La Fontaine.
Dans le poème de Jean de La Fontaine « La poule et le renard » elle est décrite de façon naïve, coquette ayant confiance en elle. Dans « La poule aux œufs d'or », il nous dévoile une certaine morale, il nous fait comprendre que les gens s'appauvrissent en voulant être riches tôt.
Le petit prince sur Terre. Toujours en quête d'amis, le petit prince arrive sur Terre, et c'est encore la solitude et l'absurdité de l'existence qu'il va découvrir : sa rencontre avec le serpent qui ne parle que par énigmes (il « les résout toutes »), celle d'une fleur « à trois pétales », l'écho des montagnes.