Quelles sont les causes de la maladie de Horton ? La maladie de Horton est une maladie inflammatoire des vaisseaux dont l'origine exacte reste inconnue. Plusieurs facteurs pourraient intervenir : les facteurs génétiques, environnementaux, infectieux, hormonaux…
La complication redoutée de la maladie de Horton est la survenue d'une atteinte ophtalmologique qui peut conduire à la cécité d'un œil ou des deux. Heureusement, cette complication ne survient que chez quelques patients et le traitement est efficace pour éviter sa survenue.
Les symptômes de la maladie de Horton sont :
Faiblesse ou absence de pouls au niveau des tempes. Troubles de la vision avec au maximum une cécité Fatigue, asthénie, amaigrissement, fièvre due à l'inflammation. Douleurs lors de la mastication, claudication de la mâchoire, hypersensibilité du cuir chevelu.
Les complications
La maladie de Horton se complique très rarement. Deux types de complications s'observent néanmoins : Le ralentissement du flux sanguin qui peut conduire à un épaississement local du sang et se compliquer par la formation brutale d'un caillot de sang (thrombose).
La maladie de Horton, aussi appelée artérite temporale, est une pathologie inflammatoire affectant certains vaisseaux, et plus spécifiquement les artères temporales. Cette affection est relativement rare chez les moins de 60 ans puisqu'elle concerne 1 personne sur 11 000.
Sauf situation exceptionnelle, le médecin traitant, qui joue un rôle essentiel dans le diagnostic de la maladie, doit aussi savoir confier son patient à un médecin spécialiste (interniste ou rhumatologue) pour la prise en charge du patient.
Les examens qui permettent le diagnostic :
L'échographie des artères du crâne peuvent mettre en évidence une inflammation des artères, localisée le plus souvent au niveau de la tempe (artère temporale). L'échographie est cependant un examen qui demande de l'entrainement et que tout échographiste ne sait pas faire.
Quelles sont les causes de la maladie de Horton ? La maladie de Horton est une maladie inflammatoire des vaisseaux dont l'origine exacte reste inconnue. Plusieurs facteurs pourraient intervenir : les facteurs génétiques, environnementaux, infectieux, hormonaux…
Il faut également se plier au régime qu'impose la corticothérapie : afin de contrer la prise de poids rapide, il est nécessaire de suivre un régime pauvre en sucres rapides et en sel (à cause de la rétention d'eau), et ce pendant toute la durée du traitement.
Qu'est-ce que la céphalée de Horton ? Les gens qui souffrent de la céphalée de Horton ont des crises de douleur intenses, d'un seul côté du visage. La douleur se situe d'habitude autour de l'œil et à la tempe, mais elle s'étend parfois jusqu'aux dents, à l'oreille et au cou. Les crises peuvent durer jusqu'à 3 heures.
Le traitement de la maladie de Horton repose sur l'utilisation des corticoïdes. Ils doivent être mis en place rapidement : on parle de traitement d'attaque.
Traitement. Cette condition nécessite un traitement avec de la cortisone (prednisone). Celle-ci diminue vos symptômes habituellement dès la première semaine. Votre rhumatologue diminuera la dose progressivement.
La biopsie de l'artère temporale est la technique utilisée pour diagnostiquer avec certitude l'artérite temporale. On utilise parfois l'échodoppler pour localiser la partie de l'artère temporale à prélever pour biopsie.
Elle pourrait être liée au stress ou à des problèmes musculaires et squelettiques cervicaux. La céphalée chronique quotidienne est le plus souvent une céphalée épisodique (migraine ou céphalée de tension) qui est devenue chronique souvent dans un contexte de prise excessive de médicaments antidouleur.
Afin de confirmer le diagnostic d'artérite temporale, le médecin peut ensuite demander une biopsie de l'artère temporale (prélèvement d'un échantillon de l'artère inflammatoire sous la peau), ce qui sera souvent réalisé en ophtalmologie.
Les traitements habituels contre la douleur sont peu efficaces contre les céphalées de Horton. La plupart du temps, on peut casser les crises avec du sumatriptan (Imitrex) en injection, car on a besoin de soulagement rapide. L'oxygène peut être administré avec un masque et fonctionne assez bien.
Le traitement repose sur les corticoïdes et éventuellement le pontage ou la désobstruction artérielle chirurgicale.
On fait une coupure d'environ 3 cm de long près de l'oreille. Puis, on prélève un petit morceau d'une artère de la tempe pour l'analyser. On termine en refermant la plaie avec des points de suture ou des bandelettes (Steri-Strips). L'intervention dure 30 minutes en tout.
Elle est située entre les deux feuillets de l'aponévrose temporale. Elle se poursuit jusqu'au niveau du muscle orbiculaire de l'œil où elle s'anastomose avec les artères palpébrales issues de l'artère ophtalmique.
La pseudo polyarthrite rhizomélique (PPR) est un rhumatisme inflammatoire chronique caractérisé par un enraidissement douloureux des épaules et du pelvis associé à un syndrome inflammatoire biologique.
Il existe une maladie qui fait gonfler l'artère temporale, c'est la maladie de Horton. Mais il n'est absolument pas certain que ce soit de cela dont il s'agisse, il faut en parler à votre médecin. Cette maladie n'est pas une urgence extrême, mais elle doit être soignée (en particulier par de la cortisone).
Le diagnostic de la PPR est porté sur :
Une échographie (et/ou l'IRM) des épaules et/ou des hanches, qui mettent en évidence une inflammation des structures autour de l'articulation, notamment des bursites (inflammation de coussinets permettant le glissement de certains muscles entre eux) bilatérales.
Le bilan diagnostique
L'analyse des liquides biologiques (sang, urines ou autres liquides corporels). Les examens d'imagerie, comme la radiographie, le CT scan, les ultrasons, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) ou la scintigraphie, par exemple.
La claudication, du latin claudicare qui signifie boiter, désigne généralement une douleur ou une faiblesse musculaire de la jambe qui gêne la marche normale et s'arrête au repos. Le terme peut néanmoins s'appliquer à d'autres membres comme la mâchoire (difficulté à mastiquer), par exemple dans la maladie de Horton.