La vapeur d'eau atmosphérique résulte essentiellement de l'évaporation des surfaces d'eau liquide à la surface de la Terre et son contenu maximum est contrôlé par la température de l'air. Pour chaque degré de réchauffement l'atmosphère peut potentiellement augmenter son contenu d'environ 7%.
La vapeur est produite dans des chaudières chauffées par un combustible fossile, parfois électriques, ou bien plus généralement par ébullition de l'eau mise au contact d'une source chaude, comme indirectement dans les générateurs de vapeur des réacteurs nucléaires à eau pressurisée (REP), ou directement dans les ...
Comprendre les liens entre atmosphère et climat
L'atmosphère est en effet composée de gaz dits à effet de serre, comme la vapeur d'eau (H2O), le dioxyde de carbone (CO2), le protoxyde d'azote (N2O) ou encore le méthane (CH4).
On trouve de l'eau stable sous les états liquide, solide et gazeux à la surface de la Terre et l'énergie solaire engendre, pour partie, une évaporation de l'eau liquide ce qui aboutit à la présence de vapeur d'eau dans l'atmosphère.
Bien au contraire, la vapeur d'eau est rigoureusement un gaz absolument indétectable à l'œil nu, incolore et inodore, qui constitue la phase gazeuse de l'eau que nous connaissons bien.
La transformation du kilogramme d'eau liquide en gaz ou vapeur d'eau, appelée vaporisation, nécessite une quantité importante d'énergie appelée chaleur latente de vaporisation ou enthal- pie de vaporisation.
L'eau s'évapore de la surface de la Terre et monte dans l'atmosphère terrestre dans des courants chauds. Elle se condense en nuages, est balayée par le vent, puis retombe sur la Terre sous forme de pluie, de grêle ou de neige.
La vapeur d'eau autrement dit vapeur, est de l'eau à l'état gazeux. Elle se produit à pression atmosphérique à partir du point d'ébullition soit 100°C. Lorsqu'elle est comprimée, la vapeur est supérieure en température. Par exemple à 10 bars (10 fois la pression atmosphérique) la vapeur est à 180 °C.
La vapeur d'eau est l'état gazeux de l'eau. Il s'agit du seul état dans lequel l'eau est invisible.
La vapeur n'est qu'un état de transition qui permet d'amener l'eau dans le ciel, mais ce n'est qu'une fois qu'elle s'est agglomérée en gouttelettes ou en cristaux autour de noyaux de condensation que s'obtient un joli nuage tout blanc.
La vapeur d'eau n'est pas le moteur du réchauffement climatique, mais elle y participe par un effet amplificateur.
Les émissions provenant de sources fossiles ont augmenté depuis 1990, passant de 22 à 36 Gt CO₂ par an (Gt = gigatonnes ou milliards de tonnes). De tous les gaz à effet de serre, le CO₂ est le principal responsable de l'effet de serre (plus de 50 %).
À l'échelle du siècle, le méthane est tout de même 25 fois plus puissant que le gaz carbonique en potentiel de réchauffement global (PRG) ! À quantité égale, le méthane est donc plus puissant en effet de serre que le CO2.
La vapeur d'eau est invisible et elle se forme quand l'eau s'évapore et se transforme en gaz. Ainsi elle se mélange à l'air et l'air devient humide. Quand l'air ne change pas de température ou quand il se réchauffe, la vapeur d'eau reste prisonnière dans l'air et aucun nuage ne se forme.
La vapeur pour produire de l'énergie
L' énergie thermique transportée par la vapeur d'eau sous pression lance et entretient le mouvement de rotation du rotor de la turbine. Reliée à un générateur, elle permet de produire de l'électricité.
L'air atmosphérique contient de la vapeur d'eau en quantité variable, inférieure à 4 %. Elle provient de l'évaporation de toute l'eau liquide présente à la surface de la Terre et de l'évapotranspiration des végétaux.
Si la température augmente à cause d'émissions anthropiques de CO₂, l'air peut contenir plus de vapeur d'eau. En pratique, c'est bien ce qui se produit et la vapeur d'eau additionnelle dans l'air va alors contribuer à l'effet de serre, renforçant le réchauffement initial.
La vapeur d'eau est un gaz incolore et inodore. On ne peut pas le voir ni le sentir. A une température supérieure à 100°C à pression ambiante, l'eau est à l'état gazeux.
Lorsque les couches d'air se refroidissent, naturellement, la vapeur d'eau se condense et devient fines gouttelettes d'eau : un nuage se forme. Si ce phénomène se passe près du sol, le nuage s'appelle brume ou brouillard (la distinction entre ces deux expressions vient tout simplement de la différence de visibilité).
La vapeur d'eau varie en volume dans l'atmosphère d'une trace à environ 4 %. Par conséquent, en moyenne, seulement 2 à 3 % des molécules dans l'air sont des molécules de vapeur d'eau. Plus de 99 % de l'humidité atmosphérique est sous forme de vapeur d'eau.
La vapeur est la phase gazeuse de l'eau qui se forme lorsque la chaleur latente de vaporisation nécessaire est fournie à l'eau à son point d'ébullition. La vapeur est créée dans les centrales électriques à haute pression par la combustion d'un combustible dans une chaudière.
Les molécules d'eau (H2O) sont composées de deux atomes d'hydrogène et d'un atome d'oxygène. Ces molécules sont plus légères que les molécules d'azote gazeux (N2) et d'oxygène gazeux (O2). Par conséquent, la vapeur d'eau monte dans l'atmosphère.
En 1763, alors qu'il répare un moteur, l'ingénieur écossais James Watt (1736-1819) cherche des idées pour en augmenter l'efficacité. En 1765, il finalise une chambre de condensation pour la vapeur et dépose un brevet en 1769.
Loin derrière, les Pays-Bas sont responsables de 175 millions de tonnes d'émissions de GES en 2021, soit deux fois plus que la Grèce (80 Mt). Enfin, les Etats membres qui émettent le moins de gaz à effet de serre sont la Lettonie (10,9 Mt), Chypre (9,3 Mt) et Malte (2,4 Mt).
L'Allemagne et le Royaume-Uni, les plus gros pollueurs de l'Union européenne. Au sein de l'Union européenne, l'Allemagne et le Royaume-Uni restent les deux plus gros émetteurs de CO2 depuis cette dernière décennie.