Elle est le premier facteur du développement économique et humain. Elle est plus large que l'instruction. Ainsi, une entreprise, une communauté et un pays progressent et se développent proportionnellement à l'effort durable qu'ils consentent en faveur de l'éducation et de la recherche.
Une femme crée, occupe et fait avancer la société: un objectif stratégique à soumettre. C'est ainsi que la femme s'est trouvée réduite à ces trois dimensions : la gestation biologique, la gestion familiale et la grâce culturelle.
Par contre, la femme a un nombre illimité de devoirs et d'obligations. Elle doit obéissance et soumission; elle doit se faire belle. Elle doit assurer la pérennisation de la descendance par la procréation. Dans des sociétés où la polygamie est interdite, gare à elle si elle ne donne pas naissance à des enfants mâles!
En deux principes-clés : la femme est une partenaire de la production économique et de la reproduction sociale, aux deux niveaux de la famille et de la société. La femme est un élément structurel de l'ensemble d'une société, un pôle d'une totalité bipolaire homme-femme.
cit., Article I, de l'occupation, Art. II, du…, ainsi que les principaux devoirs d'une femme mariée : la pratique de la religion, l'éducation des enfants, les relations avec son mari, et plus généralement les mœurs.
Une femme est une aide, une épouse et une compagne d'un homme. Elle sacrifie son plaisir et ses désirs individuels, fixe un norme morale, soulage le stress et la pression de son mari, maintient la paix et l'ordre dans le ménage.
Le rôle traditionnellement attribué aux femmes dans la société est un rôle de second plan. La société entretient un idéal de "femme au foyer" qui s'occupe de l'éducation des enfants et qui doit faire montre d'un caractère discret et soumis à son mari.
Il a le droit au respect et à la considération de sa femme, de ses enfants et de toute personne qui est sous son autorité. Certes, comme éducatrice, épouse et gardienne de certains aspects de la tradition, la femme a également droit au respect et à la considération de son mari et de ses enfants.
Seules dans les foyers, les femmes françaises seront mères et travailleuses. Elles l'étaient déjà dans le monde rural, employées à toutes sortes de tâches paysannes ; elles vont désormais investir des métiers d'hommes, plus pénibles, ou prendre plus de responsabilités.
En 1944, l'ordonnance du 21 avril du Gouvernement provisoire de la République française installé à Alger accorde le droit de vote et l'éligibilité aux femmes.
Une femme de qualité est une femme qui sait entreprendre et qui est indépendante. C'est-à-dire qu'elle sait prendre soin d'elle, elle sait prendre des initiatives et elle sait se lancer dans des aventures et entreprendre ce qui lui plait et ce qu'elle aime pour son bien-être physique, psychique et intellectuel.
Olympe de Gouges, née à Montauban le 7 mai 1748, est une femme de lettres française, devenue femme politique. Elle est considérée comme une des pionnières du féminisme français notamment après la publication en 1791 de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne.
Les femmes ont eu un rôle aussi important dans la guerre, elles pouvaient travailler dans les usines d'armement, elles construisaient des pièces pour les navires et les avions. Elles ont eu le don de construire avec peu de ressources.
Au fur et à mesure de l'évolution des traditions, entendues comme pratiques culturelles, les femmes occupent aujourd'hui une place fondamentale, pas seulement sur le plan moral de l'éducation des enfants, mais aussi sur le plan économique. Elles sont soutien de famille, de manière décisive.
Ainsi, être une femme aujourd'hui, c'est pouvoir choisir sa voie, affirmer ses préférences et ses opinions de la façon la plus libre qui soit. Être une femme aujourd'hui, c'est pouvoir conjuguer une vie personnelle et une vie professionnelle, ou même choisir de ne pas avoir l'une ou l'autre.
Les rôles de la femme et de l'homme dans la société, leurs représentations ont traversé les siècles sans subir de modifications significatives : au sexe dit faible, la tenue de la maison et l'éducation des enfants ; au sexe dit fort, le travail à l'extérieur, la charge de nourrir la famille et la prise de décisions.
Pour que les femmes aient la force d'affronter la vie quotidienne, elles doivent prendre soin de leur santé et de leur bien-être. Seul le bien-être peut leur permettre de prendre soin des autres. C'est pourquoi, suivant le principe “mettez d'abord le masque sur vous-même”, nous devons offrir le meilleur à nos femmes.
- Garantir la jouissance équitable des revenus dut travail, - Élever le niveau culturel et intensifier la formation scientifique et technique des femmes afin qu'elles soient en mesure retenir la place qui leur revient dans tous les domaines d'activité économique et sociale.
En France, la réponse est oui ! Car, aujourd'hui, la loi accorde les mêmes droits aux femmes et aux hommes.
Être humain du sexe féminin.
Il est estimé que 33% des postes dans le digital est occupé par une femme en France, dont une majorité d'entre elles travaillent sur des métiers dits « supports », c'est-à-dire les ressources humaines, le marketing, la communication, l'administration, etc. Cela représente un poste sur trois.
La République Centrafricaine, le Niger, l'Afghanistan, le Tchad, le Mali et la Guinée suivent dans le bas du classement. Le travail, source de revenu, est un premier pas vers l'indépendance des femmes que de nombreux pays ne veulent pas franchir.
À l'échelle mondiale, les femmes ne disposent toujours que des trois quarts des droits juridiques accordés aux hommes. Le score moyen mondial s'établit ainsi à 76,5 sur 100, note maximale qui indique une parité juridique totale.
« L'égalité des sexes signifie que les femmes et les hommes ont le même statut et qu'ils bénéficient des mêmes conditions pour réaliser pleinement leurs droits fondamentaux et leur potentiel pour pouvoir contribuer au développement national, politique, économique, social et culturel et bénéficier des résultats. [...]