LE RECORD de la température la plus basse jamais enregistrée sur Terre daterait de 1983, quand - 89,2 °C ont été mesurés en Antarctique. Le record français est, lui, de - 41 °C relevés dans le Doubs en 1985. Le froid le plus redoutable qui a régné en Polynésie française est, lui, de... 2,3 °C.
Quelle est la température la plus basse à la surface de la Terre ? -98°C d'après des mesures satellites récentes. Cette température extrême a été enregistrée sur la calotte glaciaire du milieu de l'Antarctique au cours d'un long hiver polaire.
Si 35°C TW est considéré comme un seuil mortel pour l'être humain, c'est parce que ces conditions bloquent les deux mécanismes de refroidissement du corps. Notre peau a en surface une température de 35°C.
Les scientifiques ont fait chuter un gaz quantique d'une tour pour dépasser le zéro absolu. Des physiciens allemands sont parvenus à produire la température la plus froide jamais enregistrée. Le zéro absolu, difficile à dépasser, est stabilisé à -273,15°C (soit 0 Kelvin).
Le record officiel de chaleur a été enregistré le 10 juillet 1913 à Furnace Creek, dans la fameuse Vallée de la Mort en Californie. La température de l'air a alors été mesurée à 56,7 °C. L'endroit détient même le record de la plus forte température au sol, avec 93,9 °C mesurés le 15 juillet 1972.
Récemment, des chercheurs du MIT ont réussi à créer des «molécules ultrafroides» dont la température a atteint 500*10-9 degrés Kelvins, soit «juste un cheveux au-dessus du zéro absolu, et plus d'un million de fois plus froid que l'espace interstellaire».
Le record est −36,7 °C en 1968 à Mouthe. Il a fait −13,9 °C à Paris parc Montsouris en janvier 1985 .
Dans l'Univers la température atteint -272°C
La température la plus basse possible théoriquement est le zéro absolu à -273,15 °C. À cette température, les atomes ne bougent plus ! Même dans l'espace, loin de toute étoile, on ne peut pas descendre aussi bas.
La température de Planck est la température de l'univers à 1 temps de Planck après le Big Bang, et est considérée comme la température maximale possible de facto. On a calculé qu'elle était d'environ 1,4 × 1032°C (140 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000°C).
Le nouveau record est de 46,0 °C mesurés à Vérargues dans l'Hérault le 28 juin 2019. De nombreuses stations ont mesuré des valeurs exceptionnelles. 45,9 °C ont ainsi été relevés le 28 juin 2019 à Gallargues-le-Montueux dans le Gard.
Parmi les phénomènes extrêmes accompagnant le dérèglement climatique, la chaleur humide devient plus fréquente. Une étude publiée en mai 2020 a recensé à deux reprises 35 degrés Tw, le seuil de température humide mortelle pour l'homme.
"Notre organisme dépense beaucoup d'énergie et d'eau pour maintenir la température interne à 37°C", indique Rémy Slama. Car, explique l'épidémiologiste environnemental, les protéines de l'organisme se dénaturent et nos cellules ne survivent pas si la température interne avoisine 41°C.
D'après une étude récente menée sur des jeunes hommes et femmes en pleine santé, la limite de température humide supportable par nos corps serait en fait plus proche des 31 degrés, soit une température extérieure de 31 degrés combinée à un taux d'humidité de 100%, ou de 38 degrés si le taux est de 50%.
LE RECORD de la température la plus basse jamais enregistrée sur Terre daterait de 1983, quand - 89,2 °C ont été mesurés en Antarctique. Le record français est, lui, de - 41 °C relevés dans le Doubs en 1985.
Sur le papier, la température la plus basse qui puisse exister, c'est celle que l'on appelle le zéro absolu. Une température de zéro kelvin qui correspond à -273,15 °C. À cette température, les particules se trouvent dans leur état d'énergie le plus bas.
C'est le « zéro absolu » ou le zéro kelvin. Il a été calculé que cette température correspond à -273,15°C. (En passant, l'échelle kelvin, contrairement à l'échelle celsius, s'exprime sans le mot "degré". On doit dire 20 degrés celsius, mais on dit 20 kelvin – et non pas 20 degrés kelvin.)
Pourquoi fait-il froid dans l'espace ? (MétéoMédia). Dans l'espace, il n'y a pas d'air. Les échanges de chaleur se font uniquement par échange de rayonnement, et pas par rayonnement et convection et conduction comme sur Terre.
Éloignée de toute source de chaleur stellaire, la seule température baignant l'espace est celle du fond diffus cosmologique, soit -270.45 °C. Cette température étant bien inférieure au point de congélation de l'eau, cette dernière devrait donc logiquement directement geler dans un tel environnement.
Le Soleil n'émet pas de chaleur car il est dans le vide de l'Univers dont la température avoisine les –270°C. Pourtant il semble chauffer la Terre et ses habitants à une température qui permet l'existence de vie. En fait, le Soleil fabrique de la chaleur et de la lumière. La chaleur reste prisonnière du Soleil.
Difficilement, car sans lumière les plantes disparaîtraient, suivies des animaux. Par ailleurs, sans la chaleur du soleil, la surface terrestre se refroidirait jusqu'à atteindre la température de l'espace: environ –270 °C.
La Lune ne possède pas d'atmosphère, c'est-à-dire que rien ne retient ou ne protège de la chaleur du Soleil. Cette caractéristique est responsable d'une très grande amplitude thermique. Ainsi, la température de surface de la Lune atteint 150°C le jour, en plein soleil, à -150°C la nuit environ.
En ce début d'automne, les projections du modèle européen pour l'hiver 2022-2023 n'envisagent aucun signal particulier concernant les températures en Europe de l'Ouest. En d'autres termes, le modèle envisage des températures proches des normales en France en faisant la moyenne du trio décembre, janvier et février.
La canicule d'août 2003 a été exceptionnelle par sa durée (deux semaines) entre le 1er et le 15 août, son intensité et son extension géographique. L'été 2003 est le plus chaud jamais observé depuis 1950, rappelle Météo France.
La suprême fraîcheur : Chamonix, en Haute-Savoie.