En général, les courants ascendants atteignent leur vitesse maximale à environ 6 km du sol. Les orages supercellulaires ou de derechos peuvent avoir des courants ascendants gigantesques à cette altitude dont la vitesse dépasse les 40 m/s (140 km/h ).
Par convention, la direction de déplacement d'un nuage est celle d'où il vient. C'est ainsi que si un nuage se déplace du sud-ouest vers le nord-est, la direction de son déplacement est «sud-ouest». La vitesse d'un nuage correspond à la vitesse de son déplacement horizontal.
La base des nuages de l'étage supérieur se situe à une altitude supérieure à 5 000 mètres (16 500 pieds) ; celle des nuages de l'étage moyen, à une altitude comprise entre 2 000 et 7 000 m (6 500 à 23 000 pieds) ; et celle des nuages de l'étage inférieur, à une altitude maximale de 2 000 m (6 500 pieds).
Les gouttelettes qui se déplacent en nuage parcourent une distance pouvant atteindre 6 mètres. «Mets ta main devant la bouche quand tu tousses!» On ne le dira jamais assez, mais pour limiter la propagation de certains virus ou bactéries, il n'y a rien de plus efficace.
Quelle est la durée de vie d'un nuage ? Tout dépend de la catégorie de nuages (oui, parce qu'il existe différents types de nuages) ! Si on prend l'exemple des plus courants, appelés « cumulus » (les nuages blancs dans nos ciels bleus), leur durée de vie est de 5 à 40 minutes !
Le cumulonimbus, de la famille des cumulus, est le nuage qui présente la plus grande extension verticale. Sa base se situe en général de quelques centaines de mètres à 3 500 mètres du sol. Son sommet dépasse parfois la tropopause ; il peut donc culminer à des altitudes allant de 8 000 à 18 000 mètres voire 21 km.
Les nuages sont constitués de cristaux de glace et de gouttelettes d'eau. La température est comprise entre 2°C et -30°C.
Le phénomène est celui à l'origine des traînées de condensation, ces formations nuageuses qui naissent en bout d'ailes, en bout de pales ou en sortie des réacteurs quand l'air se détend brusquement, faisant chuter sa température, qui peut alors descendre en dessous du point de rosée.
Un nuage peut avoir une épaisseur de plusieurs dizaines de mètres à plusieurs kilomètres ! Les nuages les plus fins forment des sortes de nappes effilées dans le ciel.
La ligne de Kármán, à 100 km , est considérée comme la frontière entre l'atmosphère et l'espace par la Fédération aéronautique internationale. L'altitude de 120 km marque la limite où les effets atmosphériques deviennent notables durant la rentrée atmosphérique de tout objet solide.
Si le brouillard ne pèse que quelques kg par m3, un cumulus pourra atteindre de 1000 à 2000 tonnes d'eau. Un cumulonimbus (nuage d'orage) de bonne taille pourra peser de 50 000 à 300 000 tonnes d'eau, pouvant atteindre 800 000 tonnes pour les plus gros.
Cette vapeur renfermée dans l'atmosphère se condense et forme les nuages, qui sont constitués de milliards de gouttelettes d'eau et de glace : avec une densité d'eau d'environ 0,5 g par mètre cube, un nuage de 100 kilomètres cubes peut ainsi peser jusqu'à 500 000 000 kilos !
Les nuages les plus élevés, qui occupent l'étage supérieur de la troposphère sont constitués de millions de minuscules cristaux de glace (préfixe: Cirr ou Cirro) et comprennent les genres Cirrus, Cirrocumulus et Cirrostratus. Leur température est inférieure à - 40°C.
Elle est énorme! À savoir 11,2 km/s (kilomètres par seconde), soit plus de 40 000 km/h. Avec une telle vitesse, tu pourrais aller du pôle Nord au pôle Sud en environ 21 minutes! La plupart des satellites et des engins spatiaux qui vont dans l'espace n'atteignent pas la vitesse de libération!
La convection : l'air présent au voisinage d'un sol chaud se réchauffe à son contact et se dilate. Plus léger, il monte dans l'atmosphère avant de se refroidir en altitude pour former des nuages. Ces nuages de convection, apparaissent d'autant plus facilement qu'il y a de l'air froid en altitude (masse d'air instable).
La vitesse est de 107 600 km/h, soit 29,9 km/s. nous parcourons 2,575 millions de km par jour.
Cumulonimbus. Ce sont des cumulus de pluie, d'averses, de grêle... Ils forment d'énormes volutes au sommet en panache ou en forme d'enclume, ils peuvent déchaîner des intempéries trés violentes. Le cumulonimbus est le seul nuage qui peut provoquer des orages.
Le stratus (St) : 0 à 500 m d'altitude
C'est un nuage de grisaille, qui forme une couche uniforme, étendue et grise de nuages bas, pouvant lieu à de la bruine, de la neige ou des prismes de glace.
Les brouillards d'eau (dont font partie les nuages) sont de l'eau à l'état gazeux.
Le bruit aérodynamique est dû aux turbulences aérodynamiques créées autour de l'avion.
Les traces que vous pouvez apercevoir dans le ciel au passage d'un avion sont des traînées de condensation.
La turbulence en air clair se produit lorsque deux masses d'air se déplaçant à des vitesses différentes se rencontrent. Un bon exemple est la rencontre des courants-jets. Ce sont des courants d'air qui se déplacent rapidement. Ils circulent autour de la Terre dans une zone de l'atmosphère appelée tropopause.
Les Cumulus et les Cumulonimbus sont considérés comme des formations nuageuses directement associées aux orages.
Les marins utilisent souvent le terme de brume quelle que soit la visibilité horizontale et le nomment également fumée de mer quand il s'agit de brume d'évaporation.
Les nuages jouent un rôle essentiel dans notre environnement. Ils nous renseignent sur la température, l'humidité, le vent et participent au cycle de l'eau, car grâce à eux vient la pluie. Grâce à leurs ombres, les nuages bas, comme le stratus ou le cumulus, bloquent le rayonnement du soleil, ce qui refroidit la Terre.