Règle du duet (applicable aux atomes de numéro atomique Z ≤ 4) : un atome ou un ion est stable si la couche externe (la couche K dans le cas présent) est remplie avec deux électrons.
Comment savoir si une molécule est stable? Pour qu'une molécule soit stable il est nécessaire que chacun de ses atomes soit stable. Un atome est stable dans une molécule si les liaisons covalentes qu'il forme lui permettent de saturer sa couche de valence.
Les liaisons covalentes sont des liaisons fortes : le gain en énergie des électrons est généralement supérieur à 5 eV par paire liée.
1. Liaison covalente (liaison forte) : deux atomes mettent en commun les électrons de la couche électronique la plus extrême. Elle peut être polaire (lorsque l'attirance des électrons est inégale entre les deux atomes) ou non polaire (lorsque les deux atomes tirent avec une force semblable).
On distingue les liaisons chimiques fortes ayant une énergie de liaison très élevée (supérieure à 100 kJ. mol-1) et des liaisons chimiques faibles. Les liaisons ioniques, covalentes et métalliques sont des liaisons fortes.
Les liaisons faibles regroupent plusieurs types d'attraction par effet de dipôle électrique. Elles sont toutes de faible à très faible énergie et conduisent à des solides de faible rigidité. Très importantes dans la cohésion des liquides et des polymères.
La différence d'électronégativité entre le métal et le non-métal impliqués dans une liaison ionique est généralement élevée.
Il existe trois principaux types de liaisons chimiques: les liaisons covalentes, qui se forment spécifiquement entre les éléments non métalliques, les liaisons ioniques, qui se forment entre un métal et un non-métal, et les liaisons métalliques qui se forment entre métaux.
Les deux types de liaisons les plus élémentaires sont les liaisons ionique ou covalente. Dans la liaison ionique, les atomes transfèrent des électrons les uns aux autres. Les liaisons ioniques requièrent au moins un donneur d'électrons et un accepteur d'électrons.
L'élément le plus stable est le fer 56 et l'élément le plus lourd de la vallée de stabilité est le bismuth 209. Les éléments les plus stables sont ceux qui ont le même nombre de protons que de neutrons dans leur noyau.
Les atomes peuvent se stabiliser en adoptant la configuration électronique du gaz noble de numéro atomique le plus proche. Pour cela, ils perdent ou gagnent des électrons sur leur couche de valence et forment des ions monoatomiques (doc. 4). L'ion H+ n'obéit pas à cette règle.
Une structure est stable lorsqu'elle repose solidement sur une base et que son centre de gravité se trouve à l'intérieur de points d'appui. Généralement, plus une structure a une base large, plus son centre de gravité est bas et plus elle est stable.
La liaison hydrogène (HB) ou pont hydrogène est une liaison de faible intensité qui relie les molécules. Elle implique un atome d'hydrogène et un atome assez électronégatif (comme l'oxygène par exemple).
Liaisons ioniques
Dans une liaison covalente, les électrons sont partagés entre les deux atomes alors que dans une liaison ionique, les électrons sont complètement transférés.
Les liaisons de Van der Waals peuvent s'établir entre les molécules d'un corps lorsque ces dernières sont polaires. Ces molécules sont caractérisées par un moment dipolaire non nul qui résulte de l'addition des moments dipolaires associés aux différentes liaisons polarisées.
On repère le signe de la charge de l'ion. C'est le signe "plus" ou "moins" situé en haut à droite du symbole de l'ion. Si l'ion possède un signe + alors il a perdu des électrons. Si l'ion possède un signe - alors il a gagné des électrons.
Une liaison covalente est polarisée (ou polaire) si les atomes engagés dans la liaison ont des électronégativités différentes. On détermine le sens de la polarité en comparant les électronégativités.
L'énergie d'ionisation
Dans les atomes situés à droite, le noyau atomique exerce une plus grande force sur les électrons. Ces électrons nécessitent donc une plus grande quantité d'énergie pour qu'ils soient arrachés.
Aujourd'hui, l'absence de liaison est devenue monnaie courante. "On ne fait plus de liaisons car on n'apprend plus la règle des adjectifs numéraux", précise Jean-Joseph Julaud, un ancien professeur de français qui organise la dictée du Salon du livre de Paris samedi 19 mars.
La liaison est obligatoire, dans le groupe nominal, entre le déterminant (possessif, indéfini, numéral, interrogatif ou exclamatif) et le nom qu'il accompagne, ou avec l'adjectif qui précède ce nom. La liaison est aussi obligatoire, dans le groupe nominal, entre le nom et l'adjectif qui le précède.
La liaison covalente est directionnelle, c'est-à-dire qu'elle ne se forme que dans des directions déterminées de l'espace. Cette particularité est liée à la forme des orbitales pour les états p, d, f ... Les orbitales moléculaires (O.M) s'obtiennent par combinaison linéaire d'orbitales atomiques C.L.O.A (L.C.A.O.
Liaisons polaires : Une liaison covalente est polaire, si la différence des électronégativités des deux atomes formant la liaison n'est pas nulle . L'atome le plus électronégatif d'une liaison polaire attire plutôt vers lui les électrons de la liaison covalente.