La note sensible de SOL majeur est la note FA♯, et c'est bien entendu de degré VII de la gamme.
Par exemple, la note Si est la sensible des gammes de Do majeur et Do mineur.
La note sensible de SOL mineur harmonique est la note FA♯, c'est le degré VII de la gamme. Attention il n'y a pas de note sensible en SOL mineur mélodique et en mineur naturel.
La tonique (degré I) de la gamme de SOL mineur harmonique est la sus-dominante (degré VI) de sa gamme relative majeure.
La majeur (abrégé en LaM dans le système latin et en A dans le système américain) est la tonalité composée de la gamme majeure A et contient les notes La, Si, Do#, Ré, Mi, Fa#, Sol# et La. Sa tonalité contient trois signes de croix (en fa, do et sol).
La tonalité de do majeur (ut majeur) se développe en partant de la note tonique do ou ut (surtout utilisé dans le langage théorique). Elle est appelée C major en anglais et C-Dur dans l'Europe centrale.
L'échelle de la mineur naturel est : la, si, do, ré, mi, fa, sol, la. Altérations : aucune.
Une note de musique, c'est avant tout un son, une fréquence sonore. Si tu doubles la valeur de cette fréquence, tu as la même note plus aiguë. Si tu la divises de moitié, tu as la même note plus grave.
La gamme majeure est une gamme à 7 notes. Elle se caractérise par le fait que toutes les notes sont espacées d'un ton maximum les une des autres, soit d'un ton ou d'un demi-ton. Au-delà des notes, ce qu'il est important de comprendre et de retenir, c'est la structure de la gamme majeure en termes d'intervalles.
1/ Dans une tonalité unique:
La note sensible se trouve un demi-ton avant la note de tonalité (la tonique). C'est le septième degré de la tonalité. On l'appelle sensible car elle a un mouvement d'attraction ascendant vers la tonique. En Do majeur,la note sensible est le si.
Dans notre système tonal, une tonalité est soit majeure, soit mineure. C'est la tonique (la note la plus importante) qui donne le nom à la tonalité. On dit par exemple "Do majeur, Si mineur, Ré dièse majeur, Sol bémol mineur, fa dièse mineur, etc…" pour désigner des tonalités.
Avec une gamme majeure, la distance entre la tonique et la troisième note (Do et Mi, par exemple) est deux tons – c'est ce que l'on appelle une tierce majeure -, tandis que c'est un ton et demi dans le cas d'une gamme mineur – c'est ce que l'on appelle une tierce mineure (Do et Mib, par exemple).
Définition de la note sensible
La note sensible est la note située sur le septième degré (VII) de la gamme. Si il n'y a pas une septième majeure entre le degré I et le degré VII alors, le degré VII est nommé sous-tonique.
La note sensible de RÉ mineur harmonique est la note DO♯, c'est le degré VII de la gamme. Attention il n'y a pas de note sensible en RÉ mineur mélodique et en mineur naturel.
La note sensible de MI mineur harmonique est la note RÉ♯, c'est le degré VII de la gamme.
Pour connaître la tonalité de votre morceau, commencez par repérer le dernier dièse de l'armature. Par exemple, si vous avez 3 dièses à la clef, il s'agira du sol dièse. Ajoutez alors un demi ton, ce qui vous donne La. Vous êtes donc en La Majeur.
Une gamme est une suite de notes qui se succèdent dans l'ordre. Il y a ce qu'on appelle un mouvement conjoint entre les notes. Une gamme est composée de huit notes : sept notes différentes plus la première qui est répétée à l'octave.
La tonalité correspond au mode majeur ou mineur utilisé dans une œuvre. Chaque tonalité est caractérisée par des altérations. Grâce à elle, on peut donc définir si l'on utilise une gamme majeure ou mineure. Elle est définie par une gamme de 7 notes différentes, comprenant 7 degrés.
SOL + 1 = LA. La tonalité majeure d'une armure à 3 dièses est donc La Majeur. Dans une armure à 6 dièses, le dernier dièse est un MI.
Si vous numérotez vos doigts de 1 à 5 (le pouce étant le numéro 1), vous devrez monter la gamme ainsi avec votre main droite : Do/1 – Ré/2 – Mi/3 – Fa/1 – Sol/2 – La/3 – Si/4 – Do/5. Vous devrez donc apprendre à passer votre pouce sous votre majeur, tout en gardant la main bien droite.
Le ton polémique est employé avec l'intention de soulever l'indignation chez le public lecteur, de susciter le débat à propos d'un sujet controversé. L'auteur qui en fait usage souhaite dresser une critique sévère de son sujet.
La tonalité didactique définit un discours qui veut instruire le lecteur, à la manière d'un professeur. Elle se caractérise donc par la volonté d'enseigner, d'apporter un savoir de façon claire et méthodique, comme un ouvrage scolaire.
Le registre épique (ou héroïque), également appelé "tonalité épique", repose sur la réaction d'admiration du lecteur devant les exploits de héros surhumains.