Affections gastro-intestinales: achalasie, maladie cœliaque, maladie de Crohn, pancréatite chronique, troubles obstructifs œsophagiens, colite ischémique, entéropathie diabétique, ulcère gastroduodénal, sclérodermie progressive, rectocolite ulcéro-hémorragique (tardive)
Les troubles de l'alimentation ou troubles du comportement alimentaire (TCA) tels que l'anorexie et la boulimie peuvent entraîner une perte de poids inexpliquée. Ces troubles sont souvent associés à des comportements alimentaires désordonnés qui perturbent l'équilibre calorique et provoquent une perte de poids.
Une perte de poids involontaire excédant environ quatre à cinq kilogrammes ou 5 % du poids corporel sur une période de quelques mois est préoccupante. Les examens sont réalisés en fonction des symptômes des personnes et des résultats de l'examen clinique.
La maladie de Crohn, pathologie inflammatoire chronique de l'intestin, entraîne généralement des diarrhées chroniques et une baisse d'appétit. C'est pourquoi la perte de poids est fréquente quand on souffre de cette affection.
En cas de dénutrition, le médecin demande des examens biologiques réalisés par prise de sang : dosage de l'albuminémie qui permet d'évaluer la sévérité de la dénutrition, analyse du fonctionnement du foie, des reins…
Au commencement du régime, le corps perd en moyenne 70 % d'eau, contre (seulement) 25 % de graisse. Il faut attendre deux semaines pour voir ces proportions s'inverser : l'organisme brûle alors environ 70 % de gras, 12 % de protéines (de la masse maigre et du muscle, donc) et 20 % d'eau.
Une perte de poids involontaire, brutale ou continue peut être le signe d'une pathologie sérieuse. Maigrir à la suite d'un Covid ou d'une grippe n'est pas un problème. En revanche, une perte de poids non voulue, brutale ou continue est moins normale. Il faut en parler : elle peut être le signe d'une pathologie sérieuse ...
Des signes neurologiques devront être recherchés, l'évolution lente de certaines pathologies neurologiques laissant parfois l'amaigrissement au 1er plan : maladie de Parkinson, sclérose latérale amyotrophique, etc.
Une réduction soudaine et drastique de l'apport calorique peut ralentir votre métabolisme d'environ 23 %. À terme, cela provoque une nouvelle prise de poids. Une perte de poids rapide est souvent obtenue en sautant des repas. C'est là que se situe le risque d'un manque de nutriments.
Tous les médecins et les diététiciens vous le diront : perdre 500 g par semaine soit 2 kg par mois est l'idéal (soit 3 à 5 kg en 2 à 3 mois). Et la bonne nouvelle, c'est que vous n'avez même pas à suivre un régime particulier pour atteindre cet objectif.
On perd plus facilement du haut du corps que du bas, les tissus adipeux sont différents selon leur localisation : les graisses accumulées dans la partie supérieure du corps, notamment la région abdominale, sont les premières à disparaître lors d'un régime amaigrissant.
La personne âgée perd du poids car les réserves en graisse diminuent et l'organisme malade puise en priorité les protéines dans les muscles qui « fondent ».
Pour arrêter de perdre du poids, augmentez l'apport calorique, modifiez vos séances d'entrainement, faites le choix d'une alimentation saine et contactez un médecin si vous pensez que la perte de poids est due à une maladie sous-jacente.
Les personnes atteintes d'insuffisance cardiaque constatent très souvent des modifications rapides de leur poids. Si votre insuffisance cardiaque entraîne une rétention de liquide, vous prendrez du poids. En revanche, si votre corps perd ce liquide (par exemple, après un traitement approprié), vous perdrez du poids.
Une perte de poids est l'un de ces signes.
En effet, la personne déprimée, perdant tout intérêt pour la nourriture, toute relation de plaisir de faire à manger ou à manger, peut commencer à perdre du poids.
En général, il n'est pas recommandé de perdre plus de 4 kilos par mois. Une perte de poids rapide peut entraîner des problèmes de santé, y compris des carences nutritionnelles et un affaiblissement du muscle cardiaque.
Perte de poids
Selon le type de cancer, 30 à 80 % des patients perdent du poids à cause de leur maladie. Le métabolisme des personnes touchées se modifie, ce qui peut entraîner une augmentation des besoins en calories et en protéines (ce qu'on appelle la cachexie cancéreuse, du grec : « amaigrissement »).
Dans certains cas, le stress peut faire maigrir mais ce n'est pas du tout une méthode saine pour perdre du poids. Ne vous réjouissez pas de perdre du poids si vous savez que cela est dû à un état de stress important. La perte de poids liée au stress sera temporaire et par la suite vous reprendrez les kilos perdus.
La maladie débute de façon indolore et provoque progressivement une faiblesse puis une fonte musculaire associée à des fasciculations (secousses spontanées du muscle). Il existe souvent des crampes et une perte de poids.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
Un amaigrissement rapide
En effet, le patient perd du poids parce que l'organisme est dans l'impossibilité d'utiliser le sucre : il est obligé de produire d'autres substances énergétiques à partir des graisses. Les produits dérivés des graisses sont les corps cétoniques qui sont éliminés en partie dans la respiration.
Diminution graduelle du volume et du poids du corps par maladie, privations ou régime.
Ainsi, si vous mesurez 1m65, votre poids idéal = 165 - 100 - (165 - 150)/2 est de 57,5 kilos. Attention toutefois à prendre ces chiffres de calcul du poids idéal avec des pincettes car ils ne prennent pas en compte l'âge ou le squelette de l'individu.