Un iceberg (/is. bɛʁg/) est un bloc de glace d'eau douce dérivant sur un plan d'eau, généralement la mer mais dans certains cas un lac ; de tels blocs, souvent de masse considérable, se détachent du front des glaciers ou d'une barrière de glace flottante.
Si les icebergs flottent sur l'eau, c'est qu'ils sont moins denses que l'eau liquide. Cela veut dire qu'un iceberg, qui est de l'eau solide, prend plus de place que la même masse d'eau sous forme liquide.
Le sel présent dans l'eau de mer lui permet de ne pas geler même lorsqu'il fait très froid, à des températures où de l'eau douce gèlerai. Un iceberg étant fait d'eau douce, il va donc geler alors que l'eau de mer restera liquide.
Les icebergs flottent car la densité de l'eau solide est plus faible que celle de l'eau liquide,donc la glace flotte. Ils atteignent souvent 1OO mètre de hauteur,ils mettent parfois plusieurs années à fondre entièrement.
Résultant de la congélation d'eau de mer, la banquise est formée de glace salée, ce qui la distingue des icebergs, formés de glace continentale (eau douce des glaciers polaires). Son extension et sa répartition varient selon les océans (Arctique et Antarctique) et les années.
Le retournement d'iceberg ou basculement d'iceberg est le réajustement de la position d'un iceberg lié au déplacement de son centre de gravité en raison d'une fonte différentielle entre ses différentes faces et entre ses parties immergées et émergées ou encore de sa fragmentation.
« L'iceberg, baptisé A-76, fait environ 175 km de long sur 25 km de large, pour une surface totale de 4 320 km² » précise Jerome Bouffard, géophysicien, responsable de la mission CryoSat à l'Agence Spatial Européenne (ESA). Avec de telles dimensions, l'iceberg A-76 est actuellement le plus grand du monde.
À l'origine, l'iceberg est un morceau de glace qui s'est détaché d'un glacier continental. Ce glacier, situé au Sptitzberg en Norvège, se jette dans l'océan Arctique où il libère progressivement des icebergs. Les glaciers continentaux se forment dans les régions polaires ou montagneuses.
Les icebergs forment de gigantesques blocs de glace, parfois de plusieurs centaines de milliers de tonnes, flottant à la surface des océans. Malgré leur taille impressionnante, une partie de leur surface – toujours 10 % – reste émergée. Cette flottaison est rendue possible par la «poussée d'Archimède».
Cette banquise se forme lorsque la température de l'eau descend en dessous de – 2 ° C. Elle est donc constituée d'eau salée et peut atteindre jusqu'à 13 m d'épaisseur. En fait, la glace de la banquise n'est pas stricto sensu salée. Si l'on en prend des glaçons, on pourra constater qu'ils ne sont pas salés.
Les icebergs, quand ils sont constitués de glace « propre » ont une très belle couleur bleutée. Cette couleur est principalement due au propriété d'absorption différentielle de la molécule d'H2O, molécule qui absorbe davantage les longues longueurs d'onde (rouge) que les courtes (bleu).
Les icebergs sont d'énormes blocs de glace qui dérivent au gré des courants après leur séparation soudaine d'un glacier. Ils sont d'ailleurs composés d'eau douce comme ce dernier, à l'inverse de la banquise qui elle se forme sur la mer, et qui est donc composée d'eau salée.
Selon une nouvelle image satellite, le plus grand iceberg du monde est arrivé dans le détroit de Drake, situé entre la pointe sud de l'Amérique du Sud et l'Antarctique.
L'iceberg A-76, long de 170 km et large de 25 km, l'un des plus gros de l'histoire, s'est détaché de la banquise à l'ouest de l'Antarctique.
À la manière des bateaux, les iceberg flottent grâce à la poussée d'Archimède. Cette force, qui s'oppose à la gravité, pousse les objets de l'eau vers le ciel. L'équilibre des deux forces permet donc à certains éléments de flotter, en fonction de leur densité, de leur taille et de leur poids. C'est le cas des icebergs.
Dans tous les cas, ce modèle démontre qu'un infime pourcentage de ce que nous sommes est visible par tous (la partie émergée de l'iceberg, si vous voulez), alors que nos valeurs, émotions, comportements et réflexes naturels émergent de quelque chose de beaucoup plus profond (la partie invisible de l'iceberg, sous l'eau ...
En Arctique et en Antarctique, il y a de la glace. Il y a de la neige qui est tombée pendant longtemps et ça a fait un glacier. Quand le glacier se casse, ça fait des icebergs. Alors l'iceberg est fait avec de l'eau douce.
Dans le domaine relationnel, il s'agit souvent de sensations qui sont partiellement visibles telles que les mimiques, la gestique dans les domaines non-verbaux ou par le son resp. la tonalité de la voix d'une personne.
Sur le continent Antarctique (terres du pôle Sud), la température dépasse rarement zéro degré Celsius en été. L'hiver, le thermomètre descend sous les 80 degrés ! Conséquence : une épaisse calotte glaciaire (4 000 mètres en certains endroits) recouvre la quasi-totalité du continent.
Oui c'est précisément ce bloc de glace là qui a fait couler le Titanic en avril 1912 et aujourd'hui il se balade du côté de Ferryland (au Canada).
La partie immergée d'un iceberg peut être 7 à 9 fois plus grande que la partie visible en surface.
Quand les vigies sonnent la cloche d'alerte, l'iceberg de dix-huit mètres de hauteur est à moins de sept cents mètres de la proue du Titanic.
La partie immergée, ce sont les 7/8 de l'iceberg qui sont sous l'eau (en passant, les deux prononciations sont admises : "isberg" ou "aïceberg"). Donald Trump étant plutôt très visible, il représente la partie émergée, celle qui sort de l'eau.