Le quotidien revendique une orientation libérale. Il défend une ligne éditoriale favorable à l'économie de marché, ouverte sur le monde et l'Europe.
Traditionnellement classé au centre-droit, le journal ouvre ses pages à toutes les opinions politiques (interviews, analyses, etc. ). C'est l'un des cinq magazines d'actualité hebdomadaires de dimension nationale en France.
De ses débuts situés à l'extrême gauche, Libération évolue vers la gauche socialiste à la fin des années 1970 sous l'impulsion de Serge July, puis vers une ligne éditoriale présentée comme étant « libéral-libertaire » progressiste.
Le groupe Les Échos-Le Parisien est une société holding française active dans le domaine des médias et de la publicité. Elle est présidée par Pierre Louette en 2022.
La Tribune : référence économique en France
La Tribune est en France une valeur sûre en matière d'économie. Il est fortement conseillé de placer le site dans vos favoris, tant le magazine parle d'économie et de finance au niveau national et international.
Sa ligne éditoriale est faite de neutralité politique et de proximité avec son lectorat. À cet égard, il ne doit pas servir les intérêts d'un homme, d'un parti politique, d'un clan ou d'une entreprise. »
Ligne éditoriale
Selon Claude Perdriel, fondateur du Nouvel Observateur, il s'agit d'un « journal mendésiste, social-démocrate de gauche ». En 2012, selon un sondage, 71 % de ses lecteurs se disent de gauche.
Sa ligne éditoriale, souverainiste, antilibérale et laïque, emprunte à la fois à la gauche et à l'universalisme républicain.
Sa ligne éditoriale est de droite gaulliste, libérale et conservatrice, selon le spectre politique français habituellement utilisé. Il est principalement lu par des sympathisants de droite ou de centre droit.
Radio : La tendance politique des auditeurs de France Inter est fortement ancrée à gauche, tandis que celle des auditeurs de RTL, d'Europe 1 et de BFM Business est orientée à droite.
Sa ligne éditoriale est parfois présentée comme étant de centre gauche, affirmation récusée par le journal lui-même, qui revendique un traitement non partisan.
Selon Le Figaro, Valeurs actuelles est tantôt décrit comme « classé à l'extrême droite », « réputé clairement à droite », ou « conservateur ». France Info qualifie le magazine d'extrême droite et également de conservateur.
Le magazine est classé à droite ou à l'extrême droite selon les médias, et se revendique pluraliste, anticonformiste, réactionnaire mais plutôt social-libéral sur le plan économique.
Le journal se réclame ouvertement chrétien et catholique, même si les choix éditoriaux qui en découlent ont pu évoluer au cours de son histoire. Il est propriété du groupe Bayard Presse depuis sa fondation. Il s'agit en 2020 du cinquième quotidien national de France en termes de diffusion payée.
D'après le mensuel CQFD, la radio diffuse des « discours identitaires féroces » et banalise les idées d'extrême droite : André Bercoff, noyau dur de la radio et « collaborateur des sites fachosphériques », « distille à longueur d'ondes les thèses favorites de l'extrême droite ».
Cet auditorat correspond à la stratégie éditoriale de la station : pour Patrice Bertin qui en fut directeur de la rédaction, « il a été décidé que France Inter devait devenir la radio des intellos de gauche, puisqu'Europe 1 est à droite et RTL une radio populaire ».
Politiquement indépendant, il est souvent proche des idées du centre gauche.
Dans un article consacré à la chaîne en 2014, la BBC analyse le positionnement de BFM TV comme étant « favorable aux affaires, à la réforme, et opposé au vieux consensus ».
En 2005, la préfecture de la région Bretagne passe ainsi commande de quatre articles au journal. La ligne éditoriale du journal s'infléchit dans les années 1990 : de démocrate-chrétienne, elle devient plus conservatrice, l'humanisme et le progressisme laissant place à un ralliement net aux thèses libérales.
Nous ne prenons pas position politiquement, nous laissons le lecteur se forger son opinion à partir des faits. » À sa création, en 2002, 20 Minutes compte 55 salariés, dont 26 journalistes.
La Tribune se veut pluraliste et tournée vers l'enquête.