Avec seulement deux versets, le Psaume 116 (117) est connu pour être le psaume le plus court de la Bible.
Le psaume 117 (116 selon la numérotation grecque) est le psaume le plus court du livre des Psaumes, avec seulement deux versets. Il fait partie du Hallel, car il commence par le cri de louange Alléluia, et le tétragramme יהוה (Yahvé) se retrouve en début et fin de psaume.
Dans le psaume 37, le psalmiste invite plutôt le juste fidèle à mettre sa confiance dans le Seigneur, et il le réconforte en répétant que Dieu aime à faire justice, qu'il accordera le salut aux justes, et que les impies qui s'acharnent contre les justes seront extirpés de la terre.
Le psaume 23 que la liturgie du 4ème dimanche de Pâques propose à la prière est sans doute l'un des plus connus. Les familles le choisissent volontiers aussi bien pour les baptêmes que pour les sépultures.
Origène a exploité la notion d'alphabet en la croisant avec le thème du respect de la Loi, thème central dans le psaume 119 : selon lui, de la même manière que l'alphabet est le commencement de l'apprentissage humain, le respect de la Loi est le point de départ de tout enseignement religieux.
Le plus court chapitre de la Bible est le #Psaume_117. Jean 11v35.
Prière de délivrance : Psaume 143
Il est mon allié, ma forteresse, ma citadelle, celui qui me libère ; il est le bouclier qui m'abrite, il me donne pouvoir sur mon peuple. Qu'est-ce que l'homme, pour que tu le connaisses, Seigneur, le fils d'un homme, pour que tu comptes avec lui ?
Le psaume 34 est un diptyque : la première partie jusqu'au verset 11 est constituée d'une hymne et d'un développement de l'expérience du psalmiste, tandis que la seconde partie prend un ton sapientiel. Trois thèmes sont abordés : celui de la rétribution, du bonheur, et enfin de la pauvreté spirituelle.
En ce qui concerne le Ps 69, par exemple, celui-ci est clairement l'expression d'une certaine piété israélite. C'est une prière de délivrance pour des temps troubles. C'est un Psaume d'affliction, qui n'exprime son espérance que dans sa conclusion [34]
L'Évangile selon Marc est le deuxième Évangile du Nouveau Testament, qui en compte quatre. Il est l'un des trois Évangiles synoptiques, avec Matthieu et Luc. Il est reconnu par tous les chrétiens. Il est également le plus court et le plus ancien des quatre.
Un extrait de la Bible de Gutenberg.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Ainsi, la tradition attribue la rédaction du Pentateuque à Moïse ; les livres de Josué, des Juges et de Samuel sont alors considérés comme des archives sacrées recueillies par le prophète Samuel ; Jérémie est vu comme l'auteur des premier et deuxième livre des Rois, David comme celui des Psaumes, et Salomon comme celui ...
Le psaume 32 exprime la joie du psalmiste d'avoir été libéré d'une grande souffrance. Il s'articule en deux parties : aux versets 1 à 5, le psalmiste proclame le bonheur de voir sa faute remise par Dieu, et du verset 6 au verset 11, il manifeste sa confiance dans le fait que Dieu le guide sur le bon chemin.
Le psaume 33 (32 selon la numérotation grecque) est attribué à David. C'est un psaume de louange, dont le thème majeur est celui du peuple d'Israël, peuple élu de Dieu.
Le psaume 25 (24 dans la numérotation grecque) est une supplication à l'Éternel attribuée à David. C'est un acrostiche : les premières lettres de chaque verset lues verticalement forment l'alphabet hébreu.
Le psaume 24 présente ces attributs divins dans un contexte liturgique ou Israël reconnaît la souveraineté divine dans l'acte de la création et dans le combat. Le peuple adore le Seigneur sur sa montagne sainte. Et vers ce lieu saint convergent les pèlerins à la rencontre de Dieu, résidant dans le sanctuaire.
Il aurait été écrit par le roi David, qui demandait pardon auprès de Dieu après qu'il eut séduit Bethsabée, la femme d'un de ses officiers, Urie le Hittite, en profitant d'une de ses absences.
Le psaume 91 est récité à la prière de zemirot le shabbat, à Yom Tov et à Hoshana Rabbah. Il est aussi récité au coucher, lors des enterrements, on le lit à sept reprises.
L'auteur tient à la forme la plus intemporelle possible de ce rapport avec Dieu, dans lequel tout un chacun peut entrer, et dans lequel le problème de sécurité, avec lequel chacun est aux prises, devra trouver une réponse valable non seulement pour aujourd'hui, mais pour tous les temps.
Le psaume 67 (66 selon la numérotation grecque) exprime l'universalité de la louange due à Dieu. Il a les mêmes indications que le psaume 68, et on peut le ranger dans le groupe des psaumes 65 à 68, qui sont destinés à la louange et à l'action de grâce, avec les instruments à cordes.
Le psaume 8 est attribué à David. C'est une hymne de louange de Dieu et des merveilles de la création. Pour les chrétiens, ce psaume se retrouve plusieurs fois dans le Nouveau Testament. Les versets 5 à 7 sont notamment repris dans l'Épître aux Hébreux.
Le psaume 5 est attribué à David. Il exprime la plainte du juste contre les impies.
Le psaume 20 (19 selon la numérotation grecque) est attribué à David. C'est une prière communautaire pour une personne mystérieuse dont l'identité apparaît progressivement.
Résumé Matin après matin, le psaume 95 (94) invite à prendre pied sur la communion, l'émerveillement, la confiance et la responsabilisation, et à entrer ainsi dans sa journée par la porte étroite qui conduit à la vie.
Le texte du Psaume 90 a une portée rhétorique. Comme on peut le voir, au v. 13, le même verbe shûb du v. 3, qui sert pour inviter l'homme à revenir auprès de Dieu, est utilisé comme une prière pour demander à Dieu de revenir auprès de son peuple.