PAGE 2 : 7) À l'annonce de la nouvelle apportée par le garde, Créon, par ses réactions et ses actions, prend son rôle de chef au sérieux. En effet, il commence par s'assurer qu'il ne s'agit pas d'une erreur (un animal aurait pu recouvrir le corps).
- La raison d'Etat l'emporte : le but de la longue tirade de Créon est de convaincre Antigone qu'elle doit accepter la loi, et que lui-même ne peut pas faire autrement que d'incarner la loi et de l'appliquer, à elle comme à Polynice, même s'ils sont ses neveux : « Essaie de comprendre » l.
La réaction de Créon quand il apprend la nouvelle est très étonne mais il essaie d'aider Antigone pour pas qu'elle meurt à cause de ce qu'elle a fait. Antigone refuse l'aide d'Antigone car elle veut recouvrirez sont frère même si elle c'est qu'elle va mourir.
Créon apprend à Antigone un secret sur le passé de son frère Etéocle : 1. :-) Etéocle avait essayé de faire assassiner son père Oedipe. 2. ? Etéocle avait prévu de faire enlever Antigone pour empêcher son mariage avec Hémon.
Les deux fils d'Œdipe, Étéocle et Polynice, se sont entre-tués sous les murs de la ville. Le roi Créon a ordonné de n'enterrer qu'Étéocle, laissant sans sépulture celui qu'il considère comme traître, Polynice (ce qui, selon les Anciens, condamne son âme à errer éternellement).
Elle ne lui donne aucune explication. - Quelle est la dernière action de Créon à la fin de la pièce ? Il part assister à un Conseil, accompagné par son page.
La loi de Créon est claire : tout ceux qui s'opposeront à la raison d'État connaîtront la mort, il fait cela pour l'exemple. Seule Antigone s'insurge, elle supplie Créon de revenir sur sa décision. Elle sait que Polynice même pour reconquérir son droit n'aurait pas dû prendre les armes contre sa patrie.
C'est alors que Créon commet l'erreur de lui dire qu'elle doit être heureuse avec Hémon et consentir à la vie qui ne se résume, en fin de compte, qu'au seul bonheur. Elle, au contraire, ne veut ni être heureuse ni même vivre.
- Pour Créon, le bonheur est fondé sur des petits gestes du quotidien. On notera ainsi l'accumulation « (…) la vie c'est un livre qu'on aime, c'est un enfant qui joue à vos pieds, un outil qu'on tient bien dans sa main, un banc pour se reposer le soir devant sa maison. ».
Argument 1 : nécessité de la politique. Mais cet argument ne suffit pas à Antigone, dont le refus semble motivé par quelque chose de “supérieur” et sur lequel elle ne s'est pas encore expliquée. Elle oblige donc Créon à justifier son argument. Créon se justifie au nom de la politique.
Corneille est le seul dramaturge à représenter le double crime sur scène, mais Créon se suicide. La magicienne recourt à un poison sélectif dont les effets se limitent au roi et à sa fille.
1) Qu'essaie de faire Créon au début du dialogue ? Créon essaie toujours de dissuader Antigone de s'opposer publiquement à ses lois, afin de ne pas avoir à la mettre à mort.
Le plus souvent, Créon est interprété comme le type même du tyran : il représente le dirigeant qui applique la loi de façon aveugle, sans tenir compte des circonstances particulières ni de l'avis de son peuple.
Bonsoir, Créon a une vision réaliste du pouvoir, une politique pure et dure qui vise à faire respecter la loi...
Pourquoi as-tu tenté d'enterrer ton frère ? Je le devais. Je l'avais interdit. ANTIGONE, doucement.
Préparez vos arguments et exemples pour le débat suivant : « Qui de Créon ou d'Antigone adopte la meilleure attitude ? » Créon veut avant tout sauver Antigone. On ne peut pas contrôler les gens. Créon est obligé de faire peur au peuple pour qu'il n'y ait plus de rébellion qui cause des morts et des blessés.
1/ Quelle figure de style Créon emploie-t-il pour décrire une vie heureuse ? → Créon emploie des métaphores qui assimilent le bonheur à des choses simples, presque de la vie courante « La vie, c'est un livre qu'on aime, un enfant qui joue à vos pieds… la maison. »
Le bonheur se distingue du plaisir et de la joie, qui sont des émotions éphémères et toujours liées à un objet particulier. La satisfaction des besoins fondamentaux (se nourrir, se vêtir, se loger et se sentir en sécurité) représente les éléments essentiels pour atteindre un état de bien-être.
1) Je pense que tu parles de la proposition de lui laisser la vie sauve contre le mensonge ,car Créon lui propose d'étouffer l'affaire en faisant accuser quelqu'un d'autre à sa place,ce qui ne correspond pas a ses idées, Antigone refusera la clémence de son oncle , traitant son oncle de lâche, de menteur, elle refuse l ...
Antigone a pris une décision très courageuse : celle d'enterrer son frère malgré le refus du roi Créon. La situation précaire dans la quelle (en un seul mot) se trouve la jeune fille ne nous laisse pas indifférent (accord) car cela peut être le cas de chaque personne.
-Antigone est condamnée à mort par son oncle maternel, le roi Créon, car elle a bravé sa loi en enterrant le cadavre de son frère Polynice, que le roi a jeté en plein air. Hémon s'est suicidé parce que son père le roi a condamné sa fiancée, Antigone, à la mort.
Lorsque l'on rouvre le tombeau, Antigone s'est pendue avec sa ceinture et Hémon, crachant au visage de son père, s'ouvre le ventre avec son épée. Désespérée par la disparition du fils qu'elle adorait, Eurydice, la femme de Créon, se tranche la gorge.
On pourrait dire aussi « justesse », « responsabilité ». C'est bien ce qui fait défaut à Créon comme à Antigone : ils ont perdu tout bon sens, ils sont devenus irresponsables … II. L'altérité d'Antigone, sa sauvagerie, ce qui fait d'elle une « emmerdeuse », c'est qu'elle désobéit.
Outre d'apparaître comme sans coeur, le Créon de Sophocle est aussi tyrannique comme le caractérise d'ailleurs Antigone (« l'avantage de la tyrannie« ). Il veut lui imposer sa volonté et la forcer.
Arrive alors le prophète Tiresias au début du cinquième épisode pour annoncer à Créon que les dieux condamnent la mise à mort d'Antigone et punissent la cité ; une fois encore la colère gronde et l'échange devient injurieux : "la race des devins est avide d'argent " accuse Créon et Tiresias répond: "et la race des ...