Au grand loto de la tectonique des plaques, l'archipel nippon a en effet tiré un très mauvais numéro : il est situé le long de la « ceinture de feu » du Pacifique, à la rencontre de pas moins de quatre plaques !
et résilience
De par sa situation géographique, l'archipel nippon est confronté à plusieurs risques naturels : séisme, tsunami, volcanisme, typhon. A ses aléas naturels s'ajoutent des risques liés aux infrastructures et activités humaines : que ce soient les centrales nucléaires ou les barrages.
Zones les plus exposées : pays se situant entre le tropique du Cancer (nord) et le tropique du Capricorne (sud) : riverains de l'Amérique centrale et de l'Amérique du Nord ; riverains de l'Afrique de l'Est, de l'Inde, du sud-est asiatique (Philippines, Indonésie, Vietnam) et du Japon.
Une situation géographique difficile (territoire montagneux, pluviométrie importante, zone de subduction de plaques tectoniques) couplée à une forte densité de population font du Japon un pays très exposé aux risques naturels, principalement les séismes, les tsunamis, les volcans, les typhons, les crues et les ...
La sismicité au Japon est particulièrement importante du fait des mouvements tectoniques qui se produisent à proximité de l'archipel.
Il faut savoir que le Japon est un pays très bien sécurisé au niveau des différentes catastrophes naturelles qui peuvent le toucher au cours de l'année. Tsunami, tremblements de terre, typhons et séismes sont les risques naturels les plus fréquents au Japon.
Il est en effet situé sur la ceinture de feu du Pacifique, à la jonction de trois plaques tectoniques (les plaques pacifique, eurasienne et des Philippines). Placé également au-dessus de zones de subduction, l'archipel japonais subit ainsi de nombreux séismes associés quelquefois à des tsunamis.
La fréquence régulière de ces phénomènes s'explique par sa position géographique. Le pays est situé au croisement de quatre plaques tectoniques : la plaque pacifique, la plaque nord-américaine, la plaque eurasienne et la plaque philippine.
En géologie, une zone de convergence correspond à une région où deux plaques tectoniques se rapprochent l'une de l'autre.
Les régions du monde les plus touchées par les cyclones sont les zones tropicales : le littoral Pacifique de l'Asie, l'océan Indien, le Golfe du Mexique et le littoral Pacifique de l'Amérique centrale. Les grands fleuves peuvent être à l'origine d'inondations sur tous les continents.
Un classement mondial établi par Uswitch fait figurer la Chine et les Etats-Unis parmi les pays les plus impactés par les catastrophes naturelles liées au dérèglement climatique.
Les risques majeurs se posent pour les grandes percées alpines, les stations de sports d'hiver et les grandes agglomérations, comme Grenoble, où existent en plus des risques industriels et technologiques. Enfin, le cas de la région Île de France.
Le Japon, sous la menace des risques industriels anciens et nombreux. Le risque industriel est constitué de centrales nucléaires, dont celle de Fukushima à moins de 100 kilomètres au Sud de Sendai, métropole située à 300 kilomètres au Nord de Tokyo.
La population sera donc amenée à jouer un rôle actif pour se protéger des effets du tsunami : selon l'ampleur de ce dernier, elle devra quitter les plages, voire évacuer certaines zones pour se réfugier soit sur les hauteurs, soit dans un bâtiment suffisamment haut et robuste pour assurer la sécurité de cette dernière.
L'évacuation préventive consiste à faire quitter les zones de danger le plus rapidement possible aux personnes, soit pour être prises en charge par les secours, soit pour se mettre à l'abri car les lieux présentent un danger. Cette pratique est aussi vieille que le monde.
Un séisme ou tremblement de terre est une secousse du sol résultant de la libération brusque d'énergie accumulée par les contraintes exercées sur les roches. Cette libération d'énergie se fait par rupture le long d'une faille, généralement préexistante.
Le tsunami de Valdivia
Le tsunami qui résulte du séisme le plus puissant jamais enregistré (9.5) a frappé le sud du Chili en 1960, à Valdivia. Il a été ressenti sur tout le Pacifique. Des vagues d'une hauteur de 5 mètres ont tout détruit sur leur passage.
La vague, d'une hauteur d'environ 60 mètres, détruit la végétation sur l'un des flancs jusqu'à une hauteur estimée à 525 mètres, ce qui en fait l'un des tsunamis les plus importants observés.
Ainsi, on estime que le salaire moyen s'élève à environ 2 633 euros par mois. Néanmoins, ce salaire moyen est également très différent selon les villes japonaises. Il est de 2 644 euros à Tokyo, de 2 270 euros à Osaka et de 3 383 euros à Nagasaki. Le coût de la vie au Japon est bien supérieur à celui de la France.
1. Le dinar koweïtien. Connu comme la monnaie la plus puissante du monde, le dinar koweïtien ou KWD a été introduit en 1960 et était initialement équivalent à une livre sterling.
Langue officielle
Le japonais (de facto).