La philosophie de la vie cherche à comprendre les aspects essentiels de l'existence humaine et à élaborer des théories et des systèmes de pensée pour appréhender ces questions. Les deux termes de la question, "philosophie" et "vie" sont polysémiques.
Selon le Platonisme, le sens de la vie serait d'obtenir la plus haute forme de connaissance, l'Idée du Bien - l'idée d'où dériverait toutes les choses bonnes et utiles. Article détaillé : Platonisme (doctrine philosophique).
Il nous faut vivre en accord avec nous-même. Et il nous faut cultiver notre émerveillement pour la splendeur de cet univers, et des êtres vivants, dont nous faisons partie. Le sens de la vie, c'est le maintien de notre ordre interne, et de celui de la biosphère.
La vie est le résultat d'une incarnation. Platon désigne donc invariablement comme zôa les dieux, les hommes, les animaux et même les végétaux, selon un unique passage (Timée 77a). Ainsi, nous ne pouvons plus parler d'animal sans nous référer à une catégorie plus étendue : le vivant en général.
Alors à quoi sert la philosophie ? Pourquoi des philosophes ? Comme nous allons le montrer, la philosophie constitue le cadre dans lequel l'homme peut comprendre le monde et agir sur sa propre vie. Elle fournit les outils par lesquels il peut découvrir la vérité et utiliser son esprit pour améliorer sa vie.
Nietzsche semble donc associer cette notion d'un sens de la vie à une conception forte de l'indi- vidualité, qui caractérise aussi assez généralement sa pensée, mais aussi notre époque en général : la vie n'a de sens que pour un être qui prend sa propre en vie en main, qui en fait en quelque sorte une œuvre d'art.
Le but de l'existence n'est pas de trouver le bonheur : c'est de trouver son utilité
Selon Straton de Lampsaque, dans le Phédon, Platon n'a fait que démontrer que l'âme est immortelle, donc qu'elle existe, mais pas du tout qu'elle continue à exister, lorsque le corps n'est plus, rien ne l'empêche d'être détruite par la mort ; elle n'est immortelle qu'en tant qu'elle apporte la vie.
La vie est un phénomène naturel pour l'instant uniquement observé sur Terre. La vie se manifeste à travers des structures matérielles organisées appelées organismes vivants, ou êtres vivants, reconnaissables par la grande complexité de leur structure interne et par leur activité autonome.
L'existence ainsi pensée désigne donc le statut de la créature par rapport à l'acte créateur qui la fait passer du statut de possible à celui de réel. Ainsi, en ce premier sens, « exister » signifie essentiellement « être créé », « être réalisé » ou « avoir été conduit à être ».
- Le sens de la vie comme objectif : avoir une vie qui a du sens, c'est avoir le sentiment que les objectifs que l'on se fixe dans notre vie et les buts que nous voulons atteindre sont les bons et que nous pouvons les atteindre ou que nous les avons atteints.
Le psychologue a appelé cet état par le nom de névrose existentielle et l'a défini comme l'incapacité de trouver un sens à la vie ; le sentiment de ne pas avoir de raison de vivre, de se battre, d'avoir de l'espoir d'être incapable de trouver un but ou une direction dans la vie, le sentiment que même si les gens sont ...
Si la vie a un sens, c'est que nous sommes habités par ce désir viscéral de sens. Voilà pourquoi il importe de se fixer un grand idéal à atteindre. Comme le dit le Père Boulad : « ce n'est pas le chemin qui est impossible, c'est l'impossible qui est le chemin. »
Pour trouver le sens que nous voulons donner à notre vie, il faut tout d'abord trouver le courage de nous poser des questions fondamentales. Courage, car il peut être douloureux de nous apercevoir que la vie que nous menons n'est pas compatible avec nos aspirations, nos priorités, nos croyances ou encore nos valeurs.
La bougie symbolise la vie, la présence de l'Esprit, sa force ascensionnelle.
Depuis l'antiquité l'ânkh a une signification magique. Symbole de vie, elle était d'ailleurs souvent portée comme amulette par les Égyptiens. , qui peut se traduire par « vie, intégrité, santé ». L'ânkh peut aussi représenter la clé de la connaissance cachée pour résoudre les mystères de la vie et de la mort.
Le TLFi définit le passéisme comme un « attachement excessif au passé » et le passéiste comme une personne « excessivement attachée au passé », présentant donc le terme comme étant lié à une exagération du sentiment de nostalgie.
Siège de l'activité psychique et des états de conscience de quelqu'un, ensemble des dispositions intellectuelles, morales, affectives qui forment son individualité, son moi profond ; esprit, intellect, cœur, conscience : Connaître l'âme humaine. Avoir l'âme d'un poète. 3.
L'âme constitue son essence par une analyse de l'esprit, mais pour découvrir finalement que cette analyse appelle une communion avec les autres. En développant la relation qui les unit, les âmes participent davantage à l'esprit absolu, source et principe unifiant de cette relation.
L'Âme du monde (en latin Anima mundi) repose sur le postulat philosophique d'une sensibilité globale et opérative possédant une double ou une triple nature, associée par les stoïciens à une force vitale dans l'univers manifesté.
"Parmi les corps naturels [i.e non fabriqués par l'homme] certains ont la vie et certains ne l'ont pas. Nous entendons par vie le fait de se nourrir, de croître, et de dépérir par soi-même" (De l'âme, II, 1). Et, plus loin, Aristote dit que la vie est ce par quoi le corps animé diffère de l'inanimé. »
L'existence, fondamentalement, est « projet » : le choix, l'engagement sont donc au cœur de la pensée de Sartre. Par conséquent, l'existence excède bien la vie, mais seul l'homme peut se déterminer comme existant, alors que la vie appartient aussi bien à l'homme qu'aux plantes et aux animaux.
Ainsi, selon Socrate, la philosophie comme manière de vivre – vivre la vie qu'il a lui-même menée et qu'il recommandait à ses jeunes disciples et aux autres interlocuteurs de vivre – c'est essentiellement s'engager, avec le plus de rigueur et de constance possible, et sans réserve aucune, à user de sa raison, en vue de ...
Nietzsche pense que tous les idéaux, qu'ils soient religieux, philosophiques ou politiques, ont la même finalité, celle d'inventer un au-delà meilleur que l'ici-bas et d'imaginer des valeurs « transcendantes ». Nier le vrai réel au nom de fausses réalités au lieu de l'assumer et de le vivre tel qu'il est.