La seule source de valeur, selon Ricardo, était le travail. La rente n'apparaissait que lorsque des terres moins fertiles étaient mises en culture à mesure que la population augmentait, faisant ainsi augmenter le prix du blé et les rentes.
Il développe une théorie de la valeur : selon lui, le prix d'échange d'un bien n'est pas déterminé par son utilité. A titre d'exemple, l'eau ne coûte pas cher, pourtant on en a besoin tous les jours.
La théorie clé de Ricardo sur le commerce international est son développement de l'avantage comparatif. Ricardo soutenait que les nations devaient spécialiser leurs économies pour produire le(s) bien(s) qui rapporterait(ent) les profits les plus élevés avec les coûts de main-d'œuvre ou de fabrication les plus bas.
La monnaie institue la valeur parce que c'est une norme qui vaut pour tous. On peut donc proposer une première définition : la monnaie est ce par quoi la société rend à chacun de ses membres ce qu'elle juge qu'ils lui ont donné.
La valeur de quelque chose est toujours pour quelqu'un, est subjective et relative à la personne. La valeur de quelque chose est donc le rapport entre son utilité pour toutes les personnes concernées et les ressources qu'elles y consacrent.
Les types de valeurs sociologiques incluent les valeurs morales et éthiques, les valeurs idéologiques (politique) et spirituelles (religion), les croyances, les valeurs écologiques ou encore esthétiques, ouvertes, individuelles et collectives.
Pour Ricardo, ce qui fait la valeur d'un bien, c'est la quantité de travail nécessaire à la production de ce bien. S'il faut cinq heures de travail pour produire une chaise, et dix heures de travail pour produire une table, alors une table s'échangera contre deux chaises.
Smith distingue le « prix naturel d'une marchandise » qui est égal à la somme de « ce qu'il faut pour payer (…) les salaires du travail, le fermage de la terre, et les profits du capital utilisé » et le prix de marché, déterminé par la loi de l'offre et la demande.
Les valeurs ont trait à des objectifs désirables qui motivent l'action. Les personnes pour qui l'ordre social, la justice et la bienfaisance sont des valeurs importantes sont motivées pour poursuivre ces objectifs. Les valeurs transcendent les actions et les situations spécifiques.
Pour arriver à cette conclusion David Ricardo émet quatre hypothèses : la valeur du travail est égale au prix multiplié par la quantité de travail ; la concurrence doit être parfaite ; il doit y avoir immobilité des facteurs de production au niveau international (seules les marchandises circulent) et enfin la ...
Selon la théorie des avantages comparatifs, peu importe si un pays a des avantages absolus ou pas : il gagne à se spécialiser dans la production des biens pour lesquels son avantage comparatif est le plus élevé, c'est-à-dire dont les coûts relatifs sont les plus bas, et à échanger les biens qu'il ne produit pas.
D'après la théorie des avantages comparatifs, lorsqu'un pays se spécialise dans la production pour laquelle il est, comparativement à ses partenaires, le plus avantagé ou le moins désavantagé, il est alors assuré d'être gagnant au jeu du commerce international.
Ricardo distingue deux grandes catégories économiques : les biens produits, qui constituent l'objet de l'activité productive, et les revenus, dont la répartition en classes détermine la production.
La théorie des avantages comparatifs
Ricardo prolonge l'analyse des avantages absolus d'Adam Smith, comme fondement du libre-échange. Pour Smith, chaque pays a intérêt à se spécialiser dans la production pour laquelle il rencontre un avantage absolu, par rapport à ce que produisent les concurrents.
« Déterminer les lois de la répartition, voilà le principal problème en économie politique », écrit Ricardo dans son avant-propos. Sa théorie de la répartition des revenus part de l'existence naturelle des classes sociales et, en particulier, de celle des capitalistes et de celle des salariés.
Pour Smith, l'eau a une valeur d'usage très élevée mais sa valeur d'échange est quasiment nulle à l'époque où il écrit ces lignes. Seul le travail est pour Smith source de valeur pour les marchandises. Les efforts pour produire une marchandise déterminent la valeur de celle-ci.
C'est David Ricardo, économiste classique du xixe s., qui en donne la définition la plus précise : « La rente est cette portion du produit de la terre que l'on paie au propriétaire pour avoir le droit d'exploiter les facultés productives et impérissables du sol. » Une telle définition s'inscrit directement dans la ...
Les choses non librement reproductibles tirent alors leur valeur de leur rareté. Mais pour Ricardo, hormis ces exceptions, la plupart des choses tirent leur valeur du travail incorporé : ce sont les marchandises au sens économique du terme.
Les avantages de la spécialisation ricardienne
Elle permet d'accroître la richesse créée. Tous les pays ont ainsi intérêt à participer au commerce international. Ainsi, au niveau global, le libre-échange : favorise la hausse de la production et donc la croissance économique.
Le modèle de Ricardo a deux conclusions fondamentales : les pays sont toujours gagnants à l'échange qui permet de produire de manière plus efficace et, en situation d'échange, les pays vont se spécialiser dans la production du bien où ils possèdent un avantage comparatif.
Pour Adam Smith, l'accumulation des machines implique une augmentation des besoins en main-d'œuvre, et donc une montée des salaires. Mais, selon lui, la loi du marché gouverne aussi la démographie.
« Liberté, égalité, fraternité » est la devise de la République française.
Ces valeurs humaines sont notamment le respect, l'acceptation, la considération, l'appréciation, l'accueil, l'ouverture, l'entraide, la réciprocité, la solidarité, l'écoute, la bienveillance, l'empathie, la fraternité, l'affection et l'amour envers d'autres êtres humains.
Humanisme, partage et humilité, ce sont mes trois principales valeurs.