Avec sa main droite, on prend l'hostie sur place et de grâce allez à votre place tranquillement ». Suit l'exercice proprement dit où chaque enfant reçoit une hostie et doit mettre en application ce qui vient d'être dit.
La façon la plus courante est de recevoir l'hostie avec ses mains. Voici comment procéder. Tout d'abord, vous devez mettre votre main droite en dessous de la gauche, puis avancez devant le prêtre ou le ministre extraordinaire, regardez-le quand il présente « le Corps du Christ » et répondez-lui « Amen ».
Le geste des fidèles au moment du rite de la communion est un geste qui exprime essentiellement un « recevoir », un accueil du Seigneur. Les mots biens connus de saint Jean Chrysostome († 407) peuvent être rappelés : « fais de ta main gauche un trône pour ta main droite, puisqu'elle doit recevoir le Roi ».
II faut un petit plateau pour mettre les hosties, c'est la patène qui a la forme d'une assiette ronde et qu'on dépose souvent sur le calice. En latin patena veut dire « plat creux ». Si la patène n'est pas suffisante on prépare aussi des hosties dans des récipients qu'on appelle « coupes eucharistiques ».
Concrètement, comment se déroule une eucharistie ? Après la prière prononcée par le prêtre (Prière eucharistique) au nom de l'assemblée, les baptisés sont invités à s'approcher de l'autel pour recevoir le Corps de Jésus-Christ. Parfois on peut recevoir la communion sous les deux espèces : le pain et le vin consacrés.
Il s'agit de recevoir l'hostie « sur les lèvres », en fait, directement dans la bouche. Dans ce cas, c'est clair, il n'est pas nécessaire de mettre les mains en avant pour recevoir, mais simplement… d'ouvrir la bouche ! Sans oublier de dire « Amen » avant.
Des personnes divorcées remariées ou vivant en concubinage souffrent de ne pas pouvoir communier, recevoir l'hostie. Elles se sentent exclues, rejetées par l'Église et sont conduites parfois à ne plus participer à la messe.
Pour se préparer à communier, le prêtre peut dire aussi, à voix basse : "Seigneur Jésus Christ, que cette communion à ton Corps et à ton Sang n'entraîne pour moi ni jugement ni condamnation, mais qu'elle soutienne mon esprit et mon corps, et me donne la guérison".
Des plaques qui sont le plus souvent rondes, parfois ovales. La praticité n'est pas loin, puisque l'hostie du prêtre est placée dans une patène ronde, elle-même déposée sur un calice circulaire. Surtout, la forme des hosties exprime symboliquement la divinité qu'elles rendent présente.
Les hosties ne sont composées que de deux ingrédients, de l'eau et de la farine, mais derrière se cache un long processus de fabrication. Après le pétrissage, il faut cuire la pâte dans un four pour la transformer en longues plaques croquantes. « Les pains d'autel peuvent être de deux couleurs : blanche ou dorée.
Si donc un fidèle malade (sans le savoir) communie dans la bouche, la main du prêtre qui lui donne le Corps du Seigneur va être mise en contact avec le virus. Le prêtre risque alors de transmettre le Covid à tous les fidèles qui recevront ensuite la communion !
L'hostie faite de pain azyme prend peu de place et se conserve bien. S'il reste des hosties consacrées après la communion, elles sont placées dans une pyxide ou dans un ciboire recouvert et rangé dans le tabernacle ; s'il est impossible de les y placer, elles doivent être mangées par le prêtre ou par les fidèles.
Foi en la présence réelle du Christ
Puisque l'Eucharistie n'est pas présente dans le tabernacle, les catholiques n'ont alors pas besoin de faire la génuflexion avant de s'asseoir. Lorsque l'Eucharistie n'est pas présente, il est possible simplement de s'incliner profondément devant l'autel.
La manipulation de l'hostie peut prendre, quant à elle, deux formes codifiées : soit le prêtre dépose l'hostie directement sur la langue du communiant (ce qu'on appelle « communier dans la bouche »), soit il la met dans l'une des mains du communiant qui la porte ensuite lui-même à sa bouche (« communier dans la main ») ...
C'est un pain que les Juifs font cuire durant la fête de Pessa'h (Pâque juive) en souvenir de leurs ancêtres qui selon la tradition juive, se nourrirent de pain sans levain dans leur hâte à quitter l'Égypte, où ils étaient retenus en esclavage.
Un gout de pain sans levain,ceci pour la langue. Pour l'ame par contre c'est un miel paradisiaque.
Le déroulement est le même qu'une messe d'enterrement, mais il n'y a pas d'eucharistie. La cérémonie est donc plus courte, mais cela ne retire rien à la solennité ou à l'importance de la célébration.
Petite rondelle mince de pain azyme que le prêtre consacre pendant la messe. Hostie consacrée; la sainte hostie; recevoir l'hostie; l'élévation de l'hostie.
Le jeûne eucharistique est une pratique des Églises catholique et orthodoxe consistant à s'abstenir de nourriture dans le temps qui précède la participation à la messe, par respect avant de recevoir la communion au Corps du Christ qui a lieu vers la fin de la cérémonie.
La communion ou l'eucharisitie, c'est quoi ? L'Eucharistie, ou la Communion, est un des sept sacrements de l'Église catholique. C'est aussi la source et le sommet de toute vie chrétienne. Communier est le fait de recevoir le corps du Christ présent sous l'apparence du pain consacré au cours de l'Eucharistie.
Il est prévu aussi que l'on soit à genoux, à la messe, au moment de la consécration, de même que devant le Saint-Sacrement exposé, et lors de la réception du sacrement de la Pénitence (au moins pour l'absolution).
Les dispositions pour recevoir la Communion Eucharistique
Il est important de rappeler de façon simple que la Communion n'est pas obligatoire. Elle implique une démarche de Foi en la Présence réelle de Jésus-Christ dans l'Hostie consacrée.
l'acédie, l'envie, l'avarice, la vaine gloire, la gourmandise, la luxure, la colère désordonnée. Pour S. Thomas les péchés les plus grave sont les péchés qui sont directement contre Dieu : L'infidélité, le désespoir et la haine de Dieu.
Quels sont les fruits de la Communion? La Communion fait grandir notre union au Christ et avec son Église. Elle maintient et renouvelle la vie de grâce reçue au Baptême et à la Confirmation, et elle accroît l'amour envers le prochain.
Traditionnellement, se mettre à genoux est une attitude pénitentielle, une attitude d'humilité, de repentir au regard du pardon que Dieu nous donne par le Christ. C'est également devenu une attitude d'adoration. Ainsi pendant la consécration, certains membres de la communauté paroissiale s'agenouillent.