Les origines et les fondements théoriques Le courant de l'approche par compétences, du moins dans sa version initiale, est issu du taylorisme et de l'organisation du travail, en somme du monde de l'industrie.
Les activités pédagogiques complémentaires (APC) font partie des obligations de service des professeurs qui les organisent et les mettent en œuvre dans toutes les écoles. Néanmoins, les APC ne relèvent pas du temps d'enseignement obligatoire pour les élèves.
Or le geste d'Etienne Jay semble assez caractéristique d'un problème de la recherche en de l'éducation : John Dewey est constamment sollicité dans la littérature scientifique comme fondateur de l'éducation par compétence, mais sans que l'on se demande ce que signifie pour lui cette notion.
L'approche par compétences est une méthode d'apprentissage qui se concentre sur l'acquisition de compétences plutôt que sur l'accumulation de connaissances. Cette approche permet de mettre l'accent sur les savoir-faire, les savoir-être et les savoirs transversaux des apprenants.
Évaluation située en contexte complexe et problématisé pour l'intelligibilité des situations (situations-problèmes). Faire un retour réflexif sur les mobiles et démarches de l'activité et de la situation. Se situer dans le parcours (Descripteurs de progression).
formation, l'évaluation, la sanction de la formation, la reconnaissance des acquis, la conception du matériel didactique et du matériel d'évaluation ainsi que pour l'organisation et le financement de la formation.
Elle repose sur quatre principes essentiels : l'activité, la coopération, la participation et l'anticipation.
L'Approche Par Compétence (APC) représente un renouvellement pédagogique, axé sur l'efficacité et l'application concrète des savoirs. Au lieu de se limiter à une évaluation quantitative, souvent réductrice, l'APC privilégie une appréciation qualitative des aptitudes réelles de l'apprenant.
La principale limite de la mise en œuvre de l'APC dans les instituts de formation des enseignants est le peu d'intérêt que l'on semble accorder au processus d'enseignement-apprentissage. Pourtant c'est le levier du véritable changement dans les salles de classe.
Ces deux approches ne se rencontrent pas parce qu'elles portent sur des objectifs différents : la PPO prescrit des comportements que l'apprenant doit reproduire alors que l'APC ne formule que des hypothèses à propos de traitements compétents que peut réaliser une personne en situation.
On appelle situation-problème une activité pédagogique consistant en l'aménagement d'une situation de recherche dans laquelle les représentations sociales de l'élève sont mises en crise. Cette situation de recherche lui permet, d'abord seul puis en groupe, de conscientiser ses représentations puis de rompre avec elles.
Mieux connu en Europe sous son nom latin ou allemand, Comenius, philosphe né en Moravie qui était membre du mouvement des Frères tchèques, est considéré comme le père de la pédagogie moderne par son souci permanent de perfectionner les méthodes d'enseignement.
Une telle approche augmente aussi le niveau de performance organisationnelle puisqu'elle permet de développer une main-d'œuvre plus compétente et de favoriser la rétention et l'engagement d'employés talentueux en facilitant leur développement professionnel.
Une approche pédagogique est la manière par laquelle la situation pédagogique est abordée, chaque approche ne postule pas les mêmes visions, le même rapport au monde. Les différentes approches présentées ne sont pas exclusives les unes des autres.
L'approche par objectifs est un modèle de conception pédagogique qui définit l'apprentissage en fonction de comportements ainsi que de « réponses » observables et mesurables. Les objectifs expriment ce que l'enseignant valorise et le niveau d'habileté cognitive attendu de la personne étudiante.
Il s'agit d'un carnet personnel où l'élève peut écrire son avis sur l'ouvrage, un résumé ou encore créer des devinettes, recopier un passage préféré, des mots intéressants, illustrer un passage, dessiner des personnages, écrire les questions que l'élève se pose, faire des liens avec d'autres œuvres…
L'annualisation des APC permet de moduler l'organisation pour les élèves. A titre d'exemples : – 2 créneaux de 45min chaque semaine sur 24 semaines, – 2 créneaux de 30min chaque semaine sur 36 semaines, – 1 créneau d'1h chaque semaine sur 36 semaines, – etc.
Il ne convient pas d'aboutir à une conception purement linéaire de l'apprentissage dont l'ordre scrupuleusement respecté par le maître et par l'élève. En effet, l'enfant construit son savoir selon une logique qui lui est propre.
Mais toutes les performances chiffrées qu'ils analysent concourent au même constat : les enseignements « explicite » ou « direct » sont plus efficaces, notamment en milieu défavorisé, que les pédagogies qui se veulent « centrées sur l'élève ».
La méthode de l'enseignement directe ressort du lot par ses résultats et l'estime de soi élevée que les apprenants ont d'eux-mêmes. La méthode est connue aujourd'hui sous le nom d'apprentissage explicite.
Une approche curriculaire par les situations suggère donc un ensemble d'éléments qu'un enseignant peut organiser et mettre en scène dans des situations pour offrir à ses élèves un potentiel de développement de compétences.
L'approche orientée vers l'action, ou approche actionnelle, est ancrée dans un paradigme constructiviste et amène l'apprentissage basé sur les tâches à un niveau où la classe et le monde extérieur sont intégrés dans d'authentiques pratiques communicatives.
La notion “andragogie” c'est l'éducateur Alexander Kapp qui l'a inventé en 1833. Ce concept a été développé aux États-Unis dans les années 1950 par Knowles (professeur d'université) en se focalisant sur l'éducation et la formation des adultes.
Johan Heinrich Pestalozzi (1746 - 1827) est un pédagogue suisse, il fut un homme de réflexion et, avant tout, un passionné d'action. Il est le père de la pédagogie moderne.