En mathématiques, un gogol (parfois orthographié googol) est l'entier naturel dont la représentation décimale s'écrit avec le chiffre 1 suivi de 100 zéros (soit 10100) : 10 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000.
Un dénommé Edward Kasner, mathématicien américain, invente le terme «googol» («gogol» en français) pour désigner un «nombre 10 élevé à la puissance 100 (10 suivi de 100 zéros)», explique Alain Rey dans 200 drôles de mots qui ont changé nos vies depuis 50 ans.
Le Googol est un 1 suivi de 100 zéros. Jusque là, rien d'exceptionnel puisqu'un Septendécillion est plus grand.
Aujourd'hui, le nombre s'élève à plusieurs millions par secondes. Son nom est une référence au terme mathématique « gogol » ou « googol », qui désigne le nombre s'écrivant avec le chiffre 1 suivi de 100 zéros. Google estime la valeur de son entreprise à 400 milliards de dollars.
Le Googleplex est le siège social de Google, situé au 1600 Amphitheatre Parkway à Mountain View, en Californie près de San José. Googleplex est un mot-valise formé à partir de Google et de complex et est une référence au grand nombre gogolplex valant 10gogol = 1010100.
Il est beaucoup trop grand pour être écrit grâce à la notation scientifique et nécessite une notation permettant d'écrire de très grands nombres. Toutefois, il est possible d'obtenir ses derniers chiffres sans trop de difficulté. Ainsi ses dix derniers chiffres sont 2464195387.
(Mathématiques) 10 100, soit nombre entier dont la représentation décimale s'écrit avec le chiffre 1 suivi de 100 zéros. Un gogol, équivaut à 10100, soit 10 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000.
Mille milliards, c'est-à-dire un million de millions ou 10 puissance 12.
Le zéro a été inventé aux alentours du Ve siècle en Inde. Le mathématicien et astronome Brahmagupta dessine le vide, le néant, le rien. Il invente un signe pour l'absence et ouvre le chemin de la représentation de ce qui n'était pas représentable jusque-là.
C'est le mathématicien britannique John Wallis (1616–1703) qui, le premier, abrégea le concept «infini» par ce symbole. John Wallis a largement contribué au développement des mathématiques de son époque, tant dans leur contenu que dans leur forme.
Un nouveau nombre premier a été identifié, qui a la particularité d'être le plus grand connu jusqu'ici. Il s'agit du nombre 277232917 – 1 (c'est encore un nombre de Mersenne), qui s'écrit en base 10 avec 23 249 425 chiffres.
(Péjoratif) (Injurieux) Sotte ; demeurée ; imbécile.
Qui est faible de constitution, qui manque de force ; fragile : Enfant débile. 2.
Les chiffres (0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9) et le système décimal (selon leur place dans un nombre, ces chiffres sont des unités, des dizaines, des centaines…) ont été inventés par les Indiens. Au 9e siècle, les Arabes trouvent que ces chiffres facilitent beaucoup les calculs et ils les diffusent dans le monde entier.
En tant que nombre, zéro est un objet mathématique permettant d'exprimer une absence comme une quantité nulle : c'est le nombre d'éléments de l'ensemble vide. Il est le plus petit des entiers positifs ou nuls.
La division par zéro donne l'infini.
« Il y a 3 zéros dans 1 millier (1 000), 6 dans 1 million (1 000 000) et 9 dans 1 milliard (1 000 000 000). Au-dessus du milliard, on trouve le billion (12 zéros), le billiard (15 zéros), le trillion (18 zéros), le trilliard (21 zéros), le quadrillion (24 zéros), le quadrilliard (27 zéros)... »
Symbole du mégaeuro, unité monétaire valant un million d'euros.
L'Équation de Navier-Stoke.
Il faut savoir que des mathématiciens sont allés encore plus loin. Ils ont nommé un nombre encore plus grand : le "Googolplex", c'est un 1 suivi d'un googol de zéros, un nombre si immense qu'il y a davantage de zéros dans l'écriture de ce nombre que d'atomes dans l'univers.
42 est la réponse à La grande question sur la vie, l'univers et le reste dans l'œuvre de Douglas Adams Le Guide du voyageur galactique. Il reste alors à déterminer quelle était, précisément, la question.