Le cerveau droit permet d'envisager plusieurs significations car il utilise l'imagination. Ce qui est logique pour le cerveau gauche est une fourberie pour le droit. C'est l'inconscient. Il gère 80% de nos comportements, habitudes et réactions.
L'inconscient y est représenté comme un lieu clos et mystérieux situé dans le poste de pilotage central de la tête d'un enfant. On peut difficilement faire plus irréaliste : l'inconscient est tout sauf un réduit où nous enfermerions nos pensées indésirables ou nos pulsions secrètes.
Chaque hémisphère cérébral est formé du lobe frontal, lieu du raisonnement, fonctions du langage, coordination motrice volontaire ; du lobe pariétal, siège de la conscience du corps et de l'espace environnant ; du lobe occipital, permettant l'intégration des messages ; du lobe temporal, centre de l'audition, de la ...
L'inconscient n'a de réalité que sur le plan organique. Autrement dit, certains phénomènes physiologiques se déroulent au sein du corps sans qu'on en ait conscience. Par exemple, un enfant grandit sans avoir conscience de la multitude des processus organiques qui rendent possible cette croissance.
Le rôle premier de l'inconscient est de nous maintenir en vie. L'inconscient active chaque seconde toutes nos fonctions vitales (respiration, battement du coeur, système immunitaire…etc…). La fonction de l'inconscient agit sur notre physique. Toutes les actions vitales de notre corps se font naturellement.
Transe hypnotique, méditation de pleine conscience, mouvements oculaires… Ces techniques offrent de nouvelles voies vers l'inconscient. Et ça marche. En nous influençant à notre insu, notre inconscient pèse parfois sur nos vies.
Nous sommes capables de manipuler des représentations symboliques sans conscience, tels les nombres et les mots, et d'en déterminer la signification mais aussi de nous livrer à l'interprétation, la déduction, l'analyse, de produire des analogies, des jugements.
Les états inconscients peuvent être envisagés comme l'une des raisons de l'inadéquation de la connaissance que nous pouvons avoir de notre propre esprit. Prendre connaissance de ce que sont ces états ne m'apporte rien quant à la connaissance que j'ai d'être ce que je suis en tant que chose pensante.
L'idée d'inconscient a surgi au cœur du xix e siècle à partir de plusieurs sources différentes. La première fut celle des philosophes. Certains historiens des idées font remonter l'origine de l'inconscient à Baruch Spinoza, Gottfried Leibniz, ou même à l'Antiquité.
L'hémisphère gauche, lui, serait le siège de la logique et de la rigueur. Il serait plutôt monotâche, ne traitant qu'une seule information à la fois, et nous permettrait de planifier des taches et de se fixer des objectifs.
Le lobe frontal est une région du cerveau responsable de la coordination motrice volontaire et du langage. Il contient notamment les aires qui contrôlent la coordination musculaire, et les mouvements de la tête et du cou comme la mastication et la déglutition.
Le cerveau est divisé en deux parties appelées « hémisphères », soit le droit et le gauche. L'hémisphère droit contrôle le côté gauche du corps, alors que l'hémisphère gauche, lui, contrôle le côté droit.
Selon Freud, prendre conscience de son inconscient repose sur un traitement par la parole. Dans le paradigme de la psychanalyse, il existe en effet un déterminisme psychique : toute idée, ou tout acte n'est pas arbitraire, mais a un antécédent et un sens que l'exploration de l'inconscient permet de mettre à jour.
Rémy Amouroux: L'étymologie répond à la question: l'inconscient échappe totalement à la conscience alors que le subconscient se situe «à la limite» de la conscience. Mais, concrètement, cela revient au même: les deux définissent ce qui échappe à la conscience.
L'inconscient est un peu comme un disque dur auquel nous n'avons pas accès directement (consciemment), il s'exprime lors de nos rêves, de nos fantasmes ou de nos peurs. Il est dirigé par nos croyances. L'inconscient est très puissant et il prendra toujours le dessus sur le conscient.
La personne ne communique pas clairement ses demandes, ses besoins, ses sentiments et opinions. La personne répond très souvent de façon floue. La personne change ses opinions, ses comportements, ses sentiments selon les personnes ou les situations. La personne invoque des raisons logiques pour déguiser ses demandes.
Concentrez-vous sur une seule question à la fois
Il est aussi très important de poser votre question de manière simple et directe pour se connecter à l'inconscient. Par exemple il vaut mieux demander : « Est-ce que ceci est bon pour moi ? » plutôt que « Est-ce que je ne devrais pas faire ceci plutôt que cela ? »
Pour reprogrammer votre subconscient, la méthode la plus simple consiste à vous répéter mentalement des assertions comme celles-ci : « je suis en bonne santé », « je suis heureux », « je suis positif », « je réussis », etc. Il faut vous concentrer sur une pensée à la fois et ne pas les multiplier.
Faites travailler votre imagination pour trouver les affirmations qui conviennent à votre situation personnelle. L'important est de les dire avec force et conviction car c'est de cette façon que votre cerveau enregistrera l'information et que votre subconscient sera reprogrammé.
Elles se manifestent sous des formes déguisées, afin de tromper la vigilance de la conscience. Les actes manqués (erreurs, oublis, lapsus), les rêves, ainsi que certains symptômes pathologiques tels que les phobies ou troubles de la parole, sont autant de manifestations de l'inconscient.
L'inconscient, ce qui échappe à notre connaissance. L'inconscient, par définition, échappe à notre conscience. Selon la psychanalyse, les traumatismes de notre petite enfance, les frustrations, assimilables à de micro traumatismes, les pulsions honteuses, ont été refoulées hors du champ de notre conscience.
Comme la perception, l'action et les émotions, elle met surtout en jeu l'hémisphère droit », explique Michel Thiebaut de Schotten.
Le système limbique est la zone du cerveau la plus fortement impliquée dans les émotions. Celui-ci contribue également à la mémoire et aux apprentissages. Plusieurs structures le composent, celles jouant les rôles principaux sont : l'hypothalamus, le thalamus, l'amygdale et l'hippocampe.