– Littéraire : duperie, fourberie, imposture.
Contraire : détromper. – Littéraire : désabuser.
Contraire : changeant, fluctuant, inconstant, infidèle, léger, versatile.
Le contraire du mensonge serait donc la sincérité et celui de la vérité l'erreur.
Contraire : conte, fiction, histoire, mensonge.
Définition de menteur Votre navigateur ne prend pas en charge audio. , menteuse nom et adjectif. nom Personne qui ment, qui a l'habitude de mentir. C'est un grand menteur, un vrai mythomane.
Véridique = qui dit la vérité ; qui est conforme à la vérité. Histoire véridique. Véritable = qui est conforme à la réalité ; qui est réellement ce qu'on dit qu'il est, qui n'est pas imité.
Contraire : exact, réel, sincère, vrai.
Contrairement à l'escroc, au menteur dit « normal » qui trompe son interlocuteur consciemment, la personne atteinte de mythomanie croit à ses propres mensonges. Elle se convainc de la réalité qu'elle se crée, car autrement son monde s'effondre.
Si le mensonge, en soi, ne constitue qu'un péché véniel, il devient mortel quand il lèse gravement les vertus de justice et de charité. 2486 Le mensonge (parce qu'il est une violation de la vertu de véracité), est une véritable violence faite à autrui.
Contraire : chagrin, détresse, douleur, enfer, malheur, peine.
Contraire : détaché, haineux, indifférent.
Contraire : déloyauté, dissimulation, duplicité, fausseté, félonie, forfaiture, fourberie, hypocrisie, mauvaise foi, rébellion, traîtrise. – Littéraire : infidélité, perfidie, sournoiserie.
Autre limite claire, selon Mireille Bonierbale : « L'infidélité débute avec la préméditation, quand on a l'intention de tromper son conjoint, que ce soit par vengeance ou par désir de piment sexuel. » Le contexte joue ainsi un rôle important, aussi bien dans le passage à l'acte que dans la vision qu'on en a.
– Familier : lâchage. – Littéraire : délaissement. Contraire : constance, dévouement, fidélité.
Si vous flirtez avec une personne juste pour vérifier votre pouvoir de séduction ou pour sortir de la routine, mais sans aller plus loin, on ne peut pas parler d'infidélité. Mais, si ce flirt laisse présager un contact physique ou une relation sentimentale, on bascule vers l'infidélité.
La mythomanie est une tendance pathologique au mensonge, décrite pour la première fois par le psychiatre allemand Anton Delbrück en 1891.
Les mythomanes croient à leurs mensonges
Une réaction qui ne surprend pas le psychanalyste Pascal Neveu, auteur de Mentir, pour mieux vivre ensemble?: "Les mythomanes, à l'inverse des simples menteurs, croient réellement à leurs histoires.
La mythomanie se caractérise par une tendance compulsive incontrôlable à raconter des mensonges et à inventer des histoires. Sans cesse, le mythomane se met en scène dans des situations qui le valorisent. Ce trouble reste aujourd'hui très difficile à traiter, car la personne ne se reconnaît pas comme malade.
Ce sont des «énantiosèmes».
Le meilleur menteur est celui qui fait servir le même mensonge le plus longtemps possible.
Ou les maniaques du contrôle… Obsédées par le gâchis, la réussite, l'excellence, toujours à tout vérifier, contrôler et avoir raison contre tous… les personnalités obsessionnelles compulsives, encore appelées « POC », sont difficiles à vivre.
On appelle toutologue une personne qui donne son avis sur tout, qui se pose comme experte dans tous les domaines, bien que ce ne soit pas le cas.
Définition. Vérité parfaitement exacte, c'est-à-dire qu'il y a une adéquation totale entre l'énoncé et la réalité.