Renoncement volontaire à quelque chose, perte qu'on accepte, privation, en particulier sur le plan financier : Faire de grands sacrifices pour ses enfants.
Sacrifice agréable (à Dieu, aux dieux); sacrifice privé, public, rituel, solennel; sacrifices païens; sacrifice d'animaux; sacrifice d'action de grâces, d'adoration, de communion, de louange; sacrifice expiatoire, propitiatoire; appareil, apprêts, rites du sacrifice; autel, couteau, parfum, sang, viande, victime du ...
Le but du sacrifice est de renvoyer les choses, et surtout les choses les plus sacrées ; de congédier les Dieux qui, sans le sacrifice, pèseraient indéfiniment sur le sacrifiant ; de détourner les dieux, en faisant ce qu'on doit pour eux.
Il ressort de ces différentes désignations que, selon la Bible, le sacrifice est un don fait à Dieu, un don qui prend la forme d'un repas, zèbach, lequel est préparé à son intention en vue de l'honorer, minchah.
sacrificiel adj. Propre à un sacrifice religieux.
Du latin sacrificium dérivé de sacrificare (« faire sacré, sacrifier »).
Définition "sacrifice de soi"
n.m. Renonciation à ses propres intérêts au profit de ceux des autres.
L'esprit de sacrifice c'est avant tout la disposition à renoncer à ses propres intérêts au bénéfice d'autrui. C'est en quelque sorte le contraire de l'égoïsme. Cet état d'esprit pousse à faire passer ses propres sentiments et préférences après ceux des autres et de l'institution.
Le sacrifice de bonne odeur est un message, une demande, un apaisement. Il ouvre le dialogue avec la divinité. 7Cette conception de l'odeur comme un médium de communication est d'autant plus importante en Israël, qui postule une absolue transcendance de Dieu.
Le sacrifice signifie donner au Seigneur tout ce qu'il requiert de notre temps, de nos biens terrestres et de notre énergie pour faire avancer son œuvre.
« On sacrifie pour une cause ou une idée qu'on juge supérieure. C'est le cas dans la religion, ou encore du parent qui fait table rase de ses désirs personnels – et de ses nuits ! – au service d'une cause supérieure, en l'occurrence, assurer la survie de son enfant, explique la psychanalyste.
Contrairement aux sacrifices offerts aux dieux olympiens, les holocaustes sont réalisés de nuit, sans vin avec des bêtes noires, offertes tête en bas sur un autel peu élevé.
Les familles sacrificielles sont celles qui éduquent dans le “devoir de se sacrifier” pour leurs autres membres, celles qui cultivent chez leurs membres la nécessité de mettre de côté leurs propres désirs et leurs besoins au profit du bien-être familial, que ce soit de manière collective ou individuelle.
sacrificateur n. Prêtre ou prêtresse qui offrait les sacrifices dans l'Antiquité.
Définition "sacrifice expiatoire"
n.m. Dans l'ancien Testament, sacrifice offert par les Hébreux à Jéhovah et au cours duquel la victime était entièrement consumée.
Celui qui prêche, celui qui annonce la parole de Dieu. Les plus jolies femmes de la cour et de la ville se faisaient une fête d'un carême prêché par un prédicateur célèbre (Jouy, Hermite, t. 2, 1812, p. 29).
Ce repas peut revêtir deux formes majeures : le sacrifice de communion, à l'occasion duquel la victime est partagée entre Dieu, auquel est réservé ce qui était tenu pour le meilleur, les prêtres et l'offrant ; l'holocauste, tout entier dévolu à Dieu, et qui constitue en quelque sorte la quintessence de l'hospitalité à ...
La dîme et les offrandes que nous faisons à l'Eglise servent à l'œuvre du Seigneur. Les dirigeants l'utilisent de la manière désignée par le Seigneur. Ces dons contribuent à ramener nos frères et sœurs auprès de notre Père céleste.
➙ abnégation, dévouement, renoncement.
L'Eucharistie est un sacrifice d'action de grâce au Père, une bénédiction par laquelle l'Église exprime sa reconnaissance à Dieu pour tous ses bienfaits, pour tout ce qu'il a accompli par la création, la rédemption et la sanctification.
Pour Maïmonide ( XII e siècle), la volonté d'Abraham de sacrifier son fils démontre la limite de la capacité humaine à aimer son prochain et craindre Dieu tout à la fois.
Sacrifice perpétuel, sacrifice par lequel on offrait tous les jours quatre agneaux en holocauste, deux le matin et deux le soir. Depuis le temps que le sacrifice perpétuel aura été aboli, et que l'abomination de la désolation aura été établie , Sacy, Bible, Daniel, XII, 11.