Le temps de narration est le temps principal d'un récit en français : passé simple, passé composé ou présent. Il est employé pour les évènements considérés comme principaux, qui constituent la trame de l'histoire et y apparaissent dans l'ordre selon lequel ils se sont réellement produits.
Le rythme de la narration correspond à peu près au rythme de l'histoire. L'histoire semble se dérouler sous les yeux du lecteur. – Dis donc, Camille, ajouta Laurent, si nous allions faire une promenade sur l'eau avant de nous mettre à table ? […] Le narrateur résume une partie de l'histoire (rythme accéléré).
- Les temps dominants sont l'imparfait et le présent intemporel. L'imparfait de l'indicatif est le temps du décor, de l'arrière plan. La description se fond parfois dans la narration. Il comporte des verbes d'état.
Un texte narratif est une histoire réelle ou fictive racontée à l'aide d'un narrateur. L'histoire racontée peut être vraisemblable ou invraisemblable. Il s'agit d'un texte qui décrit une succession de faits qui s'enchaînent.
Le schéma narratif d'un récit est le déroulement de ce récit et des actions qu'il raconte. On parle de schéma narratif pour les histoires telles que les contes ainsi que les romans. C'est une façon et un point de vue pour commenter et analyser un récit, lorsqu'on fait de l'analyse littéraire.
Un texte narratif décrit une succession de faits qui s'enchaînent. Il est caractérisé par des verbes d'action et de mouvement qui indiquent la progression de l'histoire, à laquelle participent un ou des personnages. Le narrateur peut, aussi, être un personnage de l'histoire qu'il raconte.
Le temps de la narration est donc le passé. C'est ce qu'on appelle la narration ultérieure. Le passé simple et l'imparfait vont abonder dans les textes où l'histoire est racontée à l'aide d'une narration ultérieure.
La pause. On utilise la pause pour suspendre l'histoire, ce qui a pour effet d'interrompre les actions et de ralentir le rythme du récit au maximum. On emploie alors la narration pour décrire, expliquer ou commenter certains éléments de l'histoire.
temps verbal (n.m.) 1. trait grammatical permettant de situer un fait (qui peut être un état ou une action, parfois appelé procès) dans l'axe du temps de l'énonciation par rapport à trois jalons : passé, présent, futur.
L'imparfait est principalement utilisé pour exprimer une action passée pouvant durer, être habituelle ou répétée. Il peut avoir trait au déroulement d'une action et être également employé pour faire état de descriptions.
Quand utiliser le passé simple ? Le passé simple est employé pour désigner une action généralement courte, terminée dans le passé. Sur une échelle de temps, le passé composé, qui exprime lui aussi une action brève, se situe plus près du présent que le passé simple, plus lointain.
Caractériser un texte
Le descriptif ne pèse pas trop dans l'histoire, il ne contient pas des évènements, il est riche d'adjectifs et d'adverbes, le narratif, c'est là où on trouve les actions, les faits, les personnages qui racontent, qui parlent ...
Elle n'est pas directement mentionnée dans le texte, mais le lecteur ou la lectrice peut la comprendre par déduction. On retrouve souvent une thèse implicite, par exemple, dans les caricatures ou les messages publicitaires.
Polémique : le registre polémique caractérise un texte qui s'attaque à des idées, qui dénonce violemment une situation.
Le texte narratif sert à raconter une histoire, généralement fictive. L'auteur fait le récit d'une chaîne de péripéties vécues par les personnages. Il cherche aussi à divertir son public. Quelques textes serviront également à enseigner une morale ou à favoriser l'ouverture d'esprit, à faire réfléchir…
Par convention stylistique, celui qui s'adresse au lecteur pour raconter une histoire (réelle ou imaginaire) est appelé le narrateur. Cette appellation neutre permet d'éviter de confondre l'écrivain et celui qui raconte l'histoire.
Temps du récit
La plupart des récits ont comme temps de narration le passé simple (seulement à l'écrit) ou le passé composé (écrit et oral) ; le passé antérieur, variante du passé simple, peut notamment apparaître dans des subordonnées temporelles. Certains récits ont comme temps de narration le présent.
Le point de vue est la place qu'adopte le narrateur pour raconter l'histoire.
Dans un récit, l'élément déclencheur ou élément perturbateur, est la suite de la situation initiale et engendre les péripéties. L'élément déclencheur s'écrit souvent en un paragraphe dans un récit. Il est souvent le deuxième élément d'un schéma narratif.