27, 29 et 31 racontent la chasse à la perdrix, qui, finalement, échappe au chasseur. Le v. 32, plus court (un octosyllabe) constitue une chute amusante. La morale est implicite : si le chasseur n'avait pas désiré posséder autant, il serait resté en vie : sa convoitise a eu raison de lui.
Dans Le Loup et l'Agneau, la morale se situe au tout début : « La raison du plus fort est toujours la meilleure ». Cela signifie que celui qui a raison est celui qui a le plus de force physique. Ici le Loup est plus fort que l'Agneau, et même si l'Agneau a raison, il se fait manger par le Loup.
Jean de La Fontaine s'est inspiré des fables d'Ésope et de Phèdre. C'est une de ses fables les plus connues. La fable elle-même montre que chacun est insatisfait de son sort mais qu'on ne peut chasser le naturel.
Avec cette figure du Berger proprement au cœur de la fable (6 vers avant, 5 après), La Fontaine vient donc insidieusement nous interroger sur la nature de notre courage : il n'est de vrai courage pour La Fontaine que celui qui s'attache à la vie.
Ne put ni fuir ni se défendre. Toujours par quelque endroit fourbes se laissent prendre. Quiconque est Loup agisse en Loup : C'est le plus certain de beaucoup.
Le corps est la fable, l'âme est la moralité ». Ainsi, la morale permet de conclure l'histoire construite autour d'elle, sur une leçon de vie. Elle permet aux enfants et aux parents de réfléchir ensemble sur le bon comportement à adopter avec les autres comme par exemple être généreux, humble ou encore altruiste.
La fable comporte un enseignement au lecteur. Même si ici, la morale n'est pas explicite, elle peut se résumer par quelques expressions : mieux vaut être pauvre et libre que riche et esclave — mieux vaut vivre pauvre mais indépendant que dans une cage dorée.
Ne pas confondre vitesse et procrastination
Lorsqu'il se rend compte que la tortue va franchir la ligne d'arrivée, le lièvre se met à bondir. Mais trop tard. La tortue a remporté la victoire. Et nous connaissons tous la morale de l'histoire : rien ne sert de courir, il faut partir à point !
Genre : la poésie qui met en scène hommes ou animaux personnifiés, suivie d'une morale. Résumé de l'histoire : Une cigale qui vit au jour le jour demande de la nourriture à une fourmi avare ; celle-ci la lui refuse… Explication de la morale : Le travail est une valeur fondamentale et il faut savoir être prévoyant.
La morale de la fable Le loup et l'agneau apparaît dès le premier vers, rendant ainsi prévisible la fin de la fable. La Fontaine ne nous donne ni leçon de vie, ni conseil pratique : c'est ici un simple constat sans appel plus qu'une morale : "La raison du plus fort est toujours la meilleure".
Loup (le) et la Cigogne (III, 9)
La morale non exprimée dans la fable, racontée avec beaucoup d'ironie, est implicite : Les méchants sont incapables de gratitude, que ceux qui les servent méditent la leçon...
Tout à fait prévisible, la morale de cette fable est un constat : la raison du plus fort finit toujours par l'emporter, la paix reste illusoire. Retrouve les autres artistes de La Fontaine Superstar, le dossier sur la fable et teste tes connaissances sur Jean de La Fontaine.
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
La moralité
La morale de l'histoire est explicite. Elle est donnée à la fin de la fable : "Le trépas vient tout guérir ; / Mais ne bougeons d'où nous sommes. / Plutôt souffrir que mourir,/ C'est la devise des hommes."
Le conte Le petit chaperon rouge reprend la convention médiévale de faire opposition entre l'univers sécuritaire du village et les dangers de la forêt sauvage, une métaphore pour la vie remplie de la lumière de Dieu ou la noirceur des ténèbres de l'enfer.
« Il m'a dit qu'il ne faut jamais Vendre la peau de l'ours qu'on ne l'ait mis par terre. » « Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage. » « Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute. » « Il se faut s'entraider, c'est la loi de nature. »
Sources possibles de la fable
Ésope en fournit une version (La Cigale et la Fourmi) à laquelle il donne une morale explicite : il faut se garder de la négligence, pour éviter les chagrins.
Le mulet du meunier redresse au contraire fièrement la tête et lui adresse la morale de la fable : « Il n'est pas toujours bon d'avoir un haut emploi : Si tu n'avais servi qu'un Meunier, comme moi, Tu ne serais pas si malade. »
Cette fable est constituée de deux parties : la cigogne tombe dans le piège du renard, puis le renard tombe dans son propre piège cette fois-ci tendu par la cigogne. La morale est : « Trompeurs, c'est pour vous que j'écris : Attendez vous à la pareille. »
7. La morale de cette histoire est qu'"en toute chose il faut considérer la fin" : il faut réfléchir aux conséquences de ce que l'on fait. 8. Cela signifie qu'avant de se lancer dans une aventure, il faut bien réfléchir à ce qui va se passer par la suite.
Cette fable vise les hommes qui, ne connaissant pas la vérité, pensent en faire accroire aux autres.
la morale de la fable nous questionne sur la nature des hommes : peuvent-ils changer ? Une alliance conclue avec un ennemi par nécessité contre un ennemi commun risque de ne plus avoir de valeur en temps de paix. Ainsi, on peut penser que le rat a raison de se méfier.
Quelle est la morale du Chêne et du Roseau ? Même si le Chêne est apparemment plus résistant, son orgueil le perd. Le Roseau est plus humble, à la fois dans ses paroles et son attitude : "plier" ou "courber le dos" est souvent une image d'acceptation et de patience.
Moralité explicite :
« Ceci vous sert d'enseignement : Ne soyez à la cour, si vous voulez y plaire, Ni fade adulateur, ni parleur trop sincère, Et tâchez quelquefois de répondre en Normand. »
Ce qu'on donne aux méchants, toujours on le regrette. Pour tirer d'eux ce qu'on leur prête, Il faut que l'on en vienne aux coups ; Il faut plaider, il faut combattre.