Les Sans-culottes sont des acteurs incontournables de la Révolution française, prônant l'égalité entre les citoyens et représentant la frange la plus intransigeante des révolutionnaires. Les Sans-culottes se définissent comme des citoyens et tutoient ceux qui les entourent, pour eux l'égalité prime.
Après le massacre du Champ-de-Mars en 1791, leur habit devient le symbole de leur lutte. Les « Sans-culottes » veulent la liberté, luttent contre la vie chère et contre les prêtres qui n'acceptent pas la Révolution. Ils veulent que l'argent des plus riches soit redistribué aux plus pauvres.
Les principes politiques des Sans-Culottes reposaient en grande partie sur l'égalité sociale, l'égalité économique et la démocratie populaire. Ils soutenaient l'abolition des privilèges et de l'autorité de la monarchie, de la noblesse et du clergé de l'Église catholique romaine.
Les sans-culottes cherchent surtout à se démarquer des catégories sociales supérieures dirigeantes. Animés par le désir d'égalité, ils méprisent la richesse incarnée par l'aristocratie et la grande bourgeoisie.
Le 20 juin, les Sans-Culottes parisiens ont attaqué le Palais des Tuileries afin d'obtenir un changement de la politique du roi. Malgré la menace Louis XVI n'a pas cédé.
Le costume distinctif du sans-culotte typique était le pantalon (pantalon long) à la place de la culotte (culotte en soie) porté par les classes supérieures, ainsi que la carmagnole (veste courte) et le bonnet rouge de la liberté.
Face au peuple de Paris et aux Fédérés déchainés, les Gardes Suisses de Louis XVI se font massacrés. Suite à la prise du Palais des Tuileries, Louis XVI et sa famille se font emprisonnés. Ce sera la fin de la monarchie constitutionnelle.
— leurs adversaires sont les « Montagnards ». On les appelle ainsi car ils ont pris l'habitude, à la Convention, de se rassembler sur les bancs les plus élevés de la salle, la « montagne ». Ils souhaitent limiter la propriété et contrôler le commerce. Ils sont souvent plus proches des « sans-culottes ».
1. Louis JACOB, Hébert.
« Sans-culottes » est le nom donné, au début de la Révolution française de 1789, par mépris, aux manifestants populaires qui portent des pantalons à rayures et non des culottes (hauts-de-chausses), symbole vestimentaire de l'aristocratie d'Ancien Régime.
Après le 10 août 1792, Louis XVI et Marie-Antoinette sont incarcérés et accusés notamment d'avoir manœuvré avec les puissances étrangères contre la Révolution. Louis XVI est condamné à mort et guillotiné le 21 janvier 1793. Marie-Antoinette est exécutée le 16 octobre 1793.
The sans-culottes, most of them urban laborers, served as the driving popular force behind the revolution. They were among the more radical elements, advocating for wage and price controls and comprising most of the revolutionary army that served as the executioners of the Reign of Terror.
La montée en puissance et la radicalisation des sans-culottes ont également joué un rôle important dans la Terreur. Ils étaient considérés comme disposant d'un pouvoir énorme sur le CPS et Robespierre, leur permettant d'influencer l'opinion et de contrôler la promulgation de nouvelles lois .
Sans-culottes, signifie littéralement « ceux qui n’ont pas de culottes » . C'étaient des jacobins qui portaient un type particulier de tenue vestimentaire pour proclamer la fin du pouvoir exercé par les porteurs de culottes.
En août 1792, les sans-culottes poussèrent encore plus la révolution, par exemple en encerclant l'Assemblée législative et en la forçant à suspendre le monarque . Les Jacobins sont devenus le groupe le plus radical au sein de la Convention et la lutte entre eux et les Girondins a conduit la révolution.
La Terreur prend fin avec la mort des principaux députés Montagnards dont Robespierre, figure de proue du gouvernement révolutionnaire, guillotiné le 28 juillet 1794. L'héritage de notre République, inaugurée dans la politique de "la Terreur", anime toujours autant de débats au sein de notre histoire politique.
Période de la Révolution française (1793-1794) pendant laquelle des mesures exceptionnelles sont mises en place pour arrêter et punir les opposants aux Montagnards.
Louis XVI y prête serment de fidélité à la Nation. Pourtant, le roi n'a jamais vraiment accepté la Révolution, il se méfie des révolutionnaires et désapprouve leurs mesures, notamment religieuses. il rejette en effet, la Constitution civile du clergé, qui fait du clergé un corps de fonctionnaires devant prêter serment.
Au terme d'une journée sanglante et incertaine, le roi Louis XVI et sa famille sont internés. C'est la fin de la monarchie française, vieille de près d'un millénaire, et la naissance d'un régime républicain qui ne dit pas encore son nom. C'est aussi le début des violences civiles.
Le 21 janvier 1793, le roi Louis XVI, rebaptisé Louis Capet dans l'acte d'accusation de son procès, est guillotiné en public sur la place de la Révolution, actuelle place de la Concorde, à Paris. Sa mort met un terme à près de 1 300 ans de monarchie en France, depuis le règne de Clovis à la fin du Ve siècle.
Tout au long de la révolution, les sans-culottes ont constitué le principal soutien des factions les plus radicales et anti-bourgeoises de la Commune de Paris , telles que les Enragés et les Hébertistes, et étaient dirigées par des révolutionnaires populistes tels que Jacques Roux et Jacques Hébert.
Sans-Culottes - Points clés à retenir
Le groupe a progressivement augmenté en nombre et sa popularité a augmenté au cours de la période révolutionnaire . Quant aux principes politiques fondamentaux, ils s’appuient fermement sur l’égalité sociale et économique et la démocratie populaire.
The sans-culottes were the working class people of Paris, so named because they wore long trousers (pantaloons) rather than the knee breeches favoured by the aristocracy. 2. The leaders of the Parisian sans-culottes were found in the sectional assemblies and the Commune, particularly after August 1792.
Le costume distinctif du sans-culotte typique était le pantalon (pantalon long) à la place de la culotte (culotte en soie) porté par les classes supérieures, ainsi que la carmagnole (veste courte) et le bonnet rouge de la liberté.
Ils soutiennent ensuite le Comité de Salut Public et le gouvernement de Terreur mis en place par Robespierre à partir de l'été 1793. Ils contrôlent les comités de surveillance qui ont pour tâche de dénoncer les traîtres à la Révolution et participent aux tribunaux révolutionnaires.