Empr. au lat. verbum, -i « mot », « parole », également att.
L'étymologie d'un mot, c'est son histoire, ses origines. On cherche par exemple l'étymologie du mot âne. Voici ce qu'on lit dans le dictionnaire : âne (asne, xe ; lat. Asinus), etc.
Du latin populaire * sapēre, en latin classique sapĕre, « avoir de la saveur », avec influence de sapiens « sage », d'où « être perspicace », « comprendre », puis « savoir », et élimination du classique scire « savoir ».
esempio ; du latin exemplum, d'origine incertaine. On a proposé eximere, tirer hors, de sorte que exemplum serait proprement un échantillon ; mais la dérivation a fait difficulté ; cependant on a cité des exemples d'un suffixe lum, lo, en latin et en grec, suffixe qui, réuni au p de exemptum, donnerait le mot.
Le verbe est une classe de mots variables. Il sert notamment à exprimer des actions, des états et des changements en les situant dans le temps (passé, présent ou futur). Lorsqu'il est conjugué à un mode personnel, le verbe est toujours le noyau d'un groupe verbal (GV).
(Grammaire) Partie du discours qui exprime soit une action faite ou supportée par le sujet, soit un état ou une manière d'être du sujet, et qui, pour les exprimer, possède un certain nombre de formes diverses dont l'ensemble est appelé conjugaison, lesquelles formes expriment son sujet et le temps de la proposition.
D'un point de vue christologique, l'idée que le Christ soit le Logos (du grec ancien : λόγος, « verbe », « sagesse » ou « lien ») a joué un rôle important dans l'affirmation de la divinité de Jésus-Christ et sa position en tant que Dieu le Fils dans la Trinité comme indiqué dans le credo de Chalcédoine (451).
joyos ; ital. gioioso. Remarquez que la Joyeuse se dit en latin jocosa ; il est de fait que joyeux pourrait aussi bien venir de jocosus, que de joie par un latin fictif gaudiosus.
1 C'est l'étymologie la plus citée du lexique français : le mot travail proviendrait du latin tripalium, un instrument de torture à trois pieds. Elle prouverait que le travail n'est que souffrance.
Du lat. d'orig. étrusque persona «masque de l'acteur» d'où à l'époque chrét. «visage, face»; «rôle [au théâtre], caractère, personnage; personnalité, personne, individu»; aussi terme de gramm., où il traduit le gr.
Étymologie. Étymologiquement, le mot français philosophie dérive du grec ancien φιλοσοφία, composé de φιλεῖν, « aimer » et σοφία, « la sagesse, le savoir », c'est-à-dire littéralement : l'amour de la sagesse ou l'amour du savoir.
L'étymologie latine du mot conscience, « cum scientia » signifie «savoir avec», savoir que l'on sait. Ainsi, lorsque j'ai conscience d'une douleur, j'ai aussi conscience de la ressentir : la conscience de quelque chose est aussi la conscience d'en avoir conscience.
Sûreté Urbaine, pour désigner une Brigade de sûreté urbaine.
adverbe de temps. Étymologie : xiie siècle, au jour d'ui. Contraction de à le jour d'hui, renforcement de la forme de l'ancien français hui, hoi, « le jour où l'on est », du latin hodie, « en ce jour ».
Pour connaître l'étymologie d'un mot, il est nécessaire de le décomposer en trois parties: préfixe, racine (ou radical) et suffixe. La base du mot est la racine (par analogie avec la plante qui pousse en prenant appui sur sa racine). Le préfixe est accolé au début du mot, le suffixe collé à la fin.
Croisement de baron et de dom, du latin dominus, maître. Utilisé en 1680 pour signifier « le maître de maison » ; en 1725 le sens devient celui de « maître, père ».
Étymologie. (1119) Du latin natura (« le fait de la naissance, état naturel et constitutif des choses, caractère, cours des choses, ensemble des êtres et des choses »), venant lui même de nascor (« naître, provenir »).
Le mot passion vient du latin passio, qui signifie « souffrance », lui-même apparenté au grec pathos, de même sens. La passion, c'est donc la souffrance. Historiquement, le mot a été utilisé d'abord pour désigner la période de souffrances du Christ.
87) où il a pu prendre le sens de « se courber sur un travail » puis « travailler » (Esn.); mais l'hyp. d'un empr. au vocab. de la mar. (bosser2* désignant une tâche parfois pénible) n'est pas à exclure (Le Clère); on peut aussi penser, s'agissant d'un terme d'arg.
Étymologie. Du latin anniversarius (« qui revient tous les ans »), formé de annus (« année »), et de versus participe passé du verbe vertere (« revenir »).
xie siècle. Forme substantivée de l'ancien français plaisir, « plaire », lui-même issu du latin placere, « plaire ». ↪ voir aussi : II. Plaisir (n. m.)
(Article défini) (Pronom personnel) Du moyen français la , de l'ancien français la , du latin illa (« celle-ci, elle »).
DIVINISER, verbe trans.
Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais triomphe du mal par le bien. Il n'y a pas d'homme juste sur la terre qui fasse le bien sans jamais pécher. Ceux qui sèment dans les larmes moissonneront dans la joie. Ne te détourne pas d'une épouse sage et bonne, Car son charme vaut mieux que l'or.
Jean 1:1, Évangéliaire d'Ostromir, avec le portrait de l'évangéliste, 1056-1057. Traduction du Prologue de l'évangile selon Jean par Augustin Crampon (rédaction : 1864 ; édition : 1894) : Au commencement était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu.