L'ocytocine, un antidouleur.
La substance P est un polypeptide qui procède à la fois comme neuromodulateur et comme neurotransmetteur. Elle fait partie des substances les plus engagées dans la transmission de la douleur. Ce neuropeptide possède la caractéristique de se fixer au niveau des récepteurs spécifiques NK1 localisés sur les neurones.
A l'origine de la douleur, il y a un stimulus : le froid, la chaleur (une brûlure par exemple), une pression mécanique, des agents chimiques, une réaction inflammatoire… Ce stimulus va activer les terminaisons nerveuses de neurones spécialisés dans la perception de la douleur.
Les larmes émotionnelles contiennent plus d'hormones de stress, que les autres larmes, et permettent ainsi de réduire la concentration de certaines substances dans le corps. Une de ces hormones de stress est la prolactine, qui se trouve en plus forte concentration chez les femmes que les hommes.
Lorsqu'on se blesse (brûlure, coupure…), la douleur est déclenchée par l'excitation des récepteurs, c'est-à-dire des terminaisons nerveuses spécialisées dans la transmission du message douloureux. Ce message est ensuite transmis au cerveau via les nerfs périphériques, puis la moelle épinière.
Hormones, thyroïde et cortisol
Un niveau insuffisant d'ocytocine, une hormone sécrétée par l'hypophyse (une glande endocrine cérébrale), libérée lors de l'allaitement, explique en partie cette forme de dépression.
L'ocytocine : hormone de l'amour, de la confiance et du lien conjugal et social.
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
Le National Health Service, le système de santé publique britannique, a listé les pathologies les plus douloureuses pour le corps humain. La migraine, la sciatique, l'appendicite, la fracture osseuse ou encore l'attaque cardiaque: autant de pathologique provoquant des douleurs insupportables.
Le doigt étant la partie du corps la plus richement innervée, son amputation sans anesthésie provoque une douleur très intense. D'autant que la victime souffre souvent ensuite des douleurs dites du « membre fantôme ».
Le niveau 1, comme le paracétamol ou l'aspirine, est destiné aux douleurs légères. Le niveau 2, comme la codéine ou le tramadol, est destiné aux douleurs modérées ou sévères, ou aux douleurs insuffisamment soulagées par les antalgiques de niveau 1.
Le noyau VPL joue un rôle majeur dans la discrimination sensorielle de la douleur. En effet, ses neurones projettent ensuite leur axone au cortex somatosensoriel reconnu pour sa capacité à localiser la douleur et à en évaluer l'intensité.
D'où vient la production de sérotonine : le tronc cérébral est relié au cerveau par le mésencéphale. Sur l'arrière du mésencéphale se trouve la glande pinéale qui sécrète le tryptophane. Or, la sérotonine est produite par notre cerveau à partir du tryptophane, un acide aminé.
Il s'agit d'une hormone neuronale, « neurohormone », produite par l'hypothalamus (la zone de régularisation du cerveau), mais aussi le locus niger (situé au niveau de la moelle épinière) ainsi que les corps striés (dans la partie basse du cerveau).
Lorsque nous percevons quelque chose de stressant, il s'ensuit une cascade d'événements biologiques. Il en résulte la sécrétion d'hormones du stress, tels l'adrénaline et le cortisol.
4 "substances" ayant cet apport "plaisir" sont présentes dans le chocolat. Tout d'abord, l'hormone du bonheur appelée "Phényléthylamine" - puis l'anandamide - la sérotonine et enfin la caféine (qui permet au chocolat de se protéger des ennemis qui souhaiteraient le manger :)).
L'adrénaline, hormone du stress par excellence, est sécrétée en situation de danger. Elle met l'organisme en état d'alerte en agissant sur le cœur, la circulation du sang, la respiration, la sensibilité aux stimulus, les réactions motrices, et d'autres fonctions qui assurent des réactions rapides face à une menace.
Les aliments à intégrer contre la dépression sont des aliments riches en Oméga-3, en vitamines B9, B12, B6 et en tryptophane. Il faudra également veiller à un bon apport en vitamine D car une carence peut favoriser un état dépressif.
Dépression et déficit / carence en vitamine D
Plusieurs grandes études scientifiques ont montré une relation entre les taux sanguins de vitamine D et la survenue de troubles dépressifs. Ainsi, de faibles taux de vitamine D seraient associés à davantage de symptômes de dépression.
«Lors d'une nuit de sommeil, notre organisme produit moins de cortisol, une hormone naturellement anti-inflammatoire.» Ces douleurs positionnelles de repos sont encore plus vives avec les pathologies d'origine inflammatoire, telle l'arthrite, où les œdèmes articulaires sont omniprésents.
Les calmants, également appelés analgésiques, sont souvent utilisés pour atténuer la douleur chronique. Les médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) tels que l'ibuprofène et le naproxène peuvent apporter un certain soulagement. L'acétaminophène est également utilisé fréquemment.