L'hémisphère droit est notre “cerveau créateur“. Il est impliqué dans la rêverie et l'imagination. Vous sollicitez cette partie de votre cerveau lorsque vous dessinez ou faites appel à votre créativité. Comme vous l'auriez compris, l'hémisphère droit est aux commandes du côté gauche du corps.
Ce dernier explique que la “pensée créative” se produit au sein de trois réseaux neuronaux : le réseau dit “par défaut”, qui est utilisé lorsque le cerveau est en train d'imaginer, le réseau du contrôle exécutif, utilisé pour la prise de décision, et le réseau de proéminence, utilisé pour discerner l'importance d'une ...
Tout d'abord, le cerveau travaille de manière inconsciente. Il organise les connaissances de façon à activer les souvenirs et les connaissances qui sont fortement liés les uns aux autres. Par conséquent, le cerveau a rapidement accès à des idées peu originales, puisqu'elles sont facilement disponibles.
Lobe temporal : Le lobe temporal est situé dans la région du cerveau que les gens appellent communément les tempes. Ce lobe est responsable de l'apprentissage, de la mémoire, de la compréhension du langage (l'aire de Wernicke) et de l'organisation.
Il existe quatre cerveaux décisionnels : le néocortex préfrontal, les territoires reptiliens, le cortex automatique et les territoires paléo-limbiques.
La théorie des trois cerveaux, aussi appelée le « cerveau triunique » suppose l'apparition de trois cerveaux qui se sont manifestés en même temps que les ères principales de l'évolution de l'espèce humaine. Dès lors, elle distingue clairement le cerveau reptilien, le cerveau paléomammalien et le néocortex.
Des études scientifiques ont montré que le cerveau gauche est plus verbal, analytique et ordonné. On l'appelle aussi cerveau numérique. Ainsi, cet hémisphère joue un rôle essentiel pour des activités telles que parler, lire, écrire ou faire des calculs.
A l'Institut de génomique fonctionnelle, le chercheur Cyril Goudet se focalise lui sur l'amygdale, cette structure du cerveau qui joue un rôle important dans les réponses au stress et à la douleur.
La science n'a pas encore toutes les réponses à cette question. On sait toutefois que la plupart des zones du cerveau arrivent à maturité vers 25 ans. Par la suite, des connexions continuent à se faire et à se défaire, mais plus lentement que pendant la petite enfance.
Entre 2 et 3 ans, le cerveau fait environ 80 % de la taille de celui d'un adulte. Il est toutefois 2 fois plus actif que celui d'un adulte.
La créativité se définit comme la capacité à générer une production originale et adaptée à son contexte. Elle s'appuie sur quatre types de ressources qui fondent le potentiel créatif d'un individu : les aptitudes cognitives, les traits de personnalité alliés à la motivation, les émotions, l'environnement.
Pour développer sa créativité, il faut avant tout lui donner l'espace de prospérer. Et notamment, exercer son pouvoir d'observation et de rêverie. À une époque où nous croulons littéralement sous les stimulations, se donner le temps de rêvasser est plus facile à dire qu'à faire.
Selon Graham Wallas, les quatre phases du processus créatif sont : la recherche ou la préparation, l'incubation, l'illumination et la vérification.
1/ Avoir une curiosité constante
Pour être créatif, il ne suffit pas de lire des livres ou d'écouter de la musique. Le cerveau a besoin d'être stimulé. Le secret de la créativité est d'avoir une curiosité constante.
La créativité s'exprime, se développe et accède à une maturité dans l'aboutissement d'une œuvre extérieure à l'individu. La création* consiste en la réalisation de la créativité dans une œuvre. Elle est une traduction concrète de l'imagination* dans une transformation de la réalité.
C'est sur ce principe de plasticité que repose le neurofeedback. L'idée est de solliciter régulièrement le cerveau lors d'une tâche précise, généralement d'imagerie mentale, associée à un retour visuel (feedback), afin d'auto-réguler son activité cérébrale en créant et en renforçant de nouvelles connexions neuronales.
De nombreuses pathologies neurologiques peuvent toucher le CPFL ; les plus fréquentes sont vasculaires (ischémie dans le territoire de l'artère sylvienne) ou tumorales. Des dysfonctionnements du CPFL sont observés dans les pathologies psychiatriques, comme la dépression et la schizophrénie.
Par contre, la zone qui régule le comportement et la capacité de prendre des décisions – le cortex préfrontal – mûrit plus tardivement. En fait, c'est la dernière partie de ton cerveau à se développer; il est considéré comme étant mûr que vers la fin de la vingtaine!
De nombreux travaux de neurosciences montrent qu'une exposition à un stress chronique affecte l'hippocampe, le siège de la mémoire et des émotions. Une neurotoxicité qui explique les troubles de mémoire chez les dépressifs.
La douleur chronique survient parfois lorsque les nerfs deviennent plus sensibles à la douleur. Par exemple, la cause initiale de la douleur peut stimuler de façon répétée les fibres et cellules nerveuses qui détectent, envoient et reçoivent les signaux de douleur.
Fondamentalement, Hannibal Lecter se trompait sur le fait que le cerveau ne ressent aucune douleur. Même s'il ne possède pas de nocicepteurs, il « sent » toute notre douleur. Le cerveau est en effet l'organe par lequel nous interprétons, évaluons et expérimentons tous les signaux sensoriels de notre corps.
la communication symbolique (où l'on retrouve le langage, la lecture et le calcul) est très latéralisée à gauche; le groupe « perception/action » est latéralisé à droite; les émotions sont latéralisées à droite; la prise de décision reposerait plutôt sur des régions du lobe frontal droit.
Comme la perception, l'action et les émotions, elle met surtout en jeu l'hémisphère droit », explique Michel Thiebaut de Schotten. La communication symbolique, en revanche, est davantage latéralisée à gauche. Toutefois, même les fonctions les plus latéralisées impliquent des régions des deux hémisphères.
On présente souvent le cerveau gauche comme associé au raisonnement logique et rationnel, le cerveau droit étant plutôt intuitif et émotionnel. Il y aurait ainsi des personnalités plutôt « cerveau gauche » ou « cerveau droit », qui utiliseraient plus un côté du cerveau que l'autre.