Faites semblant de boire une gorgée
Si quelqu'un vous paie un verre, vous ne devez pas spécialement le jeter directement. Portez le verre à vos lèvres, mais gardez-les bien serrées et ne buvez pas de gorgée d'alcool. Ce truc fonctionne le mieux en combinaison avec le point précédent.
Buvez de temps à autre si vous voulez y aller doucement.
Si vous ne souhaitez pas arrêter d'un coup, vous pouvez aussi réduire progressivement votre consommation. Prévoyez quelques jours par semaine où vous boirez, comme le vendredi et le samedi, mais abstenez-vous les autres jours.
Abstème désigne, par extension, une personne qui ne boit pas de vin, pas d'alcool en général.
Symptômes : «sensation de malaise» général, fatigue, mal de tête, «bouche sèche», nausées, envies de vomir, vertiges, hypersensibilité aux stimulations, et parfois aussi: angoisses, mélancolie, culpabilité et remords («je ne boirai plus jamais»).
Il augmenterait plus particulièrement le risque de développer certains cancers : voies digestives, œsophage, foie, sein, cancer colorectal. Pour limiter les risques de cancers, il est donc conseillé d'abandonner la consommation d'alcool ou de la réduire drastiquement.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Boire pour combler un manque
En général, les gens qui deviennent alcooliques le font pour combler un manque dans leur vie.
Les alcools qui détendent : vin rouge et bière
Raison possible : des chercheurs italiens ont découvert la présence de mélatonine, « l'hormone du sommeil », dans différents cépages rouges. Sécrétée par l'humain, elle régule l'horloge biologique et entraîne l'état de fatigue.
L'attribution de blâme survient lorsque l'individu est tenu pour responsable de son acte et que les excuses et justifications qu'il présente ne sont pas recevables (Shaver & Drown, 1986). À ce titre, l'alcool peut justement être perçu et utilisé comme une excuse diminuant le blâme attribué.
Depuis février 2013, le nalméfène (Selincro®) dispose d'une autorisation européenne de mise sur le marché pour le traitement de la dépendance à l'alcool. Il est remboursé par la Sécurité sociale depuis septembre 2014. Ce médicament agit sur le système de récompense en diminuant l'envie irrépressible de boire.
Certaines personnes ne tiennent pas l'alcool. Cela ne dépend pas forcément de la quantité bue. C'est peut-être le signe d'une allergie, communément appelée "intolérance à l'alcool".
L'alcoolisme se lit sur le visage d'une femme. Son nez ou ses joues peuvent devenir rouges ou bouffis. L'haleine commence à trahir l'addiction et les cheveux deviennent ternes.
Les symptômes de sevrage les plus connus sont : tremblements, transpiration, anxiété et nervosité, angoisse, sentiment de «malaise», insomnie, nausées et vomissements. Ces symptômes ne sont pas dangereux en soi et disparaissent habituellement au bout de 7 à 10 jours d'abstinence.
Parmi les alcools les plus forts du monde vous trouverez l'Everclear, fabriqué aux Etats-Unis. Comme le Balkan, il est incolore, inodore, et n'as pas de goût ! C'est de l'alcool quasiment pur qui pourrait même être classé dangereux à s'en trouer l'estomac.
Une bouteille de 25 cl de bière blonde apporte 140 kcal. Le record est détenu par le whisky, un verre compte 380 kcal.
L'alcool fait prendre du poids pour plusieurs raisons : les calories de l'alcool, un stockage des graisses par l'organisme, un dérèglement de la satiété et de l'appétit. L'alcool fait grossir pour plusieurs raisons. La première est que c'est un produit très calorique. Chaque gramme d'éthanol contient 7 calories.
Alcool et maladies hépatiques
Le foie est la cible principale des effets toxiques de l'alcool. Plusieurs maladies hépatiques peuvent être provoquées par la consommation excessive d'alcool : stéatose (accumulation de lipides dans le foie), hépatite alcoolique, cirrhose.
Après absorption, la distribution de l'éthanol se fait en quelques minutes (demi-vie de distribution : 7 à 8 minutes) vers les organes très vascularisés comme le cerveau, les poumons et le foie. L'alcool est éliminé essentiellement par le foie (95 %).
L'alcoolorexie n'étant pas médicalement reconnue, les symptômes de cette pathologie ne sont pas clairement définis. Elle se manifeste donc par le fait de sauter des repas pour pouvoir boire de l'alcool et réduire ainsi le nombre de calories ingérées.
La modification du comportement de la personne va augmenter les conflits, la violence verbale et/ou physique, les comportements à risque. L'agressivité ou des comportements inappropriés sont plus souvent exprimés car l'alcool désinhibe.