Un pion arrivé au bout de sa course doit se transformer. Il peut devenir une dame, une tour, un fou ou un cavalier, mais jamais un roi. La pièce qu'il devient n'a pas besoin d'avoir déjà été capturée. Cette transformation ne concerne que les pions et se nomme « promotion ».
Le couronnement d'un pion
Lorsqu'un pion atteint la dernière rangée, il devient la pièce que le joueur souhaite, pouvant choisir parmi une reine, une tour, un fou ou un cavalier.
Le Roi peut-il manger aux échecs ? Oui, comme toutes les autres pièces le Roi peut prendre une pièce adverse, mais à condition de ne pas se mettre en échec en jouant ce coup. Un Roi ne peut donc jamais prendre une pièce adverse qui est protégée.
La reine se déplace de façon combinée comme un tour et un fou. Sauf si elle doit prendre, la reine peut se déplacer sur n'importe quelle case vide. Elle ne peut passer au dessus des pièces.
« Damer » est un terme synonyme et tombé en désuétude. La promotion n'est pas limitée aux pièces déjà capturées, un joueur peut donc avoir deux dames ou plus sur l'échiquier (certains jeux haut de gamme fournissent deux dames de chaque couleur).
Un pion arrivé au bout de sa course doit se transformer. Il peut devenir une dame, une tour, un fou ou un cavalier, mais jamais un roi. La pièce qu'il devient n'a pas besoin d'avoir déjà été capturée. Cette transformation ne concerne que les pions et se nomme « promotion ».
Est-ce que un pion peut manger une dame ? - Quora. Aux échecs oui, tout à fait ! Un pion peut prendre une dame comme n'importe quelle autre pièce. Pour rappel : les pions ne peuvent prendre que vers l'avant, sur une case adjacente ET en diagonal…
Est-ce que la reine peut reculer aux échecs ? Dans cette variante la Reine se métamorphose en simple Pion. Cette pièce peut avancer ou reculer d'une seule case et elle ne prend qu'en diagonale. Comme dans la première règle du jeu, les joueurs posent à tour de rôle les pièces de leur choix avant de les déplacer.
Le pion peut avancer d'une case en diagonale à la seule condition d'y capturer n'importe quelle pièce adverse qui s'y trouverait. La prise n'est pas obligatoire. Le pion ne peut prendre une pièce vers l'arrière ou vers le côté.
Comment obtenir une dame :
Pour obtenir une dame, le pion du joueur A doit arriver sur l'une des cases du dernier rang du joueur B. Quand cela arrive, on ajoute alors un pion enlevé au préalable du damier lors d'une précédente attaque pour le placer par dessus le pion.
Un jeu de 32 ou 52 cartes. L'ordre de force des cartes est le suivant : 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, valet, dame, roi, as, l'as étant le plus fort.
La reine consort est l'épouse du roi. Comme le stipule le mot « consort », la reine consort a un sort commun à celui de son mari, avec les mêmes titres, mais elle ne partage pas la souveraineté du monarque, ni son pouvoir militaire de chef des armées.
Le qualificatif de consort est donné à l'époux ou l'épouse du souverain et chef d'État dans les monarchies. On parle de roi consort, reine consort, prince consort ou encore princesse consort.
Le roi prend comme il se déplace ; il peut donc prendre toute pièce adverse non protégée (par une autre pièce adverse) en se déplaçant sur la case qu'elle occupe, et la pièce prise est retirée de l'échiquier.
Dans cette variante la Reine se métamorphose en simple Pion. Cette pièce peut avancer ou reculer d'une seule case et elle ne prend qu'en diagonale. Comme dans la première règle du jeu, les joueurs posent à tour de rôle les pièces de leur choix avant de les déplacer.
En matière d'attaque, le fou peut prendre la première pièce adverse qui se trouve sur son chemin. Cependant, comme il ne peut pas sauter sur une autre pièce, il se trouve automatiquement bloqué dès qu'une autre pièce amie ou adverse se trouve sur sa trajectoire.
La prise. La prise des pièces adverse est obligatoire et s'effectue aussi bien en avant qu'en arrière. Lorsqu'un pion se trouve en présence, diagonalement, d'une pièce adverse derrière laquelle se trouve une case libre, il doit obligatoirement sauter par-dessus cette pièce et occuper la case libre.
Au jeu d'échecs, le pat est une position dans laquelle le camp ayant le trait et n'étant pas sous le coup d'un échec, ne peut plus jouer de coup légal. La partie est alors déclarée nulle quel que soit le matériel restant sur l'échiquier. Le pat met immédiatement fin à la partie.
Nous nous sommes permis un langage quelque peu familier pour ce titre afin de préciser qu'aux échecs, on ne dit pas « manger » mais plutôt prendre ou capturer. Le Cavalier prend les pièces adverses en « sautant » sur leurs cases. Il prend la pièce adverse qui se trouve sur la case de sa destination.
La reine, elle, détestait les huîtres, et évitait de manger trop de féculents, comme des pâtes, du riz ou des pommes de terre. Elle préfèrait ainsi manger du poisson et des légumes... mais attention, jamais avec des épices !
Blancs et Noirs jouent à tour de rôle. Les Blancs jouent le premier coup de la partie. On dit de celui qui doit jouer qu'il a le trait, et jouer est une obligation (on ne peut pas « passer » son tour).
Le règlement avant l'abolition précisait bien : "On est libre de souffler ou de forcer à prendre".
La dame doit prendre tout pion situé sur sa diagonale (s'il y a une case libre derrière) et doit changer de direction à chaque fois qu'une nouvelle prise est possible. On ne peut passer qu'une seule fois sur un même pion.
Peut-on manger le Roi aux échecs ? On ne peut pas manger (prendre) le Roi aux échecs car, lorsque le Roi d'un joueur est attaqué (c'est-à-dire lorsqu'il est en échec), ce joueur doit obligatoirement parer l'échec. S'il n'a aucun coup pour parer l'échec, on dit qu'il est échec et mat et la partie est perdue.