Les émotions sont des actions. Certaines se traduisent par des mouvements des muscles du visage, comme les expressions faciales de joie, de colère, etc., ou du corps, comme un mouvement de fuite ou une posture agressive. D'autres sont des actions internes, comme celles des hormones, ou du cœur, ou des poumons.
Le cortex cérébral permet de parler, imaginer, planifier, créer. C'est la partie qui a le plus évoluée depuis son apparition. Enfin le cerveau limbique est aussi appelé le cerveau émotionnel. Il nous permet de mémoriser les ressentis, d'éprouver les émotions, il englobe l'hypothalamus, l'amygdale et l'hippocampe.
Le cerveau est constitué de trois grandes parties : le néocortex, le système limbique, et le système reptilien. Ce dernier représente le cerveau primaire, responsable des instincts (survie, fuite…). Le système limbique fait figure du centre des émotions et de la mémoire.
Nos émotions de base seraient en fait au nombre de quatre, les signaux de peur et de surprise et ceux de colère et de dégoût partant en fait d'un tronc commun. Le signal commun ? Les yeux grands ouverts pour la peur et la surprise. Le nez ridé pour la colère et le dégoût.
Il n'y a pas un, mais plusieurs « cerveaux émotionnels »
Il y aurait donc plusieurs « cerveaux émotionnels » dans le cerveau, chaque émotion correspondant à une unité cérébrale distincte ou à un système composé de plusieurs unités cérébrales interconnectées.
Les émotions nous fournissent des informations très importantes pour la prise de décisions. Finalement, elles remplissent une fonction de communication et nous aident à mieux comprendre les autres. Il y a des expressions faciales qui ont une signification émotionnelle universelle.
L'émotion est quelque chose de tellement fort qu'elle a tendance à nous submerger et nous faire perdre nos moyens. Elle est passagère. Le sentiment est la prise de conscience d'un état émotionnel.
Les émotions primaires (ou dites « de ba- se») peuvent être observées chez la plu- part des vertébrés. Leur nombre varie se- lon les études, cependant on en retient généralement six : la joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse (une septième émotion, le mépris, est parfois ajoutée).
Théorie des émotions
Plutchik considère qu'il y a huit émotions de base : la joie, la peur, le dégoût, la colère, la tristesse, la surprise, la confiance et l'anticipation (en).
Les émotions sont des réactions spontanées à une situation. Elles peuvent entraîner des manifestations physiques (pâleur, rougissement, agitation, accélération des battements du coeur et de la respiration, transpiration, etc.)
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque.
Premier constat : un épisode émotionnel correspond à un bouleversement cérébral dont la fonction est d'adapter le cerveau (et le reste de l'organisme) à la situation qui a généré ce sentiment, qu'il s'agisse de joie, de colère, de dégoût, etc. Les modifications sont donc multiples et complexes.
Les émotions motivent nos actions – par exemple, lutter, fuir ou figer. Les émotions indiquent aux autres que nous faisons face à des facteurs de stress et que nous avons peut-être besoin de soutien. Les émotions comportent de la sagesse.
Le stress, anglicisme signifiant "tension" issu du latin stringere ("mise en tension") n'est pas une émotion ni un sentiment mais une réaction biologique et psychique, spontanée, naturelle, en cascade, de l'organisme face à son environnement.
Grâce à toutes ces données le cerveau se préoccupe de nous tenir ou plutôt de maintenir notre équilibre vital et crée de la fatigue qui selon Timothy Noakes devient une émotion plutôt qu'un événement physique.
Aller courir, faire de la boxe ou une séance de fitness aide à gérer ses émotions et à se sentir mieux dans son corps et dans sa tête. L'activité physique n'a que des bienfaits. Recommandée à tous, le sport est également bénéfique pour stabiliser l'humeur, lutter contre les états dépressifs et la baisse de moral.
L'amour comporte également des caractéristiques hormonales et génétiques, voire neurales. Pourtant, l'amour a été largement considéré par les scientifiques comme une émotion (processus axé sur l'événement), un sentiment, un état affectif.
Le psychologue Paul Ekman distingue six émotions fondamentales : la joie, la tristesse, la peur, la colère, la surprise et le dégoût.
L'émotion est une expérience psychophysiologique complexe et intense (avec un début brutal et une durée relativement brève) de l'état d'esprit d'un individu animal liée à un objet repérable lorsqu'il réagit aux influences biochimiques (internes) et environnementales (externes).
Celui qui t'aime est appelé amateur. Pardon mw ?
Difficultés pour communiquer ses sentiments
La première caractéristique de l'alexithymie réside dans la difficulté à pouvoir communiquer ses sentiments aux autres. L'alexithymique est incapable d'exprimer ses émotions verbalement.
Les 5 émotions de bases sont la peur, la colère, la tristesse, la honte et la joie.
Le stress émotionnel, comme celui provoqué par les émotions bloquées, n'est pas seulement lié aux troubles mentaux, mais aussi à des problèmes physiques comme les maladies cardiaques, les troubles intestinaux, les maux de tête, l'insomnie et les troubles auto-immunes.