ISO/IEC 27001 est la norme la plus connue au monde en matière de systèmes de management de la sécurité de l'information (SMSI). Elle définit les exigences auxquelles un SMSI doit répondre.
Les normes suivantes sont très importantes pour les services Web : Universal Description, Discovery and Integration (UDDI), Web Services Description Language (WSDL), Web Services Inspection Language (WSIL), SOAP et Web Services Interoperability (WS-I).
Le protocole HTTPS (Hyper Text Transfer Protocol Secure) est une extension sécurisée du protocole HTTP, le « S » pour « Secured » (sécurisé) signifie que les données échangées entre le navigateur de l'internaute et le site web sont chiffrées et ne peuvent en aucun cas être espionnées (confidentialité) ou modifiées ( ...
Il est essentiel d'effectuer une maintenance corrective du site afin de mettre à jour régulièrement les composants logiciels. L'installation d'antivirus sur les serveurs est également fortement recommandée, ainsi que des règles de filtrage et des firewalls visant à hautement protéger le site internet.
La disponibilité : maintenir le bon fonctionnement du système d'information. La confidentialité : rendre l'information inintelligible à d'autres personnes que les seuls acteurs d'une transaction. La non répudiation : garantir qu'une transaction ne peut être niée.
Elle s'inscrit dans une démarche pro-active et repose sur 4 critères essentiels à la sécurité des SI : La disponibilité, l'intégrité, la confidentialité et la traçabilité des données et des services.
À cet effet, 4 critères de sécurité sont systématiquement évalués : la confidentialité, la disponibilité, l'intégrité, la traçabilité.
Au moment de payer, vérifiez que le site sur lequel vous êtes en train de payer est bien sécurisé. Sur certains sites, l'url de la page « http:// » devient « https:// », avec l'ajout du « s » pour « Secure », un cadenas fermé peut aussi apparaître dans la fenêtre de votre navigateur.
Lorsqu'un site est potentiellement dangereux, Chrome modifie l'icône située à côté de l'adresse du site. Dans Chrome, ouvrez une page Web. Pour vérifier l'état de sécurité d'un site, reportez-vous au symbole affiché à gauche de l'adresse Web : Par défaut (Sécurisé)
Si l'accès à un serveur web passe uniquement par HTTPS, il faut autoriser uniquement les flux réseau IP entrants sur cette machine sur le port 443 et bloquer tous les autres ports. Limiter l'accès aux outils et interfaces d'administration aux seules personnes habilitées.
Comment vérifier si un site est sécurisé pour les paiements en ligne? Vous devez rechercher la présence d'un cadenas et de la mention “HTTPS” dans la barre d'adresse du navigateur pour vous assurer que la connexion est sécurisée avant d'entrer vos informations de paiement en ligne.
HTTPS utilise un protocole de chiffrement pour chiffrer les communications. Le protocole appelé Transport Layer Security (TLS) était auparavant connu sous le nom de Secure Sockets Layer (SSL). Ce protocole sécurise les communications en utilisant ce que l'on appelle une infrastructure à clé publique asymétrique.
Repérez les sites sécurisés
Regardez en haut à gauche dans la case de l'URL si les lettres http sont suivies d'un s et précédées d'un cadenas. Cela signifie que le navigateur a établi une connexion sécurisée avec le site. Si le site n'affiche pas ce logo https et son cadenas, il peut néanmoins être certifié SSL.
World Wide Web
Constitué de trois éléments fondamentaux : un système d'identificateurs uniques pour les documents (URL) un langage de balisage pour les documents (HTML) un protocole de transfert de documents (HTTP)
Le texte à afficher sur l'écran est saisi dans le document html et structuré à l'aide des balises qui constituent des indications pour le navigateur. Ce langage est normé (html 3, html, 4, html 5) ; la norme définit quelles sont les balises utilisables et comment les employer.
La principale différence entre les deux est que SOAP est un protocole, REST non. En général, les API suivent l'approche REST ou SOAP en fonction de leur utilisation et des préférences du développeur.
Cela indique que le site internet en question ne fournit pas de connexion sécurisée aux visiteurs. Lorsque votre navigateur se connecte au site Web, il peut utiliser HTTPS sécurisé ou HTTP non sécurisé.
Pour valider l'adresse de votre site Web, un utilisateur de votre compte doit prouver qu'il en est le propriétaire légitime. Cette étape ne donne à Google aucun accès privilégié à votre site Web. N'oubliez pas que seul l'utilisateur qui valide le site Web pourra le revendiquer.
Reste le dernier cas de figure : une URL avec le protocole « https » activé, mais une mention rouge "non sécurisé". Cela signifie que, bien qu'une connexion sécurisée soit prévue, celle-ci a échoué.
Victime ou témoin d'escroqueries sur internet, une plateforme de signalement et de dépôt de plainte (THESEE) est disponible. Le dispositif traitement harmonisé des enquêtes et signalements pour les e-escroqueries (THESEE) permet de porter plainte ou de signaler l'infraction en ligne.
Mécanisme fréquemment intégré aux procédures d'authentification, le jeton individuel d'accès (token access) permet une connexion sécurisée à un espace personnel, un compte ou encore des documents bureautiques. La CNIL fait le point sur ses usages, ses enjeux et les bonnes pratiques à appliquer.
Les certificats SSL doivent être émis par une Autorité de Certification de confiance. Les navigateurs, les systèmes d'exploitation et les appareils mobiles tiennent à jour la liste des certificats racine des AC de confiance.
Pour ce faire, les principes de base de la sécurité de l'information sont les suivants : disponibilité, intégrité et confidentialité, aussi appelés critères DIC. Ces trois principes vous aideront à protéger et à préserver le contenu de votre entreprise.
La Cybersécurité s'appuie sur trois piliers qui sont la cyberprotection, la Cyberdéfense et la cyberrésilience.