L'huile d'arachide, l'huile de colza, de soja ou encore de tournesol en sont de bons exemples. Il est fortement déconseillé de faire chauffer ces huiles. Car l'aromatisation passe par l'infusion de morceaux (piment, épices, micro-morceaux) qui risquent de brûler. De plus, le goût s'évapore à la cuisson.
L'huile d'olive est la seule huile qui supporte d'être chauffée (à maximum 180°C) sans être détériorée c'est-à-dire sans perdre ses qualités pour la santé.
Il n'y a donc aucune contre-indication à chauffer l'huile d'olive. Mais comme ses arômes sont détruits à partir de 70°C, mieux vaut utiliser une huile d'olive basique pour la cuisine et réserver les produits haut de gamme aux préparations crues.
Pour chaque huile, il existe une température critique (ou point de fumage) au-dessus de laquelle il ne faut pas chauffer l'huile. Quand l'huile atteint la température critique, ses composants se dégradent, forment des composés toxiques et l'huile fume.
L'huile d'arachide comme l'huile d'olive sont toutes les deux conseillées pour la friture car elles supportent les hautes températures sans produire de substances nocives pour la santé.
Quels sont les inconvénients de l'huile de tournesol ? Le gros point faible de l'huile de tournesol ? Sa faible teneur en Oméga 3 qui constituent, eux aussi, des acides gras essentiels. "Cette huile est extrêmement déséquilibrée en Oméga 3 et Oméga 6.
L'huile d'olive est probablement la meilleure huile pour la santé. Riche en vitamines (A, D, E et K) et en oméga-9, elle agit sur le cholestérol, protège l'organisme contre les maladies cardiovasculaires, améliore la glycémie et régule le transit intestinal.
Utilisez une huile d'olive vierge ou vierge extra « classique » pour toutes les cuissons notamment les cuissons longues ; Vous pouvez également utiliser les huiles d'olive de terroir dans les plats froids, les pâtisseries, les cuissons courtes (notamment celle des œufs).
À l'aune de ce critère, l'huile d'arachide et l'huile d'olive sortent grandes gagnantes. La première est très riche en omégas 9, réputés pour leur action bénéfique sur la prévention des maladies cardio-vasculaires. Son goût neutre en fait la candidate parfaite pour la cuisson des frites.
L'huile de noix est une huile fragile en raison de sa forte proportion d'acides gras insaturés. C'est pourquoi il ne faut pas l'utiliser à haute température, comme en friture. En revanche, vous pouvez l'utiliser pour parfumer un plat chaud ou une poêlée en toute fin de cuisson.
L'huile d'olive vierge extra, quant à elle, se dénature à une température avoisinant les 190°C. Au-delà de ce point (de non-retour), l'huile prend un mauvais goût et devient alors toxique.
La viande d'agneau aime l'huile d'olive. Le porc peut être cuit au saindoux. Pour le bœuf, la viande de cheval et le veau, il est préconisé d'utiliser un mélange d'huile neutre, type pépins de raisins, et de beurre. Ce mélange permet au beurre de monter plus haut en température sans brûler.
« Oui, oui. On peut absolument faire des frites avec et c'est très bon. Mais c'est une option plus chère. » Attention cependant à ne pas trop la chauffer.
Pour le rôtissage et la friture, les diététiciennes conseillent l'huile de colza HOLL ou l'huile de tournesol HO, qui résistent aux températures élevées.
Pourtant, contrairement aux idées reçues, l'huile de colza peut être chauffée(*). Stable et non dénaturée par une cuisson douce (au four ou à la poêle), nous pouvons donc l'utiliser pour la pâtisserie, les poêlées de légumes, les plats chauds, la cuisson modérée des viandes ou des poissons …
Considérée comme nocive dans les années 1960 à cause de la teneur en acide érucique, l'huile de colza ne présente absolument aucun risque pour la santé.
L'huile d'arachide et l'huile de canola sont idéales pour une utilisation dans les friteuses en raison de leurs points de fumée élevés.
L'huile d'arachide, l'huile de colza, de soja ou encore de tournesol en sont de bons exemples. Il est fortement déconseillé de faire chauffer ces huiles. Car l'aromatisation passe par l'infusion de morceaux (piment, épices, micro-morceaux) qui risquent de brûler. De plus, le goût s'évapore à la cuisson.
Autres alternatives : l'huile d'arachide, l'huile d'avocat ou encore la graisse animale (de canard ou de saindoux par exemple). En revanche, mieux vaut éviter l'huile d'olive ou encore l'huile de colza qui ne supportent pas les hautes températures.
En revanche, il y a quelques inconvénients à consommer de l'huile d'olive est le premier est que ce produit est très calorique. En effet, n'ayez pas trop la main lourde dans le dosage, puisqu'il est estimé qu'une simple cuillère à soupe représente 90 calories.
- La stabilité oxydative : la résistance des graisses au contact de l'oxygène. De par sa composition (graisses monoinsaturées et saturées), l'huile d'olive répond à ces deux critères, c'est pourquoi elle peut être utilisée pour la cuisson sans danger.
L'huile de canola est celle contenant le moins de gras saturés et le plus d'acide alpha-linoléique oméga-3 parmi les huiles de cuisson les plus courantes.»
L'huile de colza est l'alliée de notre cœur. Elle est riche en oméga 3 et 6, ainsi qu'en antioxydants, notamment les vitamines E. L'huile de colza contient des quantités faibles d'acides gras saturés. Cette huile rejoint également les propriétés de l'huile d'olive en termes de santé cardiaque.
Avec un rapport oméga 6/oméga 3 inférieur à trois, l'huile de colza est probablement l'huile végétale la mieux équilibrée en acides gras.
Les graines de Colza, Tournesol, Oléisol®* qui composent la recette de l'huile ISIO 4 sont cultivées en France. Seule l'huile de lin, qui représente 5% de la recette, n'est pas française, pour des raisons de quantités disponibles.