G= sol. do, ré, mi, fa, sol, la, si, do, s'écrit donc: C, D, E, F, G, A, B, C.
Au lieu d'appeler les notes : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do; les anglais les appellent : A, B, C, D, E, F, G.
Dans la musique occidentale, douze fréquences fondamentales différentes portent un nom. Sept d'entre elles sont considérées comme les principales et ont pour noms : do, ré, mi, fa, sol, la et si.
F = FA (FACILE !)
A+ (90 % et plus) : Travail exceptionnel qui témoigne d'une pensée indépendante et d'une réflexion critique et comportant une excellente question de recherche de même que des réponses systématiques et persuasives à cette question.
La gamme do, ré, mi, fa, sol, la et si, bien connue des amateurs de solfège, remonte au XIe siècle. A l'époque, le moine italien Guido d'Arezzo, qui réfléchissait à une méthode pour classer la hauteur des notes, avait eu l'idée de choisir le début de chaque vers d'un chant religieux, l'Hymne à Saint Jean-Baptiste.
C'est Guido d'Arezzo - moine bénédictin lui aussi, mais italien – qui découvre l'astuce au début du XI siècle.
L'analyse d'un chant religieux au 11e siècle
Le début de certains mots donnent en effet la gamme 'Ré', 'Mi', 'Fa' et ainsi de suite. Tout cela va évoluer : au 16e siècle, Anselme de Flandres, membre de la chapelle du duc de Bavière à Munich, ajoute le 'Si', avec les premières lettres des mots du dernier vers.
Douze notes. Sept pour les touches blanches : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, et cinq pour les touches noires : Do#, Ré#, Fa#, Sol#, La#. Pourquoi douze notes et pas quinze, ou neuf ? La guitare, la flûte, et le saxophone se jouent aussi sur ces douze notes, qui forment l'alphabet de la musique occidentale.
Tim Storms détient le record de la note la plus grave jamais chantée. D'après le Guinness Book, elle a été officiellement flashée au sous Sol-8, à 0.189 Hz ! (sic) Autant dire que personne ne l'entendra jamais.
Parce que l'intervalle de quarte équivaut à l'écart entre quatre notes (do, ré, mi, fa), la quinte équivaut à cinq notes (do ~ sol), l'octave à huit notes, etc.
La pause, placée sur la quatrième ligne de la portée, elle correspond à la valeur d'une ronde : c'est un silence à 4 temps.
Notation anglaise et germanique
La série constituée des lettres de l'alphabet A (la), B (si), C (do ou ut), D (ré), E (mi), F (fa) et G (sol), dite, « notation batave », héritée de la Grèce antique, a été conservée par les pays dits « protestants » ou « réformés » (Royaume-Uni, Allemagne, etc.).
C'est aussi vers cette époque que Ut est devenu Do, parce que Ut était une syllabe trop difficile à chanter (le choix pourrait venir de la première syllabe du mot Domine, Seigneur ou Dieu en latin).
C'est Guido d'Arezzo qui les a nommées en utilisant les initiales des sept phrases composant l'hymne : «Ut queant laxi, Resonare fibris, Mira gestorum, Famuli tuorum, Solve polluti, Labii reatum, Sancte Johannes» qui se traduit par : «Afin que tes serviteurs puissent chanter à gorge déployée tes accomplissements …
C'est à Guido d'Arezzo (992-1050) que nous devons le système occidental de dénomination des notes de musique.
La gamme est une suite de sept notes qui augmentent d'un ton à chaque mesure. Il nous faut remonter au XIe siècle pour en découvrir l'origine. C'est à un moine toscan, le musicien Guido d'Arezzo (995–1050), que l'on doit les noms des notes de la gamme que nous utilisons aujourd'hui.
La note do correspond toujours à la touche blanche précédant un groupe de deux touches noires. Au piano, chaque note se retrouve à plusieurs endroits ; plus elle se situe vers la droite, plus elle est aiguë, et plus elle se situe vers la gauche, plus elle est grave.
La note DO sur un clavier de piano
La note DO se situe juste à gauche de la série 2 touches noires.
Ah ! ben alors Très bonnes ~ 16-20, Bonnes ~12-16 je dirais...