G= sol. do, ré, mi, fa, sol, la, si, do, s'écrit donc: C, D, E, F, G, A, B, C.
F = FA (FACILE !)
Douze notes. Sept pour les touches blanches : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, et cinq pour les touches noires : Do#, Ré#, Fa#, Sol#, La#. Pourquoi douze notes et pas quinze, ou neuf ? La guitare, la flûte, et le saxophone se jouent aussi sur ces douze notes, qui forment l'alphabet de la musique occidentale.
Dans la musique occidentale, douze fréquences fondamentales différentes portent un nom. Sept d'entre elles sont considérées comme les principales et ont pour noms : do, ré, mi, fa, sol, la et si.
La gamme do, ré, mi, fa, sol, la et si, bien connue des amateurs de solfège, remonte au XIe siècle. A l'époque, le moine italien Guido d'Arezzo, qui réfléchissait à une méthode pour classer la hauteur des notes, avait eu l'idée de choisir le début de chaque vers d'un chant religieux, l'Hymne à Saint Jean-Baptiste.
C'est Guido d'Arezzo - moine bénédictin lui aussi, mais italien – qui découvre l'astuce au début du XI siècle.
Parce que l'intervalle de quarte équivaut à l'écart entre quatre notes (do, ré, mi, fa), la quinte équivaut à cinq notes (do ~ sol), l'octave à huit notes, etc.
Cette note est le la (noté aussi la3 en notation française ou A4) situé au-dessus du do médian du clavier de piano (noté aussi do3 ou C4). Sa fréquence est de 440 Hz .
La gamme est une suite de 8 notes qui se succèdent de manière ascendante : du grave à l'aigu (do, ré, mi, fa, sol, la, si, do) ; ou de manière descendante : de l'aigu vers le grave (do, si, la, sol, fa, mi, ré, do).
A+ (90 % et plus) : Travail exceptionnel qui témoigne d'une pensée indépendante et d'une réflexion critique et comportant une excellente question de recherche de même que des réponses systématiques et persuasives à cette question.
L'analyse d'un chant religieux au 11e siècle
Au 17e siècle, le 'Ut' est remplacé par le 'Do', en référence à la première syllabe du mot 'Domine', qui signifie 'Seigneur' en latin. Ce n'est pas pareil dans tous les pays : en Allemagne, les notes sont ainsi écrites par des lettres de l'alphabet : C-D-E-F-G-A-H-C."
Elle permet d'être être plus à l'écoute de soi, de gagner en conscience de soi. Ecouter de la musique en 432Hz permet de : développer un sentiment de bien-être. réduire le stress et l'anxiété
Depuis quelques temps déjà, les flûtes à bec Moeck sont au diapason la1 = 442 Hz (Hertz est la mesure des vibrations par seconde). Dans le passé, on accordait au diapason la1 = 440 Hz, un accordage qui s'avérait trop grave pour un accompagnement de la flûte par le piano.
Beaucoup de musiciens le savent : le la donné par les diapasons tombe sur la fréquence 440 Hertz. Plus précisément, il s'agit du "La 4" (le la de la 4e octave du piano). Lorsqu'on fait vibrer un diapason, il produit une fréquence précise de 440 Hz. Ceci nous permet d'accorder les instruments.
Tout simplement (!?) parce que l'intervalle entre Mi et Fa et entre Si et Do n'est que d'un demi-ton. Finalement l'octave est divisée en 12 demi-tons et la gamme majeure repose sur les intervalles ton, ton, demi-ton, ton, ton, ton, demi-ton.
En effet, on apprend que « Le la3 est la corde à vide qu'ont en commun le violon et l'alto. » Ces pupitres de cordes sont importants dans un orchestre symphonique : s'accorder avec le La3 est donc une facilité. Validé à la Conférence de Londres en 1953, ce La3 à 440 Hz est reconnu comme norme ISO en 1975 (ISO 16-1975).
Dans l'échelle diatonique naturelle — c'est-à-dire sans altérations —, le demi-ton diatonique existe d'une part entre les notes mi et fa, d'autre part entre les notes si et do ; les autres intervalles conjoints sont des tons. Le demi-ton diatonique a une fonction attractive.
La pause, placée sur la quatrième ligne de la portée, elle correspond à la valeur d'une ronde : c'est un silence à 4 temps.
Notation anglaise et germanique
La série constituée des lettres de l'alphabet A (la), B (si), C (do ou ut), D (ré), E (mi), F (fa) et G (sol), dite, « notation batave », héritée de la Grèce antique, a été conservée par les pays dits « protestants » ou « réformés » (Royaume-Uni, Allemagne, etc.).
C'est aussi vers cette époque que Ut est devenu Do, parce que Ut était une syllabe trop difficile à chanter (le choix pourrait venir de la première syllabe du mot Domine, Seigneur ou Dieu en latin).