L'objectif principal de la sécurité routière primaire est de réduire les risques qu'un accident de la route ne survienne en faisant évoluer les règles et les obligations associées aux conducteurs, aux véhicules et aux aménagements des voies afin de réduire les risques que des accidents de la route ne se produisent.
La formation à la sécurité routière permet ainsi d'aborder les droits et devoirs de chacun vis-à-vis des autres usagers. Elle permet également d'aborder les notions de prévention, de risque et de sanction.
Les principales causes des accidents de la route sont la conduite sous l'emprise de l'alcool ou de stupéfiants, les excès de vitesse, l'usage du téléphone au volant, la fatigue ou la conduite sans permis.
mettre en place des animations et des partenariats au niveau local. animer les stages de sensibilisation à la sécurité routière. contrôler et sanctionner les infractions au Code de la route. communiquer et informer le public sur la sécurité routière, comme avec les ateliers de voiture tonneau ou de parcours seniors.
Loi du 15 novembre 2001 dite "loi de sécurité quotidienne". Elle contient plusieurs articles concernant la sécurité routière (notamment l'immatriculation des cyclomoteurs et la possibilité de faire une recherche de stupéfiants dans des accidents non mortels). Loi du 18 juin 1999 dite "loi Gayssot".
La direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN) : La DGGN assure la direction des formations et unités chargées de la lutte contre l'insécurité routière. La gendarmerie exerce sa mission de police de la route sur environ 95% du territoire national.
Selon les garanties fournies par l'assurance et leur responsabilité dans l'accident, les victimes sont indemnisées. Le conducteur responsable de l'accident peut quant à lui encourir des peines très lourdes : amendes, retrait de permis, prison, dommages et intérêts envers les victimes.
La prévention routière, ou sécurité routière, est l'ensemble des mesures mises en place pour empêcher les usagers de la route d'être tués ou gravement blessés dans les accidents de la route (prévention des risques), ou en atténuer les conséquences (prévision).
Les principaux facteurs d'accident
La vitesse excessive ou inadaptée demeure la cause première de la mortalité sur les routes de France. Elle intervient dans un accident mortel sur trois.
Femmes au volant : des chiffres éloquents
Trois fois moins de femmes que d'hommes sont décédées sur la route en 2019. Les hommes représentent 84% des responsables présumés d'accidents mortels en 2019.
En France, les seniors sont une population d'usagers vulnérables particulièrement représentée parmi les victimes d'accidents de la route. Qu'ils soient piétons, cyclistes ou conducteurs, c'est généralement la baisse de leurs aptitudes visuelles et auditives ainsi que leurs temps de réaction élevé qui les met en danger.
L'alcool est la cause la plus fréquente d'accidents de la route. Avec 28 % des tués sur la route, la conduite en état d'ivresse tenait le haut d'un bien triste panier en 2014. Parmi les autres causes des accidents de la route on peut également citer la vitesse excessive et la conduite sous l'influence de la drogue.
Pour cela, le conducteur doit respecter les règles du code de la route pour effectuer un croisement en fonction de la signalisation, de l'obstacle et de la situation de conduite. Tous les véhicules qui se croisent doivent ralentir puis, si nécessaire, serrer le plus à droite possible afin d'éviter tout risque.
respecter les distances de sécurité afin de pouvoir s'arrêter avant de causer un accident. être suffisamment attentif aux autres usagers afin d'anticiper leur comportement et de limiter le risque d'accident. communiquer ses intentions aux autres conducteurs afin de ne pas les surprendre.
L'analyse des comptes rendus des cisr révèle que les actions prônées par les pouvoirs publics sont articulées autour de trois piliers : le contrôle et les sanctions des infractions routières, l'éducation et la formation, la mobilisation des acteurs locaux.
Le code de la route ou droit routier est l'ensemble des lois et règlements relatifs à l'utilisation des voies publiques (trottoirs, chaussées, autoroutes, etc. ) par les piétons, cyclistes, utilisateurs de deux-roues à moteur, automobilistes, routiers, etc.
Le Comité interministériel de la sécurité routière est créé par un décret du 5 juillet 1972. Cette date correspond également à l'année la plus meurtrière sur les routes de France : 18 000 victimes décédées.
Contrairement à une idée répandue, le Code de la route s'applique, peu importe la nature de la propriété de la voie, à partir du moment où celle-ci est ouverte à la circulation publique. Vous pouvez par exemple être verbalisé sur un espace privé comme un parking de supermarché ou d'une gare.
Lorsque les usagers de la route conduisent, ceux-ci sont soumis à de nombreux facteurs susceptibles de les pousser à prendre des risques qui pourraient remettre en cause leur intégrité physique ou celle des autres usagers de la route, ainsi que de l'intégrité matérielle de leur véhicule.
1. Situation dans laquelle quelqu'un, quelque chose n'est exposé à aucun danger, à aucun risque, en particulier d'agression physique, d'accidents, de vol, de détérioration : Cette installation présente une sécurité totale. 2. Situation de quelqu'un qui se sent à l'abri du danger, qui est rassuré.