Jésus, en grec Ἰησοῦς / Iēsoûs, vient de Yehoshua (hébreu : יהושע), à travers sa forme abrégée Yeshua (hébreu : ישוע). Yeshua signifie « Sauveur » et Yehoshua est un nom théophore qui signifie : « Dieu (YHWH) sauve ».
Les contemporains l'auraient appelé Yeshua Bar Yehosef ou Yeshua Nasraya. (C'est «Jésus, fils de Joseph», ou «Jésus de Nazareth».) Les Galiléens se distinguaient les uns des autres avec le même prénom en rajoutant soit «fils de» et le nom de leur père, soit leur lieu de naissance.
Jésus (de Nazareth)
Il lui fut donné le jour de la circoncision (Mt 1,21). Le nom est la forme grecque (Ιησους) de l'araméen Joshua qui signifie "Dieu sauve". Ce nom n'est pas exceptionnel, mais significatif (par exemple Lc 18,35).
Jésus vient du grec ancien Ἰησοῦς , Iēsoûs, lui-même issu du prénom hébreu ancien ישוע , Iéshua (et a la même racine que Josué). Ce mot signifie « Dieu sauve » ou « Dieu délivre ». Christ vient du grec ancien χριστός , khristós, lui-même traduit de l'hébreu ancien משיח , maschiah (« messie »).
Le nom du Dieu d'Israël et de Juda apparaît près de 6800 fois dans la Bible hébraïque sous la forme du Tétragramme יהוה, c'est-à-dire YHWH. Ce nom est aussi attesté, sous une forme incomplète (Yah), dans un grand nombre d'anthroponymes.
Âme du Christ, sanctifie-moi, Corps du Christ, sauve-moi, Sang du Christ, enivre-moi, Eau du côté du Christ, lave-moi, Passion du Christ, fortifie-moi. Ô bon Jésus, exauce-moi. Dans tes blessures, cache-moi. Ne permets pas que je sois séparé de toi.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
Aussi pense-t-on que Yahvé viendrait de dialectes amorrhéens, que parlaient les Patriarches et dans lesquels HWH (comme en araméen) signifie « être », « devenir ». Dès lors, Yahvé (YaHWéH) serait une forme verbale, causative, et voudrait dire : « Il fait être ».
Le nom « Dieu le Père » est donc considéré par les chrétiens non pas comme l'existence d'un Dieu différent des autres, mais comme l'une des personnes de Dieu. D'ailleurs, l'Évangile nomme Dieu le Père uniquement par « Père » ; c'est la théologie qui, dans un but de simplification, affirme « Dieu le Père ».
L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus-Christ.
Expression de surprise, admiration, crainte, joie, choc, etc. Elle cherchait son souffle, se tamponnant le front avec un mouchoir de coton, les cheveux frisottés d'humidité, l'air effaré.
(Religion) Nom de Dieu en hébreu, dans la Bible en français courant, parfois rendu par Yahweh , Yahvé ou Iavhé. Quand ces filles du Ciel, retournant au Seigneur, Comme ayant retrouvé leurs régions natales, Autour de Jéhovah se rangèrent en chœur, (…)
Définition "Jéhovah"
n. prop. Nom de Dieu dans la Bible, après qu'il se fut manifesté à Moïse au Sinaï.
Certaines traductions chrétiennes de la Bible l'ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh », « Jéhovah » ou « Jéhova ». Depuis la Bible d'Olivétan, parue en 1535, la plupart des traductions protestantes retiennent le terme « l'Éternel ».
1. (Au singulier ou au pluriel, avec une minuscule, et un féminin déesse) Dans les religions polythéistes, être supérieur doué d'un pouvoir surnaturel sur les hommes ; divinité : Les dieux des Romains.
Déesse désigne une divinité féminine, de sexe féminin ; il s'agit du féminin de dieu.
N'écrivez pas que vous êtes « dans le secret des Dieux », mais que vous êtes « dans le secret des dieux ». « Dieu » ne prend une majuscule que s'il s'agit de celui, unique, que vénèrent les religions monothéistes. Les divinités païennes doivent, elles, se contenter de la minuscule.
Simon. Ce prénom biblique vient d'un terme hébreu, qui peut être traduit par « qui est exaucé ». Il est répandu. Saint Simon le Zélote (ou le Cananéen) est l'un des 12 apôtres du Christ.
À noter également que Élahî (Ilahi) est aussi la prononciation arabe de « Mon Dieu ».
Mission accomplie et paix retrouvée. Jésus poussa un grand cri : Père, entre tes mains je remets mon esprit (Lc 23,46). Et sur ces mots il expira. C'est au Père que se rapporte la dernière parole de Jésus comme le fut sa première : Ne saviez-vous pas qu'il me faut être chez mon Père ? (Lc 2,49).
INRI serait l'acronyme, dit Titulus Crucis, de l'expression latine Iesvs Nazarenvs, Rex Ivdæorvm généralement traduit par : « Jésus le Nazaréen, roi des Judéens », une autre proposition, pourtant dénuée de sens dans son contexte historique initial, serait « Igne Natura Renovatur Integra » "le feu renouvelle tout dans ...
« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » (v. 2, cf. Mt 27, 46).
Rejet des pratiques « païennes »
Les Témoins de Jéhovah se distinguent également des autres confessions chrétiennes par le rejet d'un certain nombre de pratiques ou de symboles qu'ils considèrent comme païens.