Faux Les femmes ont en général une vessie de plus grande capacité que les hommes. De manière générale, la taille de la vessie est proportionnelle à la taille corporelle: elle suit donc la croissance.
Une vessie hyperactive provoque une envie incontrôlable et irrépressible d'uriner et un besoin fréquent d'uriner tant le jour que la nuit, même si la vessie ne contient qu'une petite quantité d'urine. On l'appelle parfois le syndrome de la petite vessie.
L'augmentation de la vessie est une chirurgie qui permet d'élargir la vessie à l'aide d'une section de l'intestin de votre enfant. Avant l'opération, l'intestin doit être aussi propre que possible. Cela prend quelques jours.
La sonde décontaminée est placée sur l'abdomen du patient en direction de la vessie après application d'un gel conducteur d'ultrasons sur la peau du patient dans la zone sus pubienne. L'écran LCD de l'unité de base possède un cercle de visée apparaissant sur l'image de la vessie scannée afin d'aider l'opérateur.
Un peu d'anatomie
En moyenne, elle contient 300 cm 3 , chez l'adulte mais peut contenir jusqu'à 2 ou 3 litres d'urine.
Indiquée en cas de douleurs abdominales, de symptômes urinaires, de sang dans les urines, d'insuffisance rénale, de suspicion de colique néphrétique ou de calcul rénal mais aussi pour le suivi de différentes pathologies, l'échographie rénale et vésicale est un outil de diagnostic très précieux.
Se lever plus de deux fois la nuit pour aller uriner, est considéré comme un peu excessif. En effet, à partir de plus de 2 réveils on parle de nycturie. Cela peut révéler un mode de vie non adéquat, voire un problème médical.
En temps normal, les intervalles entre deux mictions sont supérieurs à deux heures. Si on urine fréquemment avec des intervalles plus courts, cela est considéré comme pathologique", explique le docteur Ala Chebbi, urologue qui précise que "la pollakiurie est fréquente chez les femmes".
L'insuffisance cardiaque, les maladies neurologiques comme la maladie de Parkinson et d'Alzheimer, le cancer de la vessie et de la prostate, le diabète, l'insuffisance hépatique, et les maladies rénales chroniques font partie des pathologies qui peuvent entraîner une polyurie nocturne.
Se retenir d'uriner favorise la stagnation de bactéries
Se retenir d'uriner fréquemment et longtemps provoque en effet une stagnation de l'urine et une accumulation de bactéries dans la vessie qui peut être à l'origine d'une infection urinaire (aussi appelée cystite).
Tout le monde émet autant d'urine que ce que l'on boit. C'est la stabilité de la composition du corps. On a une quantité d'urine qui est exactement dépendante du fait d'avoir une quantité d'eau fixe dans l'organisme. Il est impossible d'uriner plus que ce que l'on boit."
La vessie est un organe creux faisant partie du système urinaire. Située derrière le pubis, elle reçoit des deux uretères les urines excrétées par le rein.
Les facteurs de risque de la vessie hyperactive
l'infection urinaire. la présence de calculs rénaux. des troubles du système nerveux. une consommation accru de boisson contenant de la caféine.
En règle générale, tous les fruits et légumes riches en eau ou en antioxydant, les légumes à feuilles vertes, les noix et les grains entiers sont considérés comme des diurétiques. Betterave, carotte, tomate, myrtille, poivron, oignon, céleri : vous avez donc l'embarras du choix !
On parlera plutôt de boissons à privilégier comme une eau riche en bicarbonates voire additionnée de pur jus de citron pour alcaliniser le pH des urines. Le citron aura une vertu antibactérienne non négligeable même si la quantité utilisée est faible.
Notamment, lorsque la vessie a été retirée, le patient doit se réapproprier son corps, son image et apprendre à gérer un nouveau quotidien. Il doit retrouver une continence acceptable ou apprendre à vivre avec une stomie urinaire.
La consommation de bière, et d'alcool en règle générale, diminue la libération d'ADH, l'hormone qui permet de conserver plus longtemps les liquides dans le corps afin que certaines de leurs substances bénéfiques pour l'organisme se libèrent, explique Gentside.
« On lutte contre les facteurs qui favorisent la production d'urine : l'œdème des jambes par exemple. Il faut surélever les jambes le soir. Et puis, limiter la boisson après 18 h et éviter le thé, le café, l'alcool le soir. » Et uriner avant d'aller dormir.
Essayez de vous hydrater suffisamment le matin et l'après-midi pour ne pas avoir soif le soir, limitez le nombre de boissons, ainsi que l'alcool, le thé et la caféine avant de vous coucher, et ne mangez pas trop tard pour ne pas aller au lit en pleine digestion.
Cet examen n'est pas douloureux si le patient est détendu. En effet, le fait d'être détendu permet l'introduction quasi indolore de l'endoscope. En général, le médecin donne ses observations directement au patient.
Dans environ 20 % des cas, le patient se plaint également de douleur en urinant, d'envies fréquentes d'uriner, de sensations de brûlures au niveau du pubis ou du périnée, de spasmes de la vessie ou de douleurs dans le bas du dos.
Une envie d'uriner trop fréquente est parfois le signe d'une hyperactivité de la vessie. L'hyperactivité vésicale résulte d'une contraction anormale du muscle de la vessie, dont la cause n'est pas identifiée.